Si près...
Kafka
insistant
sur le porche
écrivant
Il s'agit
d'entrer
Entrer?
Pour
le ciel
enfin
en sortir
de l'enfer
du malheur
d'attendre
le pire
qui vient
il est fait
pour Ça
il fait peur
à la joie
qui rie
de RIEN
faut le dire
mais en don
sinon
c'est non
pas autre chose
la vérité
du couloir
de la Mort
et pour tenir
ni dieu ni maître
que le saut
dans l'Art
seul bastion
sans lieu
que tête
LÀ
passant par la Lorraine
avec ses sabots
pas zen Art de l'art
de passer
avec les silencieux
inconnus
savants sages
et qui le resteront
SILENCIEUX
et pour cause toujours
mon lapin
Des mots
pas de la cochonneries
faisant créant
le passage...
Encor
l'Art est mort
noyé
délayé
dissout
dans la chaux
business
et Hegel
gelé ben dur
avec l'urinoir
de Duchamp
et ses frères
morts
cassés comme un clous
de la soirée
Oui Art...
Art de tenir
la vivance
a sa fête
pour les yeux
la tête
le coeur
battant
chemin faisant
son entrée
au royaume
du faire
a donner
par amour
Passage
à chaque
création
...
Plus il y en à
et plus
le passage
devient
la voie
où on vous prend
en charge
et conduit
au Paradis
de l'Art Mort
Petit Dessin
au café
pour une sortie
comme il se doigt
De funestes
fermer les goupilles
Pas besoin
milles façons
d'être
lui le même UN
des uns
totalitaire
invisible
et dictatoriale
Principe
suprême
seul juge
Étant tous
coupables
de quelques choses
alors la sentence
seras aléatoire
au bon vouloir
d’ambassadeurs
intermédiaires
et de meneurs
maîtres menteurs
Il y à en ce lieu
insensé
tourbillon
de folie
des choses
arrivent
on ne sait d'où
mais entre eux
les mêmes
UN des uns
et Nature natures
une relation
orgasmique
et fusionnelle
Rosemary's Baby
en virus
apocalyptique
ou encor
'' Nous vivons
dans un monde
où le mensonge
est roi''*
Et où tout cela
se passe t-il?
En faire enfer
affraire
ah!...Frères humains
qui après nous vivez...
Balade des pendus
Art des petits
oiseaux
tombés du nid
des mers gelées
...Les portes
ouvertes
pour tous ceux
qui veulent
y entrer
depuis le début
du Monde
Naïveté de l'existence
Roth *
Des crabes
porte
sur la rive
des formes
surréalistes
la peinture
a t-elle
déjà été
autre que surréel
le réel objectif
étant cette chose
inatteignable
en mouvance
perpétuel
alors...
La réalité
vie de l'interprétation
toute subjective
de l'esprit
de ce qui EST
et les faits
cette chose
encore
de mouvance
(interprétation)
etc tec cte
La peinture
est ce qui
fait voir
elle l'( émotion
pensée doute
et cela
par le métier...)
qui EST
ou va le devenir
peinture
le reste va constamment
par sa bougeotte
échapper
a la préhension
Il est ce que l'Art
va en faire
Bacon
contre Staël
ou bien avant
Ingres contre Delacroix
Picasso Matisse
etc
Entre ces propositions
formelles
picturales
le devenir
La vie en pleine lumière
un flach
étincelles
en la nuit éternelle
Le non sens
l'insensé
chaos scories
du monde
des apparences
n'est en fait
que la lutte
engagée
contre la MORT
Peu importe
qu'elle vienne
de l'homme
ou de la Nuit
de la tête ou des corps
célestes
Mais l'Art
ne s’arrête pas
à ces choses
toutes intellectuelles
elles relèves
des sciences
et des humanités...
Ici ce n'est
que brève
matière
à réflexion
et qui fatigue
les yeux
de l'esprit
Allons...
Et des rives
en dérives
de nature
a faire
terre la mise erre
des faux
airs
prétentieux
des sirènes
d’Ulysse
mélangé
métissé
des scories
schismes
etc
Et en éponge
le front salé
des mers
veillant
à la reproduction
du bon Dieu
entre toute
les formes
et ainsi...
Des rimes
en crimes
du linguale
et alouette
en colère
et des crises
en tabula rasa
quoi? L'éternité
allons
avec le cowboy
fait le tour
de la montagne
et du maïs
soufflés
pour la communion
des saints
au plat pays
d'où il vient
Jacques
qui était appuyé
par Boris
vient poupoule
vient...
et du faut
que ça saigne
Et qu'est-ce
qu'un peintre
sculpteur
graveur
à avoir
avec
ces zizanies
de cela qui EST?
Jeu sérieux?
Ou drôle?
Dramatique
et apocalyptique
mais la Poune
dit le contraire?
Schopenhauer
aussi
RIRE
ou encor
RIEN
La ligne
de la MORT
zen ou pas
avec les 100 mrcx
de batailles
de guerres
par dents
arrachées
a croquer
du cadavres
la mer a l'eau
salée
des déserts
d'insectes
frits
en poutines
ou en bigs macs
avant ou après
sur la rive
les mêmes
débris
de l'arche de no way
aux grillades de lards
salées
Il y a la FIN
avec ou sans
la FIN
Enfin
Etc cte tec
Marteau enclume
étrivés
ça sonnent
le glas
d'air iras
bien mieux
tirant
la dit ah...
par la queue
des cimes
menteries
de talons hauts
en basses-cours
de silence
en or
massif
et collier
autour
du néant
d'over dose
Une poésie
en temps
de DISPARITION
en souffle
éteint
de vive mémoire
De l'autre-côté
ICI MÊME
passant
dans le désert
miné
des dissolutions
numériques
au compte
savant des rêvés
bancales
au crédit
de l'exterminateur
barbare
de lui le même
créateur
UN parfait
coupant court
à la folle
Bébelle
monde
à reprendre
depuis le début
en contradictions
paradoxes
et...
De pas ici
un pas pas à pas
du dedans dehors
loin des hypers
boles
du chaudron
de la captation
monétarisée
du plaisir d'amour
De LÀ
RIEN
Aux essentielles
voir le mémo
de la merveille
emportant
sans savoir
métamorphosé
en molécules
d'Amour
et d'eau fraîche
pour l'en route
géographique
chemin faisant
l’insaisissable
absolue
Sur la ligne
au fil
d'arrivée
des étoiles
pour quelqu'un
enfin
il en faudra bien
des enlumineurs
d'enclumes
et de fer rougi
de honte
C'est sans mot
le passage
silence
des cœurs
à nus
et des histoires
à mouchards
des guerres
de la Guerre
quotidienne
des 5 sous peu
du 2+2
des décapités
du déni
Cela vient
de toujours
après l'Effroi
bébelle
en somme
des trépas
désertés
du sauf conduit
de la terre
Que des gènes
d'espèces
pas gêner
milliards
que les éléments
sans motifs
et sans raisons
la vie
passante
en
cul-de -sac
et bon ou pas
RIEN
Pas un nuage
pas un bruit
pas de pas
pas de pas
pas
RIEN
un SILENCE
silencieux
de ce qu'on
ne dit pas
ICI MÊME
Lobby
des disparus
et la modification
des cellules
tantôt
vont revenir
à l'ordre
éternel
du naufrage
de no way
mésuse
le n'importe quoi
du quoi...
Que cela ne porte
à conséquence
assurément
FIN
une des fins...
Si peu
pour
a jusqu'à
A
De ce côté
philistins
rabotés
de sous noirs
d'abat arbres
indigo
des forêts
René
Louis
des lunes
mortes
estropiées
d'embouties
des poches
trouées
de rêves
a bonbons
bombardant
des enfants
et des
Nuls-Parts
gagent gros
lots
insensés
châteaux
de sables
en papiers
mâchés
de sueurs
aux frottis
des morts
engloutis
des plus d'après
Sous titre
La révolution
pour l'avenir
de la joie
De la mitraille
d'us et coutume
d'enfants
de poudres
a canon
léchant
cannibale
la vie dure
des traques
d'embuscades
dans les poches
crevées
d'ignorances
air vicié
des sous-vides
insalubres
promesses
d'aubes
en festivités
organisées
d'infantiles
désennuies
payées
de souffles
surveillés
Échos
momifiés
de par cœurs
le style
le peu de possible
l’ardue
le rendu
au miracle
le sans faute
mais pas là
Enfin bref
grief d'enfant
aux cheveux blancs
En avançant
que vous dirais-je
maman
Mange ta soupe
et regarde
dans ton assiette
l'abattoir
servie
en sauce
aromatisé
des jours festifs
Et cirque
et triques
d'ennuis
sabotées
de pièges
piégés
Aid à renaître
par le diable
qui ne se sait pas tel
le petit chien
est mort
des degrés
de tristesses
au plus bas que bas
Et c'est passé
et l'oubli
est mort
aussi
...
Les figures
au-dessus
des morts
et hier
la fusillade
au néant
pétarades
de pets
vicieux
la quéquette
a terre
On pense
à procréation
dans la grotte
des lassos
pris au cou
des misères
antérieurs
revenues
éternelles
patentes à gosses
Et en tas d'abrutis
ramasse
la DISPARITION
Dans l'assiette
où passe
le devenir oiseau
et profane
sa sous vie
sans l'envol
que du sang
pas d'ailes
de plumes
pas de dits
de poésies
Pas de mot
pour voir eau
haut aube
en seul'oeil
élevant
des enfants
dans les airs
aérés
des mises bas
des bombes
et du bruit
sur du bruits
ébruitant
des désirs éteints
de rêves
jamais rêvés
Avec des si
...ceci
naît pas pareil
autre
pierre
choux
hi deux
hennissant
de la suite
du monde
petit petits
desseins...
