Mat d'Ulysse
échelle
sans fin
des montées
au-delà du bien
du mal
Abandon
attaché
au
RIEN
Mots de silences
redondant
du réel
au quotidien
par chemin
faisant
osant
le Beau
de l'air
du vent
Des peurs
timbrant
dodécaphoniques
supersoniques
des tombes
en bas
diable
et Dieu
'' Le mal
(moral ou physique)
est toujours excessif
Il est l'insupportable
qui ne se laisse
pas interroger '' *
Triage
tri
comme une fin
dès le début
et qu'était
ce début....
Que cela
pour
main tenant
ses mots
en formes
d'inscriptions
s'engouffrant
en l'infime
désastre
d'avoie été
ICI MÊME
au fil
des âmouirs
passeurs
d'émotions
énigmatiques
'' Riez tant que vous
voudrez,
mais ce qu'on a
appelé
les microbes
c'est Dieu '' **
Et sans
SANS
SANG
vapeurs
rosées
des matins
d'enfance
Paradis
de mortel
fragile
séquences
soufflées
par le vent
s'y tenir
ICI
que cela
Maison
nid de Vincent
vain
souffle
Tenir
RIRE
Pas de mot
ou sale
affraire
Du pensé
fendillée
et pauvre
repère
spermatique
cercle
utérin
caverne
où s'énerve
le Minotaure
en sa perdition
d'existant
fait pas chier
mon pote...
Quel leurre
est-il...
Du sein
de la cyprine
au misère
du corp
organe
du parti
pris
incentré
pour
le point
sanitaire
dans la machine
a destruction
massive
encor
et en corps
jusqu'au dernier
Quoi?
Ce qui
EST
Blanchot *
Artaud **