4 juil. 2020



Exacerbé
du mot
 l'effroi
s'enrage
Part
miséreuse
des arrivées
au ciel
en parfait
déni
de souffrance
Et...
au fond
de la sainteté
du vivant
crisse
faut ben ldire
la débandade
esthétique
morale
la rage
contenue
devant
l'orchestration
disphonique
des entrailles
acidification
des os
enfin...
La bouillabaisse
soupe 
embourbement
d'alphabets
dans la soupière
et des où où
Rintintin
ou la Poune
passant 
par la Lorraine
avec ses chapeaux
 dernier étage
de son cerveau
reste
d'hélium
pour un flottement
de tête
hors le cambouis
des bols
à compostes
Ceux qui entrez-ici...



Attendre
passant
en doute
limbique
alambiqué
de mouches
noires
ensorcelé
des goudrons
des plages
aux varius
venue 
de Chine
ou d'ailleurs
mélange
de trois
maîtres
a boire debout
aux folies
bergères
ta mère ta soeur
et ses frères
Alisim boom boom
le UN des uns
en phase terminale
va donner
matière
a réfléchir
aux conséquences
du RIEN
debout et certain
en FIN


Sortir
en sortant
du sort
alléger
lévitant
au-dessus
des pâquerettes
éloigné
des messes
interminables
des patenteux
distraits
du RIEN
à ceci cela
et bien plus encor
auréolés
de collant
à mouches
juste pour 
que le jour
se lève
sur l’abominable
homme de sang
liquidé
à l'instant
et dès le début
du souffle




Éclectique Voisinage



Lignes
a commande
d'éteint
du mot
saccage
réelsur
azuré
délié
du désir
incertain
et envoûter
au bout
du maux
jeu de fous
d'ignares
facétieux
disparus
au paquet d'os
Fausses
rumeurs
de faiseux
de bruits
évasives
présences
...
Limbiques
et fumeuses
suffisances
vanités
des mensonges
de ventriloques
et des cries 
de haines
saccages
Report
pour le compte
cruel
derrière
au dos
des pavés
des tombes
vers et c'est
comme naître
sans fin
l'éternité
de toujours
essais
tentative
échec
de traversés
du pont
d'f elle
au forum
des arènes
des autobus
des bicycles
à l'air vicié
sans les célestes
que l'écume
de Boris
Des idées
plans
calculs
ruses
de cercueils
Et des oranges
pommes choux
navets
de l'espace
Cézanne
ou encor
les enfants
aux cheveux
de rrirent
en friolololooo
retterrrr
erre
R
La route
des terres
aplaties
de croyances
ignobles
incestueuses
aux cassures
de jambes
en l'air
Là où la mer
sans arrêt
des pierres
de débâtis
aux collines
des monts
et des arbres
abattus
en suite
amalgamé
des colles
à bijoux
de madame
Marcos
madame Sisi
ceci cela
de madame mère
père
vert
du monde
effrayant
de Paul
oiseaux ou pas
des saint martyres
de Lolita
a la langue
Nabokov
aux papillons
hors les barreaux
du berceau
d'où du buffet
découvrant
l'insectarium
du désert
dans le grain de sable
dans les mots
du peintre
qui n'a pas
coupé sa langue
comme le voulait
Henri


A la mesure
de la main
la lâcher
de maîtres
s'envole
la Peur
réel obéissant
aux bruines
odeurs
de moments
au-delà
des attaches
épuisettes
farcies
des faôtes
d'enfin SEUL
et de jolies
pas Breton
pour 5 cents
Occitan
des affaires
aux chapeaux
68 très tard
au temps dire
des rats ayant
ratés
la part être
de bon navigateurs
mais l'Espagne
c'est mieux
N'importe
qui que quoi
qu'au cul
les bottes
en rôles
tout du terrestre
sortilège
de la navigation
aux brumes
saisonnières
des sirènes
a récifs
et rugissants
si loin des brises
légères
tout écartillé
dans Paris
avec ses statues
de pierres
un fou 
s'amourache
d'un ciment
scientifique
et lui donne 
TOUT
ou encor
la Chine
en soldats
de papiers
et cavalerie
de terres glaises
l'oiseau aux raisins
sans colère
contre le peintre
et des illusions
a mourir
de vivre...
Poupées russes 
en nombres zéros
 sur
la réelle illusion
de réel


Mais le maïs
aime le trémas
et Saïs 
le voile aussi
dévoilant
tassant le limbe
de là 
ils vécurent
C'est TOUT
Impôts
des mains
sur tes seins
auréolés
des vénus
demi mot
des laideurs
réveillant...
Enfin laissons
a Freud
et Onfray
le soin de leurs ébats
et poursuivons
l'en découdre
avec le réel
orgueilleux
et prétendant
en faire voir
pur de vrai
aussi vrai
que sur ses épaules
il monta dans l'arbre
avec une jument
sur le dos
et du balcon
de William
les applaudissements
pleuvaient
des cordes
et des clous
du spectraque
la foule
embarqua 
pour se terre


Affabulation
de philosophe
et des ciguës
pour les morts
de l'envol
à Minerve
en ses nuits
de plein jour
avec au trousse
le langage
des vipères
et des manipulations
d'usages
pour ses locataires
à la bouche
molle
La régression
du verbe
est la disparition
de l'Être
où ça sent la marde
Enfin
peut-on
en finir
avec l’enroulement
des pets de sœurs
passer au déroulement
de la luette
en colère
à l'air frais
des espaces
linguale
pour une turlutte
a faire danser
claquer les os
de misère
sur un reel
endiablé
et béni du bon dieu
il en resteras 
bien un peu
de la langue
mais sortie
du vinaigre 
et vivante




2 juil. 2020

Dit Entre



Le PAS D'ICI
des morts
criant
de peur
amortit
par la rage
d'en finir
avec TOUT ça
du labeur
des entrailles
aux membres
éreintés
s'usant
d'instinct
vers la terreur
désespéré
du passage
foudroyant
de cela
qui Est
Pas un rêve
pas réel
comme un surplus
d’abîme
dans les bras
d'Amour
Une chute
indicible
dans un merdier
céleste
C'est JAMAIS
en RETOUR
éternel
exaucé
d'Ailleurs
d'une barque
monde
renversée
de prières
festives
au Dieu mort
assassiné
diantre
de LUI-MÊME
en sa création
génocidaire
apoplexique
ratage
du ciel
en sa perfection
réussie
FIN



Le Roi Ivre

Ou avec l
et aile elle
s'envole
le jeu 
du monde
RIEN
entendu 
pas UN des uns
RIEN
MAIS
ceci en plus petit
tellement
enfin bref
chiffré
et en cette parenthèse
du début
a sa fin
Ce qui tient
debout
devant 
la MORT
La PEUR
ou la culpabilité
justifié
devant
la conscience
ou pas!  
Ce piège
naître
a chercher
la suite
la sortie
en ne perdant pas
la tête
ou l'esprit
ou le parc
a dodo
ou Dieu sait quoi?
Sortir sans perdre
quoi?
Le désir
les émotions
l'esprit...
Mais quoi donc?
Au fond Dieu
et c'est la Beauté
du monde
...ses effrois...
Le Dieu
joue comme 
ou avec?
'' Je ne conduit pas
je suis conduit'' *
et l'autre EST
créant
sans pourquoi
sans Dieu...
mener menant
sans savoir
Ou encor ou 
bien ou mal
Apocalypse
fin du monde
Bon ou mauvais
(La vieille 
devenue seule
et mourante
ayant tout perdu
demande 
à retourner
à la maison
et reprendre
ses occupations
passées)
éternel retour
...pauvre en esprit
t'est pris
En fin
bref...
Ni Dieu 
ni maître
ou la Peur
régissant
les portions
cannibales
prédatrices
sans vergognes
hypocrites
monde
pour UN des uns
ou  sans doute
RIEN


Il en mangeait
des couleurs
et les lobes
il donnait
en fin
ultime
geste
amoureux
pour lui
c'était fini
la discute
il avait été
il seras
des bouteilles
à la mer
souffrance
interminable
aujourd'hui
t'étouffe
pas possible
aux cimes taires
 les langues
mortes
à moins 
d'un dénouement
sans prétention
évanouie 
alors
bon à fermer
les portes de granges
ouvrir des banques
ou encor
des plages secrètement
seules sans emballages
enfouis
au plus profond 
du SILENCE


 
Matisse *




Bref



Refaire
la part
donné
désabsorbé
du temps
et de l'espace
passé outre
a la défonce
souriante
Ne pas obéir 
a la loi
monétaire
(monnaies vivantes)
la raison est-elle
totalitaire?
Enfin
Coupure
saut
hors l'enceinte
du modo
Silence
allant
au souffle
par d'interminables
joies
et ne plus
...des mots...
s’embarrasser
de dire
Aller

cfyio vbes
fgp
vgo
rttjbbh
et
frecj
fbggnn
verbe
fg hdh
fgtybnm
thjk
et
rgthnnb
verbe
jrtntyjj
iyrh
je pense
donc
tout a été
pensé
en je
scellé 
au prix
de la lumière
thhj
rjukl
dfghjk
et
fghnm,,
fgh..
ryukkh
(

)
.
Et?
Île
dedans
dehors
et la MORT

Arrache brasse
crache
à la....
Rebrasse
rebelote
l'insignifiance
contradictoire
Repousse
la nourriture
bouche-à-bouche
des grappins
d’écœurement
'' La vertu 
à un voile,
le vice 
a un masque'' *
Que rêve
Bloch
est passé
perdu
pourtant
irréel
d'utopies
tremplin
pont 
de patience
et d'attente
Cela se pose
en chambranlant
et sapience
de Lascaux
des fossiles
des dépassés
du chaudron
et de quelques autres
façons
peu enclines
aux disparus
utiles
et serviables
en pensées
s'entend...
ruminants
beuglants
de rages
et d'envies
d'exister
aux ravages
innommables
des sauterelles
dévisageant
Kafka
au réveil
de Samsa
triangulé aux amantes
épistolaires
Allons