12 févr. 2021

Sang Fin


Mat d'Ulysse
échelle
sans fin
des montées
au-delà du bien
du mal
Abandon
attaché
au 
RIEN
Mots de silences
redondant
du réel
au quotidien
par chemin
faisant
osant
le Beau
de l'air
du vent
Des peurs
timbrant
dodécaphoniques
supersoniques
des tombes
en bas
diable
et Dieu
'' Le mal
(moral ou physique)
est toujours excessif 
Il est l'insupportable
qui ne se laisse
pas interroger '' *
Triage
tri
comme une fin
dès le début
et qu'était
ce début....


Que cela
pour 
main tenant
ses mots
en formes
d'inscriptions
s'engouffrant
en l'infime
désastre
d'avoie été
ICI MÊME
au fil
des âmouirs
passeurs
d'émotions
énigmatiques
'' Riez tant que vous
voudrez,
mais ce qu'on a
appelé
les microbes
c'est Dieu '' **
Et sans
 SANS
SANG
vapeurs
rosées
des matins
d'enfance
Paradis
de mortel
fragile
séquences
soufflées
par le vent
s'y tenir
ICI
que cela


Maison
nid de Vincent
vain
souffle
Tenir
RIRE
Pas de mot
ou sale
affraire
Du pensé
fendillée
et pauvre
repère
spermatique
cercle
utérin
caverne
où s'énerve
le Minotaure
en sa perdition
d'existant
fait pas chier
mon pote...
Quel leurre 
est-il...
Du sein 
de la cyprine
au misère
du corp
organe
du parti
pris
incentré
pour 
le point
sanitaire
dans la machine
a destruction
massive
encor
 et en corps
jusqu'au dernier
Quoi?
Ce qui
EST




Blanchot *
Artaud **

 


8 févr. 2021

Qui Sait...


''...n'est-ce pas
un sanglot
de la déconvenue
...( ) un chant de Nerval...( )
notre siècle saigne...''
Louis Staline
et la banalité
du mal
Arendt
main à charrue...
et ainsi
la mort
oui la MORT
détrousse
1948
'' Ne nous confions
pas à l'échec,
ce serait avoir
la nostalgie
de la réussite'' *
et des piastres
de rires
en grappins
de MORT
absolue
et des rases mottes
de belliqueux
des suites
d'un cancre
au cerveau
Écrit
du fond sans fond
où tombe
le pillage
des déserts
du mal 
étant infini
et quelques morts
en moins
Écrire peindre
sculpter
donner
de la 
VIE


D'impasses
ici
par fissures
stériles
d'oublis
Se signe
saigne
la vie
de ses maux
d'effrois
au seuil
où vivre?
'' Tous les témoins
sont des faux-témoins '' **
Tenant 
sans rien dire
qu'imageant
La montre
sablier
conte
d'un mort
survivant
à la catastrophe
cosmique
d'où sont passés
les autres vivants
Qui sait
à su sauras
la 
FIN


Les vies lasses
du peu de mots
d'eux aussi
Au début
l'oeil
le d'oeil
du seuil
s'oeil
au désastre
du sol'oeil
a la lumière
de l'éclat
de ses yeux
terrifiant
d'attrait
le Je
de ça
un point
en l'invisible
MORT
escomptant
de prédation
en finir
avec la création
du ciel
d'Attente



Blanchot *
Artaud **

 

Histoire De Dire


'' Le souverain
n'est plus un roi
il est caché
dans les grandes villes '' *

Encor
comme va
la tombe
aux leurres
des plis
donnés
par le déjà
de toujours
qui attend
la prise
à bouffer
de la cartes
hypothéquant
le peu 
du reste
de la signature
à être
comptabilisé
en vente
libre
lié par la peau
des fesses
désossé
de sa blanche
venue
d'une
attente
infini
improvisant
dansant
avec la 
MORT
éternelle


La grande
dévoration
Monde
(en Dieu
peut-être)
Vigée
et quoi
des milles
et une nuits
des mots 
venant d'où
et du noir
les couleurs
En somme?
Limbique
quelque chose
plutôt
en avançant
Rimbaud
encor
histoire de dire
il était
a été seras
TOUT
est


Tenir 
d'Amour
au cul-de-sac
d'ensorcellements
de toutes parts
en hors
le corps esprit
du temps
de tant de triages
Nature natures
vers où
d'où
passe le peu 
d'élévation
d'Abraham
 aux abattoirs
a  l'air du temps
de la
Disparition
Dianus
et la mort
du roi
Monde 
MORT
Tu n'est pas un homme
Passé
par la Mort
vu l'infini
fini
hors son virtuel
présent
sens insensément
camouflé
pour un conte
humain
'' Tout est victime'' *
La Fin se boucle
et la vie va
SEUL
et seulement
en toute naïveté
s'éteint peu à peu
cela qui
 DISPARAIT



Bataille *

 

6 févr. 2021

De Là L'Aime


Non mais...
de fins
sans fin
l'infini
Que des fuites
à gaz
en becs
cachés
démasquant
la fragile
indécence
du quotidien
au prix
du gros
au marche
du palais
Oui bon
et puis fallait
passer
Qu'est-ce que
l'éternité?
Avant après
cet entre
quoi 
au millimètre
près du cercueil
aux os évidés
des moelles
étrangères
de la grande
tuerie
du temps
qui n'est plus
la mer allé
avec le soleil
du poète
Que peux
les larmes
un coeur rythmant
l'Amour
sur les gouffres
revenant
au Paradis
à volonté?


D'Ailleurs
et
 d'ICI
passe vent
et ténèbres
pleines de sortilèges
d'ensorcellements
surtout
de
 RIRE
du 
TOUT
Le cul
par terre
et par mont
Sainte-Agathe
les Ailes
Chiens chat
pourtant
l'Effroi
des morts
La police
des langues
élaguées
du temps
proématique
ou s'épelle
ce qui va 
à la mort
Passe
la brèche
Par coeur
le non des airs
nourriciers
 Prince 
d'acquis t'aime
(la douce laine
de la mémoire)
dit Claude Vigée
des cieux
sans père ni mère
malgré 
TOUT