C'est
comme un verbe
et du Melville
des baleines
et de la Nature
natures
et et et
enfin
trou
de mémoire
sans
Courbet
De solides
sorties
de têtes
pour
RIEN
et tous
et d'autres
encor
Et des entêtés
insistant
pour
RIEN
et tous
et des
pommes
des poires
à Daumier
à Cézanne
aux pommiers
en fleurs
et tous
sang tous
et puis
du conte
vendu
pour
une bagatelle
Et là
Là LÀ!
Et bien quoi?
Pense
racaille
muraille
multifaille
paille
étincelle
de feu
sortie
entrée
Tantôt ceci
cela
tenir
pour
vers
où
D'erreur
errant
allons
idiot
et prince
par des wawarons
interminables
sachant
que
d'abord
je t'aime
pitié
pour
t'emmerder
sale hypocrite
'' Qui oseras
écouter
les soupirs
des solitaires
et des égarés '' *
Enfin
comme un
Verbe
La Fin
de quoi?
Si loin
des utopies
de l'avant
si éloigné
du coeur
battant
la proue
d'innocence
de l'autre homme
qui devait venir
non en fait
plutôt
il y en auras
d'autres
après
des trains
d'autres
ramassés
à la pelle
au monétaire
à l'endettement
des prêteurs
sur vie
et d'autres
de misères
et de naufrages
et des brillants
des personnes
ne se sauvent
à tous vents
les amis
devenus
et des
nothing to do
En vrai
que des poches d'air
entre deux oreilles
et que d'autres?
Qui peut savoir
que la mort
seras toujours
LÀ
Sans question
UN
étouffement
insensé
en sa douleur
silencieuse
Une mort
(pas à chacun sa mort)
UNE
Amortir
calmer
insensibiliser
tuer la mort
De là
tu voie
la fissure
à main tenir
ouverte
en sa nuit
Sauveras t'elle le monde
la Beauté
amer sur les jenous
du paradoxe
et jusqu'où
ce précipice
porteras t-il
cette chute libre
en forme
d'envol
Et quoi la mer
le soleil
l'Idiot
Samsa
lambada
Où
est
le
A
de
VOIR
avoir
en conte
la vérité
de vous voir
hors le sablier
d'un temps de mort
certaine
Nietzsche *