Des Corps Actifs
sur décoration
d'histoire
en traits comme UNs
d'histoire
en traits comme UNs
Peau d'autres bord
à l'appui du ciel
enfant cubant dans l'univers
là quand la géométrie
fait ses nus d'Amour
d'élévation hors de portée
des masses sacrifiées
aux laboratoires
du même disparu
Cela Tu Voies mon coeur
le beau de l'air
aux portes triant
qui noumène LÀ ICI
choisie sans distance
...en Vie...LÀ où
l'UN est uns
petit dessin en LUI
le maître
en paletot de Matisse
ou palette Zao Wou-Ki
encor Hiroshige
de Da Silva oiseaux
des cages de Vinci
tu Voie lactée Limbique
s'élevant du sexe de l'art
et de la mort trépassant
ICI en désaccord
et là-bas "dans l'autre monde
on ne se retrouve pas"*
alors et bien c'était
et sera...Cage Camp
suicide ou pas
maladie mortelle
ce CELA EST
(seule forme de cancer)
Nietzsche? En Fin
tenir tenir tenir encor
TENIR!!!
Ensuite quand tout
sera terminé
ce qui restera
l'autre côté
ICI en ses signes
LÀ où les mots
sont de marbres noirs
trempés de l'Aile
Tout Autour
l'indicible ailleurs
quelquefois mouillant
d'eau de mer
les ruines aux yeux
perdus du quotidien
et de toutes pensées
d'Irlande aux Îles Féroé
de Finlande aussi
seulement pour cela
et pour rien d'autres
Ici le Silence
est maître de souffle
post-mortem
in mémoriam
Nature natures
soldats de plomb
des croyances
fixées de gallons
d'(il y en aura
d'autres après nous)
de Music
Petit dessin de fin
de partie pris
d'une réplique
pour pas LÀ
du UN en uns rayés
Disparus
techniquement (A UN)
eschatologie
tout en douceur (soft)
encor quelques brides
de petits dessins
tenaces au gré
de Personne
délavé en Jaune
et puis s'en sera fait
de l'Art de la liberté
c'est le vide (surréalistes)
des libérations
conditionnelles
de cent personnes
qui étaient attendues
chez Debord...
de la Nature natures
sans ETC.
comme dit M. Paul
Bon tout ceci est passé
mort et bien mort
comme le reste
depuis Last call
Règne sans savoir
l'éternité posthume
Art décorant
les signes anciens
du Saint-esprit
sain d'esprit
de Vincent
mille autoportraits
des anciens
vérifiés de sources
ayant terminé
leurs doutes
portés le trépas limbé
au feu le soleil
en son trou noir
nid de Phénix
au retour au bercail
d'Abandon à Attente
à la suite de Rembrandt
des pâtes d'Otages
aux charniers du Camp
des Disparus lessivés
d'atomes d'apprentis
manitous vaniteux
Art tu voies abrupt
et chemin faisant
parmi l'effroi comprit
l'escarpement agrippé
les dédoublements
les vents mirages
gourous maîtres
croyances...
Tralala la là...
guidant le peuple
mégalomane d'histoires
de bonhommes sept heures
sectes perdues
au huitième jour
Dire parler...
mille et une nuits
pour les mots des maux
Celui-ci l'autre
ceux-là cosommant
vingt milles lieux
sur la foi de lui
ou bien ou bien
la chanson des pauvres gens
en champ de signes
s'éteignant dans l'euthanasie
l'Alzheimer...mais vieillir
d'us et coutumes fixés
de cachets truands
pour dormir au réveil
dans la mare aux dents
avec entre nous
ces petits dessins
tenant lieu d'arche
bouées planche de salut
de point d'appui
le plus sérieusement
naïf seul décodant
par eux le sens
du monde être e son époque
et sans courant d'air?
Époque...
aucune idée!
Art?
Compris
Aura esprit ou pas
à pas lentement
JE pourrais dire
je suis MORT
Weil *