15 nov. 2017

Des Pas Là


Rebut Pas Corrigé


Petits pas
passant
par l'air
s'élevant
des chaux vives
pour requiem
d'ossements
d'un ciel
vilipendé
de calculs
disparus
sans savoir
somnanbule
tombé sous zéro
libérant l'universel
Présence
de l'Émotion
à la valeur d'Alpha
en petit dessin
de routes du Silence
déjà dans le grand
univers éternel
commençant
ses couleurs
progressant
dans lumière
vers le soleil
de l'oeil sol oeil
seul oeil etc.
De ce côté
les mots s'amusent
avec le Pas Là
sortent de leurs gonds
Solal  etc.
Et des guerres
dans le ciel
venues de la tétaire
à transfigurer
en petit dessin
de sortie tranquille
passant de nuit noire
en graphie d'air
d'eau et d'espace
à la manière de Watteau
partant pour se taire
au Silence de Pascal
semblable à Francis
et Antoine
dans une ruelle de Paris
cueillant des vies d'anges
dans un camion d'éboueurs
en colère obligeant
les drôles de moineaux
à s'expliquer d'un tel geste
Présentation du maître etc.
"Le philosophe n'en sait pas
réellement plus que
sa cuisinière"*
Contrat dictions
mille définitions
des maux du mot
toujours comment dire
mettre la table
et l'inévitable Fin
et post-mortem
en blanc (noir) de Chine
traduit par Lao-Tseu
déjeunant sur l'herbe
de Manet discutant
des aplats à servir
à la sortie de la conscience
d'(une grenouille
d'un étang et plop...)
Tenir pendant
la dévoration du monde
la terre compostant
tout ce qu'elle veut
y compris les Disparus
sans pourquoi
insistant pourtant
dans la lumière
mystérieuse
de son lieu infini
Elle va et va très bien
et bleu comme une offrande
s'offre à l'univers
pour le reste invisible
qui mène la barque
avec à la proue
le numineux
pour la plus grande joie
de ce qui devrait tenir
tant que l'Amour
n'est pas passé
au Céleste
et que la nuit
recèle la lumière
par petit dessin
sans temps
la soupe chaude
des cent aux fonds
du plus bas savoir
que c'est lui pas l'autre
de l'autre côté ICI
et que le nous
du Je est le même
dans l'ensemble
couvert de nuages
croyant Dieu
et l'Homme de foi
avant d'Être...etc.
Cela pense en Eux
tous en Je
mais tenu à distance
Guerre voyant
l'insensé du sens
bloquant l'arrivée
au-delà des signes
rebuts et corrigés
sans histoire
sur la terre
comme au ciel




Valéry *


Dis Stance


Des Corps Actifs 
sur décoration
d'histoire
en traits comme UNs


Peau d'autres bord
à l'appui du ciel
enfant cubant dans l'univers
là quand la géométrie
fait ses nus d'Amour
d'élévation hors de portée
des masses sacrifiées
aux laboratoires
du même disparu
Cela Tu Voies mon coeur
le beau de l'air
aux portes triant
qui noumène LÀ ICI
choisie sans distance
...en Vie...LÀ où
l'UN est uns
petit dessin en LUI
le maître
en paletot de Matisse
ou palette Zao Wou-Ki
encor Hiroshige
de Da Silva oiseaux
des cages de Vinci
tu Voie lactée Limbique
s'élevant du sexe de l'art
et de la mort trépassant
ICI en désaccord
et là-bas "dans l'autre monde
on ne se retrouve pas"*
alors et bien c'était
et sera...Cage Camp
suicide ou pas
maladie mortelle
ce CELA EST
(seule forme de cancer)
Nietzsche? En Fin
tenir tenir tenir encor
TENIR!!!
Ensuite quand tout
sera terminé
ce qui restera
l'autre côté
ICI en ses signes
LÀ où les mots
sont de marbres noirs
trempés de l'Aile
Tout Autour
l'indicible ailleurs
quelquefois mouillant
d'eau de mer
les ruines aux yeux
perdus du quotidien
et de toutes pensées
d'Irlande aux Îles Féroé
de Finlande aussi
seulement pour cela
et pour rien d'autres
Ici le Silence
est maître de souffle
post-mortem
in mémoriam
Nature natures
soldats de plomb
des croyances
fixées de gallons
d'(il y en aura
d'autres après nous)
 de Music
Petit dessin de fin
de partie pris
d'une réplique
pour pas LÀ
du UN en uns rayés
Disparus
techniquement (A UN)
eschatologie
tout en douceur (soft)
encor quelques brides
de petits dessins
tenaces au gré
de Personne
délavé en Jaune
et puis s'en sera fait
de l'Art de la liberté
c'est le vide (surréalistes)
des libérations
conditionnelles
de cent personnes
qui étaient attendues
chez Debord...
de la Nature natures
sans ETC.
comme dit M. Paul
Bon tout ceci est passé
mort et bien mort
comme le reste
depuis Last call
Règne sans savoir
l'éternité posthume

Art décorant
les signes anciens
du Saint-esprit
sain d'esprit
de Vincent
mille autoportraits
des anciens
vérifiés de sources
ayant terminé
leurs doutes
portés le trépas limbé
au feu le soleil
en son trou noir
nid de Phénix
au retour au bercail
d'Abandon à Attente
à la suite de Rembrandt
des pâtes d'Otages
aux charniers du Camp
des Disparus lessivés
d'atomes d'apprentis
manitous vaniteux
Art tu voies abrupt
et chemin faisant
parmi l'effroi comprit
l'escarpement agrippé
les dédoublements
les vents mirages
gourous maîtres
croyances...
Tralala la là...
guidant le peuple
mégalomane d'histoires
de bonhommes sept heures
sectes perdues
au huitième jour
Dire parler...
mille et une nuits
pour les mots des maux
Celui-ci l'autre
ceux-là cosommant
vingt milles lieux
sur la foi de lui
ou bien ou bien
la chanson des pauvres gens
en champ de signes
s'éteignant dans l'euthanasie
l'Alzheimer...mais vieillir
d'us et coutumes fixés
de cachets truands
pour dormir au réveil
dans la mare aux dents
avec entre nous
ces petits dessins
tenant lieu d'arche
bouées planche de salut
de point d'appui
le plus sérieusement
naïf seul décodant
par eux le sens
du monde être e son époque
et sans courant d'air?
Époque...
aucune idée!
Art?
Compris
Aura esprit ou pas
à pas lentement
JE pourrais dire
je suis MORT




Weil *


Corps Niche


Vu De Fait'Oeil


Aujourd'hui
dessins de mystères
et sacer d'os
à dessiner ICI
entièrement
de plein pouvoir
d'un futur antérieur
agrippé hors d'atteinte
de la dissémination
de l'esprit en technique
fabricant de l'oubli
et la fin de l'homme
dans la vérité
Pas LÀ ICI
avec les anonymes
en pleine métamorphose
d'agents agents jaunes
en Christ Gauguin
pour un tourisque
aux marres pilles
Enfin allons
encore un effort
Oui autrement
Ceci Art de quoi?
Un caca de Lautrec
à la mère à boire
en cul-de-jatte
avec...
Encor à corps
au métro nomme
juste le tempo
de Paganini
dansé par Nijinski
au Moulin de la Galette
et autres cacas de Miro
bien sûr Schwitters
après s'agissant
de memories
en vives mémoires
au bord de tous
des vertiges
de Friedrich 
racolant M. Hire
au passage sur la pointe
émerveillé du ciel
en braque français
suivi d'un pic à sot
payé en art sommant
les demoiselles
de prendre lavignon
pour un vol plané
sur les deux faces
du jour et de l'ennui
des vices à vendre
et des clous vagissants
à la frappe du marteau
de pierres boules d'aises
rythmant à répétition
sur le mont-Chauve
un air mauvais
de vert laine
par gains au bourre
du Père la chaise musicale
et kiosque en fanfare
de malheur
ayant perdu la dixième
symphonie morte
à Venise
en pirogue de la jeune
et la mort

Bon il est tard
ménage chiens chat
que madame promène
sur les remparts
Jacques fait la plonge
et sur le pont l'avion
six pieds sous sang dort
de lumière en festin
carabiné de Vincent
des barrages aux champs
de Fanfan
les Tulipes à l'an chair
wappé d'un monde riant
bouillie bouilli
pommes de roches
des falaises de marbre
Avec l'animal
qui va mourir
de longues promenades
sur la corniche
du sans issue
haut moment
où tout va s'affaisser
quand le Dieu
d'oeil de guerre
venu prendre le relais
sculptant le retour
de la joie absoute
du tout autrement
brisant le fil menu
du fragile et malingre
désespoir nécessaire
à la merveille
d'ÊTRE ICI
sous la coupole
de la bénéfique
terre en ciel
petits dessins
préparatoires
aux choses
qui se présentent
en tris d'homme
perdu puis retrouvé
au gré de l'abandon
puis défini par un Moi
par-delà les Je dois
déterminer
de ruses et de calculs
(du diable chiant
toujours sur le plus gros tas)
en des ruines
où on cueille l'eau
contaminée aux sottises
des constructions massives
où seul l'oeil
créé par la lumière
et en ligne verticale
(Kupka)
mène la joie
hors l'horreur qui échoit
de l'horizon qui vient
à la pointe restante
du sujet décapité
courant insensé armé
de philosophes girouettes
à bombes d'en nouis
d'histoires de fous
assoiffés de têtes
disparues des races
de monde au Camp
de pas idée de cela
qui de guerre contre tous
...(Silence)
en corps niche d'abîme





Seul Oeil


Là Où Sang d'Or
Le Pas Sage


S'éteint
le noir
le mot
la vie
la conscience
suicidée
en une panne
un piratage
virus
un éternuement
de poussières
vaniteuses
traînant
la honte
du sauf qui peut
la mort morte
rougie
des saignées de uns
nomenclaturés
d'insondables
composantes
techniques d'oublies
débranchant
le pouls du coeur
Sommoeil
qui Phoenix
par ailleurs
plus jamais
autrement
en des morts
et des morts
trilliards d'années
d'éternités mortes
retrouvées
à reprendre
depuis le début
l'esprit rompus
d'idéologies
mortifaires
assassines ADNs

Art de quoi?
Et qu'est-ce-que
cette chose
en temps
de Disparition?
Histoire
de ce qui n'en a pas
du moins hors
le non-sens
l'insensé des funérailles
d'un art qui n'a pas
encore commencé
Et où est cette chose
en Vrai l'Effroi
des affres éternelles
ces choses étouffées
des folies du jour
dévorant dévoré
du caosmos
de Joyce sait quoi
du grec au pied
de l'Acropole
avec un verre de Ouzo
chantant dessinant
sculptant que c'est triste
Venise..." J'ai pu voir
dans les nuages
et les murs des taches
qui m'ont stimulé"...*
pour plus par coeur
reprendre revoir
et Voir encor
au-delà de la scorie
avec mais orienté
d'admiration
d'étonnement
d'amiolioré
hors la Nature natures
du UN des uns le Même
par petit dessin
de diversion
donnant l'Ailleurs ICI
en évitant le grappin
la mise hors de créer
le conditionnement
le cerveau dissous
de ridicules infâmes
anéantissements
à la mangeoire
commune...des encadrés
faisant partie du tableau
du kitsch bitch
chiche caniche...
Art de Seul entre Seul
élu du don sans contre
don...des dieux
sévères

Art du Je ne sais trop
le JE c'est Nous en UN
force est de croire
sans vérité objective
que l'Effroi mène le monde
par l'oeil manquant
hors le dedans dehors
du (je t'aime je te tue)
hors de lui le Même
arbre à lettres
des forêts et des pommes
conte à souris des trappes
d'insectes d'abattoirs
cachant le secret
depuis le début du monde
des mises bas des langues
aux chats...
Art (voici mon coeur qui ne bas
que pour vous...) Vert laines
d'Irlande en pommes de terres
Débarrasser
de tout sens sujets
idées...percepts concepts
rêves réalités surréels...de tout!
Et ce qui reste c'est le plus
que Réel
Élimination des grands
dévoreurs et composantes
sociales par le tri
qu'oblige force...
l'acte de l'Art
libérant des liens
(par petit dessin)
d''être de son époque'
Encor jeté dans la mêlée
du troupeau pâte à modeler
marqué d'obéissance...etc.

Art de la création
fuite ou tenir en élévation
survoler ADN disquettes
ensorcellements
de Nature natures
par le Propriétaire
des tétêtes en show
du conte d'extermination
et résidus de fin de course
Valéry Benjamin
Arendt Wittgenstein...etc.
Comme éternel Retour
de il était il sera il est
une fois (foi)
Tenir toujours
par petit dessin
tenant lieu d'éthique
mise en Jeu
à la joie dansante
des couleurs
dans la lumière primitive
du jour à l'aube
de la création
donnant du Voir
par l'organisation
dans le noir
de l'or et de la lumière
reproduisant
du Vivant à volonté
en sujets cadrés
aux rythmes
emprisonnés
bricolés
empaillés roulés
lissés peinturés
ensablés collé
perforés gravés...
vendus et mis en marché
pour des sous
de papier gluant
collant à mouches
le tout sans l'obligation
de dévorer du cadavre
fixant le Jeu
de l'univers à quelques
chose du tout
de l'insaisissable infini
perçut l'instant
d'un feu de paille
du peu d'élues
puis retournant
au melting-pot
de Nature natures
vers ces silences
de toutes les Fins




Vinci*



5 nov. 2017

Disloquation Chiffrée


Dessin De Mémoires
(Fracture Du Conte
pour Art seulement)


Pétales
en pétarades
pétant le feu
changer en cristal
pas de statique
univers
de mémoire
en poche d'air
pillant le huard
de sa lumière
La mort
il faut le dire
poursuit ses ravages
en regardant bien
l'invitation
le magnifique admiré
éloignent le maléfique
enfoncement
dans la machination
du jour
Du plus Grand
Il est LÀ
par la tête
inégalement
en don...
Retenir en pain noirci
de tristes misères
le vieil oiseau
à l'égout d'abandon
et d'émotion
devenues lourdes
et à fleur de peaux
tombales
Des os propulsés
dans la moelle
atomique au fuseau
d'horreur
quand s'ouvrent
la gloire du matin
Des nuages peints
par Turner que tirent
de sales petits secrets
écomomiques pareils
à la monnaie-du-pape
en bouquet de croyances
vers no way
pour les bricoler
du ciel ou de l'enfer
Ou d'Où et Vers Où
verrous Camp
Vérité du diable
en Personne
du Art-O dans l'ère
de ce monsieur
d'envoûter
ayant déchiffré
les arcanes de l'existence
et fou de la folie
des sorties de cases
des cabales des foies
morbides grilles
griffant le mur
avec vingt mille autres
véritables passés outres
que des corps visqueux
en pluie de souffrances
cris de peintres de soi
fabriqués défaits des faits
jusqu'à disparus
éteints des tirants
déboulonnés de la splendeur
des musiques
de vérités sévères
pour des sphères
des appelés de l'Âme
de Vie...qui est ailleurs
ICI
Oui bon allons
fléau de mots
en la nuit d'infimes
chuchotements
de lumières
contrecarrant
les pillards de
"C'est dur c'est dur"*
et puis quoi encor
de LÀ exactement
construire
son Gouvernement
maître de céans
aux leurres
comme aux abris
par pas pour tous
sans portos
que sang chaud
contre les JES de lui
les uns du UN
Conte de l'AILE
De LÀ l'ennui
céleste se changeant
en capteur d'émotions
trouvées maquillées
de couleurs
portées à la clarté
de l'esprit où baigne
la joie de créer...
Mais où se situe
ce bonheur?
Dans une asperge
une pomme
de vieilles chaussures
hors la soupe
aux caméléons disparus
sur le carrelage
des mises à mort
Seul et l'urgence
du déguisement
en celui qui se déguise
à sa guise
en vue de la déprise
du vent de l'air
qu'il fait sur le peuple
masqué d'enfants
aux cheveux blancs
tenant son lieu
au passage de l'ICI
éphémère lignes
de passage
jouant un tour
à la cogitation
des chiffres
et de l'intelligence
bloquant le processus
de création
maintenant fixe
la joie la beauté
l'admirer la lutte
le tenir complice
avec le don
en son origine
fermant la porte
à la métamorphose
pour en sortir
de l'autre en trop
en JE sans vous
envoûtement
consenti en Disparu
du tombe haut
et dans la gueule
de l'ogre dedans dehors
invitant au repas
du Vivant
L'Impossible
et bribe de RIEN
petits dessins
du côté du pire
à survoler
tranquille sachant
bien que d'animal
l'Oeil scrute tout autour
le sidérant
des gueules ouvertes
à la bile d'un vert affamé
de petit pan créatif
en jaune Vincent
croyant les mains
des mangeurs
de peintures
empoisonnés de pigments
marquant le mur
de motifs uniques
par le sein d'esprit
le Saint-esprit
SEUL n'étant pas
de l'univers
dire le SILENCE
désaccordé des bruits
d'un corps détruit
de tant d'horreurs
Rire de tenir
aux petits rois
de diversions
par la Nature natures
morte écartelée
du cartel des viandes
alambiquées
de pierres dures
totalitaires de son échec
Seul...l'Art ce TOUT
petit point à la ligne
en l'histoire d'UN nombril
allumant son boom
au bunker du dernier Camp
tient lieu à la Captation
des cerveaux en natures
Nature pour le compte
écomomique du magma
universel

Par la débauche
des ruines
à la jambe rimbaldienne
en gigue sur quadrille
bloquée d'écroués
harnachant coeurs
émotions en foutres
des squelettes
aux gallons des murs
du dieu jauni
des banqueroutes
affaires des îles lumières
bien connues
des automatistes
mort oiseau fragile
à Paris sans le secours
des choses assassines
passer de l'autre bord
en noir et blanc
bien sentie en offrande
pensant à l'Égypte
traversant la place
de l'étoile et s'éteindre
dans les bras
de Zizi Jeanmaire
de l'autre bord ICI
avec Néfertiti
à l'angle de quelque chose
du RIEN de demain
les dieux...en d'autres
ruines en un sens
insensé et sans verbe
que des qualificatifs
totalitaires

L'Invisible
petit dessin
LÀ reprenant
de mémoire
où c'est effondré
l'Aura de vanité
méprisant les lignes
imaginaires
ne gardant que
l'avancer
des arrières
de la peinture
effacée évanouie
dans les poussières
de l'Esprit ayant
capitulé fermant
la porte derrière
abandonnant
la quête du quelque chose
emportée par l'UN
le Même en uns
Génocide venue
de milles partout
de-ci delà
à l'idéologie Unique
et le noir
de Mémoire Vive
à la proue...
Allons...




Léger F *