De la Beauté
travaillante
menant à ses fins
la vivance
de ce qui
EST
LÀ
Dans ce où
d'où vers où
après
les morts
successives
en de pour
sans savoir
beaucoup d'épelés
peux de lues
à la plume
à moins que fautes
à la suite
par d'autres
par à dit
ici d'ailleurs
et de toujours
à reprendre
depuis
le début
de la fin
Nids de Vincent
Et de surveillance
calculant
le compte coeur
TOUT
arrangé
d'avance
si peu si pas
du
TOUT
que de fines feuilles
perdus
s'ébouriffants
à la tournure
du temps
alloué
et le mystère
d'ÊTRE
encor
surtout pas
certain
TOUT
En corps
et pleins
d'organes
encor
Monde
en don
pour
RIEN
pour ça
ce que
TOUT
voudras
Sans partis
partir
en sang gantés
de tenant
TOUT
à peines
encore
de mémoire
morte déjà
pareil
à eux
c'est déjà
si loin
main
de miettes
et de morts
anciens
pharaons
dalles
et stèles
des corps
d'anéantis
plus que demain
sans
Aile
Failles
pour Messiaen
piaillements
d'arc-boutant
siffle
la langue
morte
cris
t'entend pas
y à une raison
des cendres
que colporte
le silence
ta vu
tu verras
immédiat
Aveugle
aussi
Personne
vraiment
posthume
et nu
UN des uns
unifiés
imperceptiblement
Disparus
Qu'est-ce que tu crois
Orphée
déchue
d'effroi
immonde
délire cassé
pourtant
pas un homme
rose
pas quelqu'un
RIEN
parfait!
Fée néant
tire
la langue
déroule
porte
ô vertige
la peau aussi
brisée
jusqu'au
plexus
milles
nuits
infantiles
échos
d'os
et de poussières
d'errances
niant
toujours
les rivages
de feux
les âmes
mortes
qu'amour
en somme
éteint
ravivé
par la déprise
d'un ciel
corps
rompu
décharné
larvaire
au sang
refroidi
génocidaire
Barque
au noir
oubli
d'abandon
au vent
grotesque
fable
en sort scellé
tantôt
éteint
d'éternité
épars
Mais
passer
qui le peut
de l'autre bord
au seuil
culbuté
du néant?
D'à venir
et joie
que demeure
ma joie
et la lumière
savoir
que mots art
rend riche
l'esprit dépourvu
de vent pire
qu'un merle
étranglé
d'ignorance
entrelardé
de l'assassin
haut fourneau
de n'importe quoi
Ailleurs
très éloigné
de ces maux
d'une histoire
à mourir
debout
débouté
par d'échasses
orgueilleuses
au journal
quotidien
renvoyant
le bon peuple
au goulot
d'éclatement
fainéant
en faits néant
la langue roulée
d'avalements
mort tu erre
aussi
Ô vertige
pas pour toi
le déni
te rend
à ce que tu est
survivant
du corp
rompu
de mange ta main
demain
RIRE
et l'erre
pour un P
pas un homme
rose
un proématicien
du sortir
du trou
du sous-bassement
d'aplat
de ses Saints
scapulaires
d'ambiance
santé de la maladie
ogm
pharma c'est eux
tiques
tok tok
on cogne?
Semblable
à ceux qui sur le mur
mûre la tête
morte aussi
au marbre noir
d'il est tard
très tard
posthume
invisiblement
jamais été
histoire
d'orreurs
erronées
Moi elle
sous l'aile
avec...
Tu tout
est fou tu
te toi tu tue
survivant
de tu toi
faille que failles
toi tu tue
qui tu tue
cru ou cuit
non mais tu te survie
Qu'importe
là tu tue titube
et sur le champ
ou dans les prés
tout près
tu meurt
Qui comprend
qu'on prenne
l'autre côté
ici même
En ce moment
c'est ça
tantôt
autres choses
infiniment
en joue
devant les motions
Milles têtes
à TOUT
Espace infime
souffle court
des nuits
tropicales
sous les toutes piques
évidemment
sans comprendre
le bruits visqueux
du call
de la fin d'orgasme
où le bon dieu
triste
tropique
en érection
grotesque
montée en épingle
d'un karmas
sul tas
là quand
Sylvia
et des terreurs
du UN des uns
posé
en lui le même
Début et fin
du sein homme
qui de main
seras
TOUT
Calme-mort
et des suites
mortelles
innommables
éternellement
d'ATTENTE
quoi?
La Compagnie
des exclus
de la comédie
du TOUT
crucuit
cuistres qui crut
et en très
peu de temps
Dire
Oui!
Et ne meurt
en fin
d'abandon
Ce qui fut
ne peux qu'avoir été
Ces choses
secrètes
qui s'étouffent
et tourne le dos
à la vérité
que hait
ceux qui vont
mourir
D'en faire
leurs nids
capitonnés
mais à leurs
libertés
Enfin qui sait?
Exil exit
retour
Tralala là
l'erre
Air
au bout passant
hors père
en fait
divers
comme été
Corps texte
cérébral
lumière
post-nihilisme
en plein jour
des figurations
ici ceci
un peu
pas beaucoup
plutôt rare
se raréfie
l'oeil
s'abat
journalièrement
sans rêveries
qu'UN
cauchemar
payé
d'entrée
et de sortie
corps
rompu
lapidé
Nature
natures
créé
de morts
pour dire
'' La reproduction
est la commencement
de la mort '' *
Joyce *
...de ce qui
d'inutile
éclat
de maladies
médicales
au dépotoir
des branlent
manches
aux doigts
passe monde
Ici ceci
qui est
et c'est
TOUT
Toujours
TOUT
partout
tout le temps
qui va...
Où d'Où vers Où
il faut
demander
à rebours
caca pipis
des planches
trouées
des ébats
d'os et de poussières
Du théâtres
de marionnettes
et ricanements
Des faits
enrôlés
devenus
invisibles
dans coincé
pétrifié
au Bloc de Marbre
noir
Cent x par
au temps
qu'il faut
libérant
autant que faire
se peut
l'énergie
créant
spatialement
l'ombre
et la lumière
pour une pièce
amusée
Et ailé
un taxi
enfreignant
le couvre feu
des scarabées
ayant enfin
compris
le parti
des choses
Ô
et il s'en faux air
des réactions
de la boussole
à l'intérieur
d'une bouse
de vache
dans le fleuve
du variant
à variable
de variétés
et de pour
pour de et
de et en pour
en de et pour
quand la canne
en canette
sur la plage
des misères
de ma tu vu
prenant
l'aile du désir
déguisé
en peau
et qui fait la belle
à Singapour
précisément
au lieu
des médecines
'' ...Ne voulait tu pas
forger un monde
à partir
de la langue?
répond! mets aussi
ta part dans la balance,
la culture à dégénéré
en hors d'oeuvre...'' *
En de pour
ou contre
avec c'est tant pis
c'EST
TOUT
Théâtre
et des bouffons
Des faits
défaits
pour quelque sous
la tombe
des banqueroutes
des claques dents
du dernier soupir
ayant survécu
aux combats
arrangé
avec le gars
des vues
Il neige début mai
le 8 et la fin
de qu'elle guerre
mieux le 68
En dessous dlà
jupe
de mde Caraco
1 2 un deux
d'eux oeuf
et le début
de Brancusi
et polaire
de la roue maniée
du rond point
ronronnant
des feuilles
entre les pages
congluantes
le jours des noces
à Putte en Cana
de mémoire
noircie
où l'eau
enivrant
le poète
de l'aube
et pine
et la fuite de l'esprit
On peut rire
tant va la cruche
que dort mon
petit
enfant
Un jour tu verras
moultes
amours
que de naître
c'est pas dlà ptit
bière
évitant de finir
encendré
teste amant
faussé dès le départ
pour les îles
Moumouques
là où rien
ne va plus
Go gain
Tati
yéti
ou pas
reste à savoir
Pourquoi le sang
pourquoi?
De la déveine
au prise
avec le vent
malheureux
du désert
ensablant
la pensée
d'oasis
sans ponctuation
qu'un délire
là quand niant
le jour la nuit
des huit
jeux dits
des malheurs
de Sophie
passant outre
la frontière
érectile
de papa l'ours
Faux bien faire
les cimes errantes
en cache
ton dieu
tceetccet
Après quoi
coït l'univers
et ses eaux crevées
ensemençant
le verbe
être
ou pas
William grand-père
théâtrale
Kirsten *
