'' N'est pas mort
ce qui à jamais dort,
Et au cours des siècles
peut mourir
même la
Mort. '' *
Et marche
file
la lignée
des sous
le vent
dégrippé
du tas
tassé
de toutes
les couleurs
du
RIEN
au
cloaque
Lolita
et des papillons
agglomérés
des fins
en Somme
pour...
et de rebuts
à la sanctification
de l'Art
ou Dieu
sait quoi
immense
foisonnement
de l'autre côté
ICI MÊME
hors la spermatomanie
du corpus
le pinceau
à la main
suivant la cyprine
en sa
Faim d'Art
tragicomédie
et de bien autre chose
encor
du dr Mabuse
à la chouette
crécerelle...
de Walser
entre
A
et
Z
Ceci cela
étant
dit
Après
la
FIN
des maîtres
et esclaves
le long fleuve
Amour
d'amouir
et des chéries
seul à seul
gardant l'Esprit
bien en vu
l'éteignoir
par tant
de patience
qui hummm...
va vider
l'effet Diderot
du sort
de mange tes mains
sans lendemain
Enfin
quoi l'éternité
s'en est allé
avec les marées
la lune
mars avril mai
pour une petite
musique
entre deux
sol à faire
hors propos
en champ
des dessous
ensanglantés
du château
gargouillant
une sarabande
pour
Sam
Tenir
sachant
que rire
de lui
le même
UN
des uns
qu'importe
d'où ça parle
rira bien
car partir
il le faut
et allons
levons
ce que peux
le vent
du bruit
et des fureurs
en sachant
que
TOUT
non pas foutu
mais
ridicule
le fait
de dire
encor
Donc encore
et en corps
soufflant
sur l'Amour
ces boutures
compostant
l'impossible
RIEN
De ce côté
ou de ce qui
seras
le grand vide
abasourdie
de ténèbres
pastichant
l'infernal
niaiserie
d'organes
à prix
d'appris
ayant été
pris
et fait prisonnier
de la vie
en un clin deuil
l'horizon
sonnant
le glas
des ébats
dans les corridors
du dernier
exploit
la MORT
qui échoit
à tant de morts
nommées
Ce SILENCE
de la Vie
Lovecraft *
Gelé
figé
la fleur
perdue
tombant
lasse
d'attendre
ce qui jamais
ne viendras
Bloc
au coeur
d'une mystérieuse
présence
de quelque chose
LÀ
énergivore
s'avalant
infiniment
sans reste
corps
ou encor
RIEN
Partance
des parts
de comment dire
toujours
sachant
que ça va finir
en bouillie
d'internet
L'infini
justifiable
auras raison
des milliards
d'internés
en morceaux
de maux
La Beauté
est qu'écrire
sauve
du moins
l'imaginant
quelques vies
de l'abattoir
du Crime
d'exister
a manger
de l'être
ensuite
sans savoir
comme si cela
allait de soi
au quotidien
gagner sa vie
nourrir sa famille
de la mise à mort
de la journée
Herbivore
watt ever
mastiquer
des mots
abcd'air
amoncèlement
de cadavres
ou de cochonneries
Du festif
de la fesse
et des fèces
L'Histoire
et sa
Fin
des faims
Noui
qu'encor
le doute
Pas de compromis
avec la gent
officialisant
la désinformation
des masses
étêtées
depuis l'écomomie
des tendres
enfances
et des premiers
souffles
dans le parc
à hochets
du gros orteil
là ou le phallus
affalé
bandait de la corde
pour madame
écrapoutie
brassant
dlà cochonneries
dupliquées
en autant
d'idoles
infantiles
que le veux
la FIN
qui n'en fini
pas de finir
de se dire
redire
dédire
Sans et sachant
que peu ou pas
Taxi pour la Poune
ou la Diable
ou encor
ces adultes altérés
de télé
racrapotés
déterminés
en bloc
au
Jardin
tout petit
dessein
pour zenfant
qui rend visible
le visible
du pas
LÀ
pas pas
encor
corps
noui
Lignes
signes
en point
d'appuis
formant
des couleurs
en un certain
désordre
arrangé
Et ce qui unis
TOUT
ça
et bien
que le monde
fut
en sa fuite
cadrée
'' Je suis en guerre
contre moi-même '' *
Bref
allons
sans chemin
faisant
100ooos
ossssssos
en part de neige
de juillet
sur le mont
d'amour
rafraichie
d'antiques
rêveries
de nuit
en plein jour
traits de la
disparition
Chutttt
ne pas...
en
FIN
Jusqu'à l'autre
Amour
Derrida *
La vérité
du
SILENCE
la couleur
le fixe!
LÀ
voilà
De LÀ
et pas ailleurs
Pas zen
satori
extase
pas!
Enfin
TRISTE
CERTAIN
en fin
des amours
que ça
Le secret
est que ce qui
est
EST
l'Art
la voulu
le veux
et c'est ainsi!
attendre
arrive
faire la défaite
se refaisant
la tête
Le réel
Réel
rÉel
réL
R
Petit
dessin
en ligne
sous
en pas un
au doigt
dans l'orifice
du nez en l'air
mort mordant
la dedans
la dent
d'Adam
T'attend l'oubli
mais de quoi?
Y a quelque chose
à oublier?
Ici c'est ceci
qui seras tôt
ou tard
ceci
devenu
ceci
L'oubli oubli tout
ou
RIEN
et la
MORT
Quand bien même
milliards
de fois
à perd pète
elle n'en fini
de se servir
à volonté
Links Rechts
et pollution
de bout en boue
en prime
la fable
nue
rhabillée
par l'éternel
retour
Petit dessin
antre
tous les jenous
vous tue
pour la mort
de naissance
en ce Bloc
de marbre noir
sculpté
imaginant
les jours
passés
d'Amour
de rêves
et d'eaux fraîches
désirant
la proématique
d'être
CECI
Et qu'est-ce
que la
proématique?
Zamushouel
plus
Baracoucou
Ninebec
et beaucoup
de vide
redondant
l'envahisseur
sonnant
la droite
alors
que c'est
le Monde
qui
à Disparu
sous la coupole
du déni
suicidaire
ICI
c'est vu
compris
et trop tard
Poématrice
ce qui
de fait
pose l'exil
antérieur
et
postérieur
à la Fin
dernière
Sans le dire
ce kitch
kundérien
des pseudo
intellos
droite gauche
aux têtes
de turcs
en couleurs
jaunies
du spectraque
terminus
d'acaca-démie
de ses ponctions
alors
et bien
la masse
démassifiée
émincée
jusqu'à la pellicule
disparue
en ces temps
de toutes les fins
Érotisation
pétisation
des synapses
en évènements
tel qu'au début
comme à la fin
la faim
d'exister
prend la place
du mort
en le cannibalisant
'' L'important
n'est pas de croire
à Dieu
mais d'y penser '' *
En fin
Dodo....chuttttt...
Cioran *
Par vers pour
perd
de verres
(Le siècle esclave
du temps
est fait de guerres
interminables
et stupides
à mille lieux
de l'histoire
universelle
de l'esprit)
d'Hesse
Et d'avant Adam
la dent
et des dentiers
mangeant
l'air
et le vent
des après
le chaos
festif
des courtes vues
Tenons tenant
main tenu
au travail
d'obéissance
En pour
le secret
de l'âme
et des choses
LÀ ICI
Tantôt
la
MORT
Hegel
ou bien
des last calls
d'Apocalypse
souffles
sur la misère
homme
de Personne
sans nom
pas nommable
la muse
à chimères
de tant de
RIEN
chéries
Et des corps
d'assiettes
en rires
stupides
de tant de futur
carcasses
sur tantôt
en squelettes
et poussières
errantes
sur les tas de camarades
morts
depuis
pour Ça?
Art de quoi?
Art comme Dieu
histoire
et tout
en un brassage
imbécile
innommable
Samedi
en mai
en attendant
Godot
Alors et bien...
Les mats
et le verbe
qu'est-ce que
composer
avec l'ombre
proématiquement
TOUT
d'OÙ
doucement
tendrement
'' La Nature est une
invention
de l'occident ''
et de beaucoup
d'autres
affraires
de blablas
à un autre
sans fin
l'éternité
frappé par un taxi
là où ça devait
être entre tes draps
ou encor
non pas des mots
encore des maux
mais
un coup monté
par la vie
contre
le père noël
ivre masqué
déboutant
les embruns
du marais cage
de tout les temps
sur un
BOOM
créant
ainsi
Dieu seul
le sait
ce secret
de polichinelles
Ou encor
Cézanne
notre père à tous
faux filant
le sort
entre par en avant
ressort
par derrière
chez-nous...
Quel ennuis
toutes ces foutaises
cannibales
de l'ordre
des joies alambiquées
par la promesse
d'une brise
de paresse
malévitchienne
ou bien
un jour en jouant
sur ta joue
ce feu
de
RIEN
au
TOUT
Des falaises
où tu baise
baisé
tombant
de Nature
en feuilles
monotones
et c'est
TOUT
répétant
sans cesse
et c'Est
TOUT
C'EST
TOUT
De cela
l'image
ayant dessinée
le moment
de sa main
libérée
du
TOUT
sang la démesure
du coït
cosmique
comique
en bande
dessinée
par lui le même
mort
enseveli
et tantôt
revenu
à lui
'' J'aime
être la bonne
personne
au mauvais endroit
et la mauvaise... '' **
Bonbon
à profusion
Jeff t'est pas
TOUT
seul
y en auras d'autres
plein et tant qu'à faire
Cinq
x
sens
Descola *
Warhol **
