Lignes
a commande
d'éteint
du mot
saccage
réelsur
azuré
délié
du désir
incertain
et envoûter
au bout
du maux
jeu de fous
d'ignares
facétieux
disparus
au paquet d'os
Fausses
rumeurs
de faiseux
de bruits
évasives
présences
...
Limbiques
et fumeuses
suffisances
vanités
des mensonges
de ventriloques
et des cries
de haines
saccages
Report
pour le compte
cruel
derrière
au dos
des pavés
des tombes
vers et c'est
comme naître
sans fin
l'éternité
de toujours
LÀ
essais
tentative
échec
de traversés
du pont
d'f elle
au forum
des arènes
des autobus
des bicycles
à l'air vicié
sans les célestes
que l'écume
de Boris
Des idées
plans
calculs
ruses
de cercueils
Et des oranges
pommes choux
navets
de l'espace
Cézanne
ou encor
les enfants
aux cheveux
de rrirent
en friolololooo
retterrrr
erre
R
La route
des terres
aplaties
de croyances
ignobles
incestueuses
aux cassures
de jambes
en l'air
Là où la mer
sans arrêt
des pierres
de débâtis
aux collines
des monts
et des arbres
abattus
en suite
amalgamé
des colles
à bijoux
de madame
Marcos
madame Sisi
ceci cela
de madame mère
père
vert
du monde
effrayant
de Paul
oiseaux ou pas
des saint martyres
de Lolita
a la langue
Nabokov
aux papillons
hors les barreaux
du berceau
d'où du buffet
découvrant
l'insectarium
du désert
dans le grain de sable
dans les mots
du peintre
qui n'a pas
coupé sa langue
comme le voulait
Henri
A la mesure
de la main
la lâcher
de maîtres
s'envole
la Peur
réel obéissant
aux bruines
odeurs
de moments
au-delà
des attaches
épuisettes
farcies
des faôtes
d'enfin SEUL
et de jolies
pas Breton
pour 5 cents
Occitan
des affaires
aux chapeaux
68 très tard
au temps dire
des rats ayant
ratés
la part être
de bon navigateurs
mais l'Espagne
c'est mieux
N'importe
qui que quoi
qu'au cul
les bottes
en rôles
tout du terrestre
sortilège
de la navigation
aux brumes
saisonnières
des sirènes
a récifs
et rugissants
si loin des brises
légères
tout écartillé
dans Paris
avec ses statues
de pierres
un fou
s'amourache
d'un ciment
scientifique
et lui donne
TOUT
ou encor
la Chine
en soldats
de papiers
et cavalerie
de terres glaises
l'oiseau aux raisins
sans colère
contre le peintre
et des illusions
a mourir
de vivre...
Poupées russes
en nombres zéros
sur
la réelle illusion
de réel
Mais le maïs
aime le trémas
et Saïs
le voile aussi
dévoilant
tassant le limbe
de là
ils vécurent
C'est TOUT
Impôts
des mains
sur tes seins
auréolés
des vénus
demi mot
des laideurs
réveillant...
Enfin laissons
a Freud
et Onfray
le soin de leurs ébats
et poursuivons
l'en découdre
avec le réel
orgueilleux
et prétendant
en faire voir
pur de vrai
aussi vrai
que sur ses épaules
il monta dans l'arbre
avec une jument
sur le dos
et du balcon
de William
les applaudissements
pleuvaient
des cordes
et des clous
du spectraque
la foule
embarqua
pour se terre
Affabulation
de philosophe
et des ciguës
pour les morts
de l'envol
à Minerve
en ses nuits
de plein jour
avec au trousse
le langage
des vipères
et des manipulations
d'usages
pour ses locataires
à la bouche
molle
La régression
du verbe
est la disparition
de l'Être
où ça sent la marde
Enfin
peut-on
en finir
avec l’enroulement
des pets de sœurs
passer au déroulement
de la luette
en colère
à l'air frais
des espaces
linguale
pour une turlutte
a faire danser
claquer les os
de misère
sur un reel
endiablé
et béni du bon dieu
il en resteras
bien un peu
de la langue
mais sortie
du vinaigre
et vivante