L'Antre

Porteur De Cadres

et un Sisyphe

pas camusien

mais du désir

Persister

malgré

les poissons

rouges

de

Matisse

dans le bocal

et l'atelier

ROUGE

pour finir

Ah... . que vous dirais je

maman

Bacon

and egg

et le saut dans le vide

de

Nicolas

Art 

de toutes les misères

Et éblouie

d'AMOUR

éclairant

cette souffrances

par

l'amitié

avec 

la vrai vie

visible

VISIBLE

Cette forme

sans ponctuation

et au rythme

''montéverdien''

plus

que de 

Nono

ou

pas

 Varèse

et surtout pas

Boulez

disons 

Collin

pour les tendres émotions

mais les cassés

de Monteverdi

font l'affraire

et en émotions

sous surveillances

car il ne s'agit

 de textes

avec concepts

mais d'avantages

 en percepts

d'une approche

intuitionnant

et suivant l'expérience

de création

S'approcher 

de l'image

en passant par

la remise

d'une pensée du moment

en éponge

et dicter

(je ne conduit pas

je suis conduit)

Matisse

venues 

de l'inspiration

divine

Faut pas rire

Enfin

Relief

et composition

pour la nuit blanche

et éternelle

d'où

et sur le mur blanc

où

est posé

le vers où

pour le dernier

saut 

d'éternuité

Et ses formes

les nôtres

antre-nous

de la mort

en vie

posthume

au blanc sur blanc

de l'ukrainien

mort en

Russie

Kasimir

et de ses reliefs

sur les parois

modernes

les mêmes

qu'à

Langeais

ces mains les nôtres

et aux mêmes

questions

Qu'est-ce que

TOUT

cela

veut dire

La Lumière

Au fond

L'ART

et la

MORT

(toutes formes

de morts)

des offrandes

pyramidales

aux mains rouges

sur les parois

et la conscience

de l'abyssal

et des tremblements

de la fin

de tous les disparus

de trilliards

de cadavres

passés 

par des milliers de soleils

et le pauvre

Vincent

l'oeil

sur l'EFFROI

parmi

des signatures

d'internements

et des cailloux 

sur Cézanne

etc... .

Oui au fond

L'ART

c'est quoi... .

des sous d'enfoncement

en libre

de tenir la main

désirant

en tendre folie

s'extirpé

de la cage à 

métamorphose

NATURE

natures

et ses déguisés

l'instinct

suicidaire

et malléables

matières

piégées

Bachmann

ou encor

pour en sortir

de l'enfer

avec Artaud

Deleuze

ou seul un Dieu

qu'à vu oeil de guerre

ou encor

verres fumés

et l'oubli

d'ÊTRE

et 

un saut 

en 

TOUT

Cerc'Oeil

Le dur faucheur

des étêtés

de la poussières

et des carottes

dire l'avancé

de procédure

en douce 

anesthésié

pas du politique

de l'histoire

ayant arraché

les coeurs

au triage

pareil

à une

 force

faiblesse

amoureuse

Surveillance

surveillée

du même

UN

des uns

posthume

exterminé

eschatologie

du 

VERBE

'' Le fait de ne rien faire

n'est pas vide de sens

Le sens est de dire oui

aux faits des relations

de domination

existantes '' *

et de

 l'AMOUR

ce petit moteur 

recherchant

l'impossible

présent même

maintenu 

guetteur

par le désir

recommencé

de l'inutile

merveille

de la douleur

prévenant

la 

MORT

en

SOMME

ou de mourir

SEUL

en son univers

Posthume

postulant

la nouvelle lutte

des classés

à la tablette

déclassée

de no way

d'à reprendre

depuis le début

Il était avait été

seras

Histoire

de dire

la manière

du

Conte

au bout

 du compte

1

le regard

de la 

FIN

auras tes yeux

le reproche

de la dignité

universelle

Donner

la

MORT

se donner 

à la

MORT

mourir

ex terminé

d'AMOUIR

Leçon de Mort

aux vivants

de non

En pensée

des tremblantes

hors ligne

du partis

d'être ou pas

juste 

l'il y à

au feu 

d'antre-nous

ICI

juste ici

insaisissable

TOUJOURS

pleins de larmes

solides

du sel

usant le chemin

d'ENFER

damné(es)

d'y être

abandonnés

de promesses

 pèses mères

perdu(es)

obnubilé(es)

de ceci

cela

dans la matrice

de toutes

les souffrances

totalitaires

stigmatisants

le sang du coeur

des bêtes

vouées massacrées

d'ignorances

de lui

le même

UN

des uns

massacré

du massacre

de pas idée

de la

MORT

Sans cesse

l'infernal

de cela coeur

pieuté

de présence

d'aimer 

sans mesure

à faire chier

le diable au vert

infini

compostant

la terre des corps

AMOUR

d'en faire

semblant

justification

apocalyptique

prétentieuse

envers le

TRI

se trillant

comme il peut

on se taille

 en douce

Pourquoi pas... .

Sans fin

les maux 

du mot

de la

FIN

Zizek *

Art Muraille

Gel

glaciation

du temps

masqué

 soupirants

du chiffre

Derniers

disparus

compostés

des meneurs

menés

pour la truite

de Schubert

Art de passage

en la

Beauté

condition

d'être encor

 pensant

 en sa tête

d'emprunt

de lui le

 MÊME

UN

des uns

et se refaire

une de

JOIE

à chaque dessin

demain levée

pour 

RIRE

encor

et en corps

de

Bosch

au jardin des délices

Rembrandt

en boeuf écorché

Goya 

en 

taureau 

Soutine

en poules

Bacon

et du pape

Bref...

Music

d'il y en auras d'autres

après nous

Répétition

toujours

en la cage

aux folles

et fous

de lui les pareils

savants 

de la savane

consuméristes

de ta main

garde l'autre

pour...

Ta réussite

d'au dessus

de l'Odyssée

Disparue

Passage

à l'acte

de dessiner

et cri

du gouffre

serti

de pierres

en jarre

pour en sortir

de l'affraire

des leurres qu'il est

au moment

de

DISPARITION

du jamais

arrivé

que partie

au pli

déplié

pour la

MORT

en tête 

et

enfin

l'instinct

suis si d'air

autant en emporte

le mal

infini

monteras

en l'amour

porteras

le dernier

coup

aux trahisons

de 

l'ART

et joie

tristesse

les l'armes

en larmes

désarmant

les milliards

d'entourloupes

au pays

des mistigris

Nature

natures

en piastrés

de roublards

en chèques

sans fonds

infini

diantre

au compost

gériatrique

des nés

vieillis

pour la poche

du dernier

Camp

 goût où

l'os

érectif

à sa fin

renversé

par la baisse

reproductive

infini

Jeu de pommes

triangulé

de bleu

en contre forme 

en tant 

de marres mites

et de bouillis

aux psychococos

de milles pattes

en aérations

sans parachutes

en Somme

vers

laines

(et tout

le reste

est

 de la littérature)

en mots maux

'' Le bien est voulu,

il est le résultat

d'un acte,

le mal est permanent '' * 

'' Pécher

 n'est pas 

faire le mal,

Le vrai péché

c'est ne pas faire

le bien '' **

Et François 

les oiseaux

en dire

à répète

en milles

il vantait 

devant ma porte

de ce qui...

Qu'est-ce l'Art

sans Motsart...

et s'en tenir

la tenue

de créer

des îles

lumières

pour pas tous

en temps

des dernières

mises

en box and dés

'' Le bon sens

est la chose au monde

la mieux partagée

:car chacun pense

en être bien pourvu '' ***

Enfin

quoi...

Essais

 sur Marelle

et cotation

à la muraille

déchainée

d'encoignures

pour en sortir

des affaires

du ciel

et de l'enfer

Blake

(dans un grain

 de sable

le monde

dans une fleur

le paradis)

Orphée

Johannsson

en fin

SEUL

Artaud *

Pasolini **

Descartes ***

Tombe Ô

Temps mort

et de fatigue

l'animal

atteint

d'échouries

pas ou peu

de...

Schopenhauer 

 Melville

et retour

à la mère

des noms

du Conte

d'Épuisement

Attente

avec Maurice

en secret

d'impasses

histoire

d'insignifiantes

régressions

d'en dessous

du politique

sans repère

que de guerres lasses

des peanuts

aux canons

de Pachelbel

et des fausses

représentations

de quelque chose

de l'Apocalypse

d'Obéir

à sa fin

Esseulé

Stefan

comme des notes

de Monteverdi

Tranquille

en ses signes

au chant

belliqueux

des accroires

Heidegger 

au meilleur prix

des ragots

pas seulement

même

des mentirs vrais

de l'Art

s'approchant

au plus près

de l'abysse

de la beauté

effroyable

des engouements

pour les atchoums

célestes

et c'Est

de ça qu'il s'agit

LÀ

des particules

post-échomomiques 

Attrapes

d'instants 

de fugues

hors le saut

des lemmings

et des enfirouapés

de Miron

à Ste-Agricole

et ses

analphabètes

incidences

sur la marche

émondée

de la terre et du ciel

De la pensée

dans le ventre

de la faim

des fins

à la télé

avec le rire

du programme

des cygnes

aux lacs

Paul Hué

d'en avoir

dit en fait

vous n'y étiez pas

il s'agissait

de

Personne

Enfin

jusqu'à vous

débordant

la vase

communicante

et bénie

du dernier

des mot 

du Camp

et au compte gouttes

des spermes

de guerres

ou de la reproduction

d'Alice

au pays des sommeils

populeux

d'en somme

en passe 

d'avoir trouvé

la Mort

qui attendait

de les accueillir

à bras raccourcies

de madame

caracolant

nue et chauve

transformée

en fée qui a soif

d'un pourvoyeur 

de sévices

déjeunant sur l'herbe

avec Manet

et les penseurs

devant la Nature

de l'Art

en période

de rut 

pour qui sait attendre

car il en resteras

bien quelque chose

même si cela

doit reprendre

depuis

le début

du débit du

Conte ordinaire

de la folie

du jour en pleine nuit

résiduelle

et proématique

en phase

terminale

Tenir faisant semblant

que c'est intéressant

que bien ou mal

la lumière

fut

et seras

suite aux verbiages

de la prétention

d'à peu près... 

et des morts

aussitôt

passer le procréatif 

Vivre n'est pas

une formule

comptable

ni un plan

de mise en scène

de madame

chose

Alors

Disparition

par régressions

ensablés

du désert

eschatologique 

ou bien

pas non plus

d'espoir

scapulaire

et dividende

La Fin

Pour Le Verbe

coeur

d'émotion

pour morte

lumière

à la sortie

du tombeau

 des étoiles

au ciel

de l'esprit

Hors de tout doute

c'est bien l'Enfer

quand l'Art

à parti prenante

au suicidaire

afin d'obtenir

les béquilles

et passer

outre

à la poubelle

qu'est

 l'histoire

à sa fin

Capitalisant

sur l'os

d'effroi

en pleine

clarté

du cercloeil

3 deux Un

Art

 de pas

savoir

de reprises

du saut

dans le noir

d'ICI

de celui

échappé

du tombeau

de la grande

Attente

d'avant

TOUT

De l'infini

innommable

 Nuit

sanguinaire

Nuit

de l'armes

et d'in avenue

et d'enfin

Qu'est-ce que

la

LUMIÈRE

Des lires

des mots hissés

par de-là

là quand

d'inconscience

sur le Mont

In-vent-erre

sur l'Axe

d'Abraham

sur la pointe

du Dieu sévère

et que des scribes

quelque chose

qui tienne

la route

chemin faisant

l'entre-acte

technique

désert

des en

 Sommes

Lui avec et contre

la magie

le mensonge

de la Vérité

dans l'eau bénite

noircie

des morts

du feu de la rage

de la peur

Cela arrive

d'exil

et d'errance

par quatre chemins

de par

TOUT

Écouter

VOIR

Après

revenant

sur terre

raconte moi

du solide

du roc

sur le bord

de la mère

Des faits

défaits

d'accroires

à l'os d'or

dormant

sous la déraille

des peaux courtes

de la

Disparition

du compte

en pleine

clarté

d'enfances

retrouvées

laissant l'allée

au plus que 

quoi qui

qu'en 

FIN

Main

Des matins

de tous les matins

Terminé

c'est tout

du tout cuit

Regarde bien!

Et l'esprit

Oui ce qui

n'anecdotise

que la fuite

du terrible

protégeant

le bonheur

le retournant

au mur de la

joie

qui meurt

Des mains

plus aptes

à décevoir

la blessure

d'abandon

de fausses couches

préférant

matières

plus douces

et enivrantes

ouvrant

toute la lumière

du jour

qui recommence

Art 

Des chemins

vérifiant

l'enfance

de ses vérités

Pas bougées

autrement

qu'écarquillant

un peu plus

à peine

la pupille solaire

désembuée

d'une réalité

trafiquée

des coeurs âmes

emportant

si loin 

l'extase

et ses belles 

étrangères

Nu (es)

dès

le râle

exténué

du mensonge

à contre 

RIEN

Désir

mémoire

de la bonne

heure

Mozart

ou en corps

Estas Tonne

Qu'aussitôt

nommé

la magie

de l'instant

TOUT

est 

disparus

 

Le Fil

Il y a

et l'instant

LÀ

JUSTE LÀ

hier

demain

catastrophe

antithèse

triage

concept

percept

Le fil

de lumière

L'enfoncement

du cataclysme

Monde

en son trou noir

vertige

infini

Et des sommes

capitaliste

hard

emportant

le poème

Vie

qui dans les faits

doit finir

Qu'un suicidaire

déni

d'appelés

pour détruire

et puis?

Ce qui reste

resteras

ce quelque chose

déterritorialisé

Gilles

enfin qui sait?

Les sangsues

à secs 

aux déserts

du Passage

des masses ficelées

de science

et de philosophie

d'agent double

d'en avant les braves

sauvons nous les vlà!

Maladie du trajet

épuisement

de l'Insensé

(Amour passion

maladie le risque

l'Art de faire

avec en symbiose

fusion

complice

avec les restes

d'Attentes

vigie

de poussières

à lichens

et fleurs de rivages

L'écroulement

de l'infantile

s'en va...

des enfants 

s'amusent

aux cimetière

des crapules)

La Vérité

sur en et sous

est intransigeante

aussi bien

Voir ce que la nuit

doit au jour

 et faire

refaire 

défaire

Attendre

en en faire

contre virus

mercantiles

des virus en don

sans organes

encor

pour une fin

non suicidaire

toujours mortel

(Nature natures)

En son centre

nerveux

de lucidité

L'Effroi

l'Abysse

le Vertige

en son fort 

intérieur

Le Dehors

est sans secours

pleins de secousses

de ronces

et de venimeux

doublons

ce qui s'y trouve

à perdu

ce qui devait... 

Sur ces rives

de fleuves rougies

la proématique

agonisée

désossée

du lieu

des reconnaissances

emparée

de l'égarement

des Tenants

portes 

de l'auberge

ouvertes

aux déblatérages

indexé 

aux pensues

des synapses

arrivés

bien reçues

au temple 

de

 La Grande Disparition 

le non-Art

et gel

terminant

sa création

en queue de poisson

sur le bord

du quotidien

affairé

au champ

des pis allés

enterrant

le Déni

 de leurre qui laid

TOUT

ce que veux

la main

au 5

de la belle

embellie

au-delà

de l'attente

du MÊME

pour

l'Oeil

un miel

fou d'Amour

mieux

encor

quand il ne veux

rien dire

Étrange

aveux

aussi que la Beauté

après 

TOUT