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8 juil. 2023

Entité

... .
de la lumière
et du
PARADIS
ICI
MÊME
dans
 l'EFFROI
Saïs
parle toujours
cherche attend
et cette attente
seras comblée
d'antre-nous
pas 
d'ICI
d'AILLEURS
enfin
comment fait on
en vérité
de la couleur
bien vu
ICI
MÊME
après 
TOUT
Pourquoi
l'avoir
entrevu 
indicible
merveille
dans le piège
de
l'AMOUR
hors
le bloc froid
marbré 
figé en son dessein
Comprendre
quoi d'autre
Qu'on surveille
sur veille
à la veille
des mères veillent
sur la
Nature
natures
triangulée
du perd
faire
qu'est-ce que
l'ART
veut dire
Et bien 
se faire sur-veillant
du mot 
des maux
de la soupe
alphabets
des meneurs
de girouettes
au gré du jour
en pleine nuit
Alors
la vérité
en jeu de jeûne
sachant
'' l'art est pour nous
quelque chose du passé ''*
alors depuis
seul
 à
 SEUL
au 
s'Oeil
d'Oeil
d'antre-nous
captant
au vent
d'AMOUR
de
Haine
de trahisons
particules
de 
création
obéissant
à la tombé
de la glycémie
du cartel des chairs
enchainées
de crèmes glacées
Non... .
Quoi?
Qu'est-ce que
 l'ART
devant
la
MORT
enfin
écrit posthume
par quelques
poussières
d'errances
d'AILLEURS
ICI
MÊME



Ravage
froid
des célestes
ou bien
au flottement
d'allège
amoureuse
ta main
ta patte
chéri(e)
au-delà
d'une fatigue
incommensurable
de
 coeur
armé
d'AMOUR
infini
la mer
bruine
l'appel
d'Arthur
ou 
encor
tes os
d'eaux
broyés
de plus grand
que 
TOUT
Alors
ces mots
aux délices
de te penser
posthume
au
CAMP
d'histoire
ensanglantée
du pétrole
des morts
amour haine
exaucés
du stellaire
cella arrive
cela vient
les chéri(es)
TOUT
n'à plus la même
gueule
enchantement
des squelettes
de résurrections
sous peu
splendeur
de l'extase
en pleine erreur
lapidé
Ravage
au passage



Hegel *

 

17 juin 2023

En Corps


 

Où que tu sois
sans
FIN
que ça
et c'est beaucoup
TROP
tu sais
Tu vois
JE SAIS
que tu est
et
c'EST
TOUT


Décrépie
le ciel brisé
supersonique
tuant
de vrais oiseaux
Rabougris
la prétention
Jonesthown
et des pas là
DISPARITION
c'est sous 
la peur
la
 NATURE
MORTE
cancérisée
des prétentions
fixées
de la
MORT
étêtés
des prises
 rusées
de la guerre
vie
CHÉRIE
des poussières
pour nous
bientôt


Combien
mes mains
sur ta chair
de chienne
CHÉRIE
de nos amours
voyageurs
pourquoi
TOUT
à jouer
de la mort
L'ENFER
le diable
bien vu
bien 
tu sais
toi aussi
 t'as vu
ta 
MORT


Pas pareil
pas à pas
les prés
le vent
l'odeur
du sol 
où tu roule
et déroule
tes pores
de chairs
brisées
d'erreurs
 humaines
trop
et pas assez d'émotions
compassions
altruismes
et irréparable
destin
endiablé
de la femme
du cul-de-sac
où figure
ta stèle
jusqu'ici
au coeur
du rêve
antre-nous


30 oct. 2022

Stations


Posture
et positionné
sur le vent
des maux
devant le cadre
du pas 
de cadence
très amoureusement
des chéries
L'Amour
 étant
 la proématique
de l'essence
et des coeurs
emportés
pour
en fin
une stragédie
du
UN
en des morts
 qui payent
chairs
de respirer
 l'inspiration
'' Les gens généreux
font de mauvais
commerçants '' *
Comment sortir
de ce convoi
vers la 
MORT
inaperçue 
Allons
sortir
pourquoi?
Vers où?
et d'où
viens cette idée
du bonheur
de l'extase
et d'après
TOUT
Sortilège?
Contrat?
Envoûtement?
Piège
arpège
arpent de neiges
et
BOOM
pour un petit
dessin



Oiseau 
fleur
floconnant
le ciel
de l'enfer
dérapant
du bleu 
à vos yeux
et c'est
TOUT
Douce
musique
dans les entrailles
du corps terre
au
Feu
rayonnant
de vos beaux 
draps
jaloux
Marier vous
soyez amoureux
Soyez...
et puis 
RIEN
c'est encor
bien mieux
l'éternité
caché
en 6 menteries
bétonnées
coulant
à pic 
au fond du trou
En sortir
faite 
RIRE



Écrits
de peur
de ne pas... .
La baleine 
blanche
le narval
sous 
 lampadaire
et le cheval
embrassé
d'a-blanc
et des ailes
en vous
Et crie de ne pas
en deux
3 maux
répétés
d'arias
 de Bach
en stations
enclavées
pour 
les morts
calculés
d'idées
en pets 
frustrés
du commun
UN
Nature
natures
et des pommes
hors tableaux
sans victoire
sur la
MORT




Car (partir... .)
vers pas d'où
d'où
vers où?
L'art
un corps
pleins d'organes
du parti pris
prisonnier
de l'autres
pour sortir
du chaos d'ordre
technicos
scientipsychos
cocos
étatisés
de ce qui 
EST
ce qui à été
pensé
pour...
UN
des uns
pour la fin
des temps
du tant 
donné
à l'hommo-ludens



C'est
et sans mot
comment
se défaire 
de la subjectivité
qui fixe
le subjectile
Bon...voir
Deleuze
les cso
d'Artaud
et des suites
muettes
de la Disparition
en
Somme
 TOUT
subjugués
du succube
et d'art-ô
et les restes
d'entrailles
célestes
aux sens
 interrompus
 La suite
pour les abonnés
du mot à maux
et de porte a portes
murés
en tas de gens
et c'
EST
TOUT


De ce qui découle
de l'état
d'Hegel
la Nature
se suffit
Et librement
commence
en ceci
que 
TOUT
EST
RIEN
une mise
en 
demeure
et les mots
l'enfermement
sans sujet
véritable
(provenance
appartenance)
monde
en sa fin
de début
création
d'un Noé
 No way
en son déluge
d'histoire
en bulle d'air
bombardée
de maux
 Godot
attendant
 DISPARUe



Étalement
des sommes dues
aux anglais
faut dire
et tenir
en main tenant
l'ouverture
possiblement
à la mort
d'il était
avait été
seras
cette histoire
en forme
de comptines
au compte
à rebours
n'oeuf
serpentant
le 7
six 
au trait 
prolongé
île
seras
conséquence
du vertige
au bord
de l'abysse
verbale
et pour 
TOUT
dire





Balzac *
 

30 oct. 2021

Sot


Peur
sans
Amour
arbre à paroles
parmi
la lame
sonnant
l'alarme
des barbelés
du froid
ciblant l'autre
estampillant
jaune
sur noir
étoiles aussi
plein de corps
maigres
d'agonies
qu'est-ce
que tu crois?
La larme!




Pas du
TOUT
SEUL
et en vain
Absolument
plus que
TOUT
moi aussi



Lié
d'obéir
chemin
faisant
identique
mourant
aussi
de mourir
sans fin
et que peux
encor
la poésie
à la disparition
du
Paradis
juste
ICI
chérie
en sot 
de passage
et sang sceau
pour l'ailleurs
PEUR




Où est...
Mais quoi
encor
à l'approche
tremblante
cette peur
qui fait
qu'empires
et villes
citées
des maux à mots
pour dire
en fin
l'effroi de Laborit
sur l'inclusion
du système
des faits
dans le cerveau
programmé 
avant que d'être
et quoi
qu'en dise
le principe
espérance
l'histoire
fini
la Nature
natures
répand
le tremblement
des feuilles
sans pommes



Amouir
entre nous
entrant
ensemble
amoureusement
d'éternité
tenant 
d'encres
et de matières
fragiles
présences
nouées
d'âmes
et d'os
frêles
amours
Incontestable
Amour




 

12 sept. 2021

L'Étrangière


...des jours
le sens
l'essence
Tantôt
l'infini
sans
 savoir
L'éternité
sans nom
retrouvé
Mais comment
en quel 
RIEN
seras 
cette 
Chose
où 
l'Oubli
s'oublieras
où 
sans
LIEU
pascalien
aller
suite à l'effroi
le transi
d'avance
 l'Abandon
 dernier
ICI
main tenant
langue
déroulée
au
VERBE
d'apparaître
des
 Disparus
d'avant
pendant
après
Spasme 
de vivre
Émile
errant
dans le 
corps
 des organes
de tout
l'enchaînement
du ciel
et de la terre
TERRE
des
Sarcasmes
mal aimée
et de la
Lumineuse
des coeurs
au 
Coeur
fugace
éternité
de tout jour
Nuit
appelant
et il vient
viendras
encor
de croyance
éperdue
du 
Conte
d'émotion
verbillant
des maux 
en sommes
de joies
 mot
dit
 la gestapos
du vivre
et du mourir
et de pour
unions
c'est le vent
poussant 
la barque
à sa terre
plate 
et ennuyante
du manque
d'il était
avait été
seras
la nommée
d'Amour
aux sèves
de la
Vie


L'Instant
à naître
de la Mort
et en fin
de tous
 les débuts
proématiques
du Sens 
vers
Nulpart
(du peuple
qui manque)
au désir
et au 
Champ
ruminant
sens 
que d'être
Le Trop
 peu
d'amplification
de l'inutile
Nature
natures
s'évanouissant
Tragique
sa part
d'existence
nommé
de l'heure
et du temps
donné
compte 
contre
conte



Suite
d'ICI
où 
d'Entre
ce qui
EST
et ne peux
avoir
été
qu'en mot
à maux
pour le faire
part
inutile
de la
BEAUTÉ
du
JOUR
amoureux
de sa
NUIT

 

12 févr. 2021

Portrait


Portrait
déporté
de création
proématique
pour 
la descente
au gouffre
des prétendant
mener
le monde
Où?
d'Où?
verrous
rayé
de la torture
des maux 
de la langue
 au rat
'' Nous savons
maintenant
ce qu'est
la Nuit
Ceux qui s'aiment
d'amour
n'ont qu'elle
pour adresse '' *
Soleil
en seul
un
SEUL
à 
seul
TOUT


Assis LÀ
 de Noir
en blanc
absence
perte
de semences
d'avant
pendant
et après
dehors
dedans
sans y être
sang 
de dents
que dort
le lion
est mangé
Où 
?
Comme 
comme
un appel
à cela
qui est
Quoi?
DISPARITION
Où sont les morts?
Y à t-il 
ou pas
de la
MORT
Mères
pères
ou quoi
encor
et en corps
Ya t-il
une histoire
finie
terminée
foutre tue?
Un bloc
de marbre
noir
bloqué
par Dieu
seul le sait...
Qui est heureux
est mort 
au moins une fois
Bon dodo
l'heure
de joie


Arbre émondé
d'immonde
déforestation
des faits 
étêtés
de vert
en porte
 couleurs
au palais de verre
raturant
l'excédant
d'errance
à la semaison
des fleurs
pour la fin 
du temps
hors
la main mise
du décompte
bancale
de la misère
noire
de la conquête
posthume
et perdue
de 
TOUT


Aragon *