24 sept. 2020

Pommes



 

Bien certain
Cézanne
le Paradis
l'utopie
Évident
le musée
amusé
amusant
de la 
pomme
à la poire
par un océan
de UN des uns
totalitaires
Sang 
de baleines
d'éléphants
de chairs
et d'os
Sans poésie
Table
pommesque
qu'un gras
festin
de flattes
bedaines
étouffés
d'opinions
par temps
de vents
à misères
irrespirable
abus
poussières
sur l'Art
mains tenant
l'écart
et seul
seulement
par tous
les liens
anciens
disparus
Fil menue
d'invisible
apaisement
Train 
où vont la chose
Là roi
d'ombre
là quêtant
les restes
d'un souffle
trahie
d'arrivée
Moments
de ce qui
 EST
allègement
de l'Esprit
par abandon
de ce qui
fuis
faussant
le pas
 traitrise
en somme
Chiffres 
de la peurs
du zéro
soi lui le UN
des uns
marchand
de chairs et d'os
à l'esprit
lapidé
de revanche
Pomme
de la discorde
sur Paris
pourquoi pas
Paul
en glissement
d'adverbe
de lieu
Tarse
tombant
de table
tabula rasa
Enfin
quoi ça meurt
tu voie
et la poésie
AU CAMP
sang TOUS
après 
TOUT


Cœur 
 pépins
jouant
SEUL
du UN
au neuf
ciel
écrit de craies
en pas
terribles
sachant
ce vide
où tremble
ce MONDE
sur le verbe
ceci ou cela
qui que quoi
quo.. sans 
socle
éphémères
tortures
LÀ OÙ
se justifie
le PIRE
du pourquoi
après Auschwitz
le même
et...


RIEN


De la déconfection
du passage
au temps mort
de la Mort
La mort n'étant pas
alors
on nage en pleine
éternité
Et pourtant
je n'aime que toi
Pourtant
Oasis
illusoire
au douche
matinale
des corps
encore
lourds
tombés
d'ozones 
Avait été
Alors
la BEAUTÉ
chérie
Fiodor
L'Art n'est pas 
du spectacle
un show
d'applaudies
de disparus
RIEN
perdu 
hors 
le dehors
des franges
alimenteuses
Ça mange
boit
 eee e
défèque
Conposteur
d'affamés
un combat à pipes
itinérantes
Cher Antonin
L'Art 
cela
seras ou pas
SEUL


LUI
le 
D'ICI
D'AILLEURS
de par
TOUT





23 sept. 2020

Le Fil


Il y a
et l'instant
JUSTE LÀ
hier
demain
catastrophe
antithèse
triage
concept
percept
Le fil
de lumière

L'enfoncement
du cataclysme
Monde
en son trou noir
vertige
infini
Et des sommes
capitaliste
hard
emportant
le poème
Vie
qui dans les faits
doit finir
Qu'un suicidaire
déni
d'appelés
pour détruire
et puis?

Ce qui reste
resteras
ce quelque chose
déterritorialisé
Gilles
enfin qui sait?
Les sangsues
à secs 
aux déserts
du Passage
des masses ficelées
de science
et de philosophie
d'agent double
d'en avant les braves
sauvons nous les vlà!
Maladie du trajet
épuisement
de l'Insensé
(Amour passion
maladie le risque
l'Art de faire
avec en symbiose
fusion
complice
avec les restes
d'Attentes
vigie
de poussières
à lichens
et fleurs de rivages
L'écroulement
de l'infantile
s'en va...
des enfants 
s'amusent
aux cimetière
des crapules)
La Vérité
sur en et sous
est intransigeante
aussi bien
Voir ce que la nuit
doit au jour
 et faire
refaire 
défaire
Attendre
en en faire
contre virus
mercantiles
des virus en don
sans organes
encor
pour une fin
non suicidaire
toujours mortel
(Nature natures)
En son centre
nerveux
de lucidité
L'Effroi
l'Abysse
le Vertige
en son fort 
intérieur


Le Dehors
est sans secours
pleins de secousses
de ronces
et de venimeux
doublons
ce qui s'y trouve
à perdu
ce qui devait... 
Sur ces rives
de fleuves rougies
la proématique
agonisée
désossée
du lieu
des reconnaissances
emparée
de l'égarement
des Tenants
portes 
de l'auberge
ouvertes
aux déblatérages
indexé 
aux pensues
des synapses
arrivés
bien reçues
au temple 
de
 La Grande Disparition 
le non-Art
et gel
terminant
sa création
en queue de poisson
sur le bord
du quotidien
affairé
au champ
des pis allés
enterrant
le Déni
 de leurre qui laid


TOUT
ce que veux
la main
au 5
de la belle
embellie
au-delà
de l'attente
du MÊME
pour
l'Oeil
un miel
fou d'Amour
mieux
encor
quand il ne veux
rien dire
Étrange
aveux
aussi que la Beauté
après 
TOUT











22 sept. 2020

Desseins Égarés



Fidélité
à la FIN
de toutes fins
mer de ca rat co
dés erres 
désirs
tenir
chérie
Jungle
en travers
cerveaux
justifiant
l'injustifiable
DISPARITION
d'un songe
d'une nuit d'été
accompagnant
madame
au sortir
du magasin
de bibles
aux apocalypses
payées
en chiffre 
d'affraire
UN


Allons faussaires
à la faux 
sillant 
de l'oeil
dans la fosse
d'Alibaba
Escroc
du mots maux
crucifié
de l'Irlande
et sur le bûcher
de la France
Combien
d'ensablés
au désert
des opinions
lorsque
passe 
le MORT
en dents
de scies
la peur
sans 
PEUR
DISPARUS



Lumineuse
éclaircie
crisse
le long
des morts
englouties
de ténèbres
en plein Jour
Triste aussi
l'abandon
au néant
de l'Amour
Seul
tu sait
mais 
SEUL
en peu pour peu
si peu 
La vérité
est une chance
enfin
pilleurs
pillés
et les pieds nus
avalant
les avalanches
à perdre la mémoire
Liberté
qui est tu?


Mir À Miroir
et la fin
du politique
dans le miroir
de la MORT



Pour LÀ


Où? 
Seul la folie
ne le sait pas
Le filet
de liberté
combat
en dé pipé
Des faits
RIRE

L'Art saisi
au collet
l'attrape
la porte
à la sortie
hors
l'imposition
des mains

Au début
du commencement
le Paradis
la suite
histoire
d'une fin
qui ne finie pas
grotesque
infernale
risiblement
imbécile
cul-de -sac

De l'évanouissement
dans la nuit
DES NUITS
en plein jour
par fractions
lumineuses
Instants
d'OÙ vers OÙ
c'EST


Cages
prisons
de cela
l'effleure
l'ICI MÊME
sous sur 
élévation
une danse
pour hors la horde
à bonbons
au temps 
de surveillance
des particules
poussées
par des vents
infestés
de gaz
lobotomisant
la création
en dent de cristal 
 

Qu'en est-il
du quand est-il?
Du Camp
de ce qui va LÀ
des vieilles formes
destructives
du carnaval
avaleur
du UN des uns
pour la fin
sans fin
et sans dessein
autre que le 1
en UN
Qui justifie
le 
TOUT
d'1 nez froid
sous le gel
des poussières
poussées
par UN vent divers


Et ce seras 
FINI