Old
solitude
Very old
oiseaux
de Distance
Le vol
d'air
conatus
fait pas
le pari
pas besoin
ICI
Paris
Londres
ICI
même
juste
ICI
the
LAST
bizarres
défuntes
De qui quo
cul
en comme
un
Ne sais
pas
En fait
MARBRE
Ulysse
James
tour d'écrou
Klossowski
Monnaies
de qu'elle
réalité
tu parle
Pieds nus
dans l'aube
le clair
de lune
Debussy
arabesque
ou encor
Seul si sol
la si do ré
pas si loin
Satie
Pourquoi
Klee
rythmait
du pied
les lignes
sur l'eau
des flottilles
dansait
les vagues
aux cercles
des sottises
Degas
chante
au téléphone
de tendre
choses
à Graham
élue
conseillé
de Glass
pour Einstein
on the beach
etc
bref
Le chien
se gratte
la chatte
Miamioù
à son cou
la grosse
pierre
de madame
Pépé
de Ferré
Et des sortilèges
passés
aux outrages
Chevaux
et Music
Old very old
Tantôt
chez-nous
pas d'accroires
le rouge
au bleu
des jaunes
de l'automne
du vert
Nature
natures
trop
et pas assez
de pas
cela vient
présages
la mer s'écroule
et ça divague
des plages
de myrtilles
cueillies
des racines
du ciel
à Gary
sa mère l'oie
des pattes
au coin
dessous la table
pas à elle
Michelle
et si vite
et distancer
des dieux
Oui c'est
n'importe quoi!
Voilà
Rives
de veines
tendues
de sang moisies
des corps
c'est pas le Gange
encombre
la rêverie
de Lovecraft
(N'est point mort
qui peut éternellement
gésir,
Au cours des âges
la mort même
peut mourir)
Tout ce tient
mais à jamais
mouvant
pour l'éphémère
En somme
et des cris
du bruit
des sommes
jamais
des sommets
Océan
ciel noir
des bas-fonds
Y a que
des mots
et des actes
indicibles
un monde
infini
et du verbiages
bariolés
d'Amour
ou qu'importe
RIEN
...en passant par
en qu'elle
manière
par quel
chemin
Arrivant
là
Mais OÙ
qu'étais-ce
cette présence
diffuse
étêtée
amenant
une cohorte
de perceptions
diffuses
Chemin sans chemin
mains éphémères
colline
Évanescents
évènements
de cela
un monde
ce faisant
Éponge
a plus
a moins
En verbes
et voyelles
Confusions
du ciel
et de la terre
L'église
l'escalier
intérieur
mon ami
Écrire
un conte
Voilà
Tout en haut
...de quoi donc?
Et rêves
volés
à tant de...
Temps
de quoi
au juste
De quelque
chose
Là
RIEN
...avec
ATTENTE
éternellement
ce qui manque
Quoi?
Tendrement
quoi?
Amour quoi?
Où tu vas LÀ!
C'est quoi là?
De plus en plus
moins!!!!
Et ce
RIEN
À moins
qu'Amour
tu voie
...'' Car le chemin
le chemin
n'existe-pas '' *
ce qui reste
ce
RIEN
Pierres
rochers
de nuages
mers
passant
pareil
au doigt
à la lune
funeste
beauté
paradoxe
la beauté
effrayante
amère
en vide
asséchant
larmes
et crachats
poètes
philosophes
passés
d'Abandons
aussi
et plus vite
que tous
Modernes
sans monde
encor
Qui Sait?
Qui peut savoir?
Nietzsche *
C'est
comme un verbe
et du Melville
des baleines
et de la Nature
natures
et et et
enfin
trou
de mémoire
sans
Courbet
De solides
sorties
de têtes
pour
RIEN
et tous
et d'autres
encor
Et des entêtés
insistant
pour
RIEN
et tous
et des
pommes
des poires
à Daumier
à Cézanne
aux pommiers
en fleurs
et tous
sang tous
et puis
du conte
vendu
pour
une bagatelle
Et là
Là LÀ!
Et bien quoi?
Pense
racaille
muraille
multifaille
paille
étincelle
de feu
sortie
entrée
Tantôt ceci
cela
tenir
pour
vers
où
D'erreur
errant
allons
idiot
et prince
par des wawarons
interminables
sachant
que
d'abord
je t'aime
pitié
pour
t'emmerder
sale hypocrite
'' Qui oseras
écouter
les soupirs
des solitaires
et des égarés '' *
Enfin
comme un
Verbe
La Fin
de quoi?
Si loin
des utopies
de l'avant
si éloigné
du coeur
battant
la proue
d'innocence
de l'autre homme
qui devait venir
non en fait
plutôt
il y en auras
d'autres
après
des trains
d'autres
ramassés
à la pelle
au monétaire
à l'endettement
des prêteurs
sur vie
et d'autres
de misères
et de naufrages
et des brillants
des personnes
ne se sauvent
à tous vents
les amis
devenus
et des
nothing to do
En vrai
que des poches d'air
entre deux oreilles
et que d'autres?
Qui peut savoir
que la mort
seras toujours
LÀ
Sans question
UN
étouffement
insensé
en sa douleur
silencieuse
Une mort
(pas à chacun sa mort)
UNE
Amortir
calmer
insensibiliser
tuer la mort
De là
tu voie
la fissure
à main tenir
ouverte
en sa nuit
Sauveras t'elle le monde
la Beauté
amer sur les jenous
du paradoxe
et jusqu'où
ce précipice
porteras t-il
cette chute libre
en forme
d'envol
Et quoi la mer
le soleil
l'Idiot
Samsa
lambada
Où
est
le
A
de
VOIR
avoir
en conte
la vérité
de vous voir
hors le sablier
d'un temps de mort
certaine
Nietzsche *
Vol de nuit
fallait
bien manger
des étoiles
et quoi d'autre?
Qu'à put
santé
aller autrement
insister
pour qu'enfin
quoi l'éternité
tantôt
exacerbé
d'amour
et d'eau
des mers
portant
proématique
la bise
du jour
à qui de droit
car qui sait
d'où il vient
sinon oui
en
FAIT
Il y en auras
d'autres
poussières
chaosmiques
indigènes
et célestes
sans se couper
des vrais
affaires
de créations
symbiotiques
De ceci
demeure
en si peu
de temps
le déjà
toujours
trop-tard
comme celà
à si vite
passé
et si tard
dans la Nuit
papillons
vacillants
gel
Bernhard
en
un acte
seulement
du vent
y sentir
vos cheveux
d'instants
so far
embellie
Des étoiles
juste à dire
d'autres
et plus
encor
Passage
à passer
Allège
Tantôt
incertain
combien
de pareil
et d'ensuite
ces tonnes
de mensonges
le nôtre
y en auras
d'autres
vérité
et mensonge
en des ss
de surplus
sur les tables
de vires capots
qui au son
du timbre
en juillet
de préférence
la tête
croyant
ou pas
au gel
sous zéro
'' Vous cherchez
le bonheur,
pauvres fous? '' *
Attendre
écouter
voir...
RIRE
Des choses
manquent
et l'appelle
siffle
la mer
maintenant
rafistole
la barque
à firmament
justement
sans fins
qu'ailes
s'écoutant
coeur battant
sa gorge
ses maux
À naître
la même
naissant
n'écoutant
que du vent
et
Le froid
qu'il fait
sur
l'A
venir
L Michel *
