Gelé
figé
la fleur
perdue
tombant
lasse
d'attendre
ce qui jamais
ne viendras
Bloc
au coeur
d'une mystérieuse
présence
de quelque chose
LÀ
énergivore
s'avalant
infiniment
sans reste
corps
ou encor
RIEN
Partance
des parts
de comment dire
toujours
sachant
que ça va finir
en bouillie
d'internet
L'infini
justifiable
auras raison
des milliards
d'internés
en morceaux
de maux
La Beauté
est qu'écrire
sauve
du moins
l'imaginant
quelques vies
de l'abattoir
du Crime
d'exister
a manger
de l'être
ensuite
sans savoir
comme si cela
allait de soi
au quotidien
gagner sa vie
nourrir sa famille
de la mise à mort
de la journée
Herbivore
watt ever
mastiquer
des mots
abcd'air
amoncèlement
de cadavres
ou de cochonneries
Du festif
de la fesse
et des fèces
L'Histoire
et sa
Fin
des faims
Noui
qu'encor
le doute
Pas de compromis
avec la gent
officialisant
la désinformation
des masses
étêtées
depuis l'écomomie
des tendres
enfances
et des premiers
souffles
dans le parc
à hochets
du gros orteil
là ou le phallus
affalé
bandait de la corde
pour madame
écrapoutie
brassant
dlà cochonneries
dupliquées
en autant
d'idoles
infantiles
que le veux
la FIN
qui n'en fini
pas de finir
de se dire
redire
dédire
Sans et sachant
que peu ou pas
Taxi pour la Poune
ou la Diable
ou encor
ces adultes altérés
de télé
racrapotés
déterminés
en bloc
au
Jardin
tout petit
dessein
pour zenfant
qui rend visible
le visible
du pas
LÀ
pas pas
encor
corps
noui
Lignes
signes
en point
d'appuis
formant
des couleurs
en un certain
désordre
arrangé
Et ce qui unis
TOUT
ça
et bien
que le monde
fut
en sa fuite
cadrée
'' Je suis en guerre
contre moi-même '' *
Bref
allons
sans chemin
faisant
100ooos
ossssssos
en part de neige
de juillet
sur le mont
d'amour
rafraichie
d'antiques
rêveries
de nuit
en plein jour
traits de la
disparition
Chutttt
ne pas...
en
FIN
Jusqu'à l'autre
Amour
Derrida *