21 mai 2017

En Corps


'Joli zéro tout rond'*
(A 1984)


Tranchée
des boues
du sang
des pareils
sous
à peu près tout
en brides
brisées
foutues
d'ici
là où le fil
s'effrite
au soleil
par poudre
blanche
génocidaire
des pris
bousillés
de sans peur
d'éternité
de oui dire
de jamais là
néant des gaz
à contrôle
dictatures
contre les derniers
des signes et mots
contre Nature
nature
alors et bien
Milord
'Se faire
comprendre
est impossible
ça n'existe pas'**
autant tenir
retenir
à voir la pomme
en boule
triangulant
au cube
cylindrant
le cercle polaire
en fin
l'affaissement
de la Sainte-Victoire
et refoulement
désertique
sur le plateau
des synapses
Qu'est-ce qu'il croit
LUI LÀ mais où
partout nulle-part
en UN
à décider plus tard
des signes tu voies
ce chaos d'oiseaux
en v sans vie
vaincu de vent mêlé
d'ignorance qui tue
des mémoires
qui tombèrent
décapités
de la pensée
par ruines
successives
entre eux les LÀs
LUI le MÊME
fatigué du huitième jour
et puis les signes d'art
sont révolus
ceux-ci seraient
les derniers
donc oui cent ans
moins quand même
ou bien s'éteint LÀ
l'étincelle
des...
Chérie!!!!!
le dessin tu voies
c'est dlamour
à la dérive de la table
à disséquer
pour ce qui vient
perdu...
Bref
la réussite devenir
spectre barbaque
dévorant du cancer
de qualité A-1
histoire risible
à mourir aux larmes
de l'UN et au-delà
de ce mot
tenir à quoi...
À Rire
peindre et pleurer
et ne pas faire
ce que l'on peut
mais ce que l'on veut
avec le peuple
qui manque
Manque et voeux
à partir du moins
de souffle et mort
sans les mots
ce qui reste
autant dire ce RIEN
en mots signes
ceci LÀ mais OÙ?
Ici ou là
TOUT
en même temps
par bourdonnements
las moches en vérité
infréquentable
tellement advenue
à l'extrême
naissant de l'auréole
de ce SEUL
sans UN
vers l'après limite
du disparu
afin que l'oeil soleil
éteint d'éclats
sans prestige
se retourne
sur sa lumière
pour en FIN
le retour
à l'éternel
Au quotidien
des guerres
et guéguerres
des mains-mises
sur les corps étêtés
des faires
suinter la monnaie
pour LUI
le Un des uns
Du bord
dérives
résiduelles
 Lascaux
aux statuettes
sans la bouche
en partance
vers le fil ténu
de la remontée
du fond
des décervelés
disparut
de la résurrection
du UN parfait
des totalitaires
'...Que votre haine
m'est agréable
J'avais tellement peur
d'être en tort...'***
que demain soit
ce que la mort
de vous
voulait
il y aura
des oublies
...


Walser*
Bernhard**
Beaulieu ***

Titre Au Trou


Wawarons 
à l'arrêt du cul


Le calme du début
de la valse
la nostalgie
déjà d'avant
les commencements
utérins et les grottes
grotesques
du futur compost
d'os de sperme
excréments
et crachats

Oeil d'oeil
en d'yeux
macabres
à couper au fil
de l'illusion
d'un réel
fait pour bander
sur l'animal mort
dans le crâne
ennemi héréditaire
de la pensée
à la fente meurtrière
d'où ça tire
à l'utile point objet
du rire et des larmes
en vains tripotages
au cercueil
des destructions
massives

Un jaune
de rouge mêlé
des bleus
en corps perdus
de terre
au champ de blé
sous ciel bouché
d'au-delà
du put d'un bouton
de ptit-cul
tyran futur
d'excréments
en l'espace
d'une disparition
subit le temps
brouillons
corrections
moisi
des fermentations
négociées
au chiffre de un
pour UN le même
et MORT

Silence du tableau
émotions aux arrêts
de mémoires
des mises à l'oeil
tentant l'équilibre
qui y est parfait
étant sans repères
et sans amertume
alors en dire
davantage seraient
rendre la voie
à ce qui Est LÀ
multiple contradictoire
hétéroclite
(cette nuit des vies
qui s'entre-dévorent
pour rien...(...)
dans l'abîme
de la matière,
ce néant)
dit Bonnefoy
pour en trier
entrer entre
la fine ligne
d'exécution
et sortir
en pleine lumière
de vivance
LÀ ICI bougeant
triant non
à la MORT

En main tu voies
les yeux plein les doigts
au cerveau en formation
de fleur sidérale
prête à éclore
mais pas ICI
tenir est mieux
se retenir mieux encor
en des renversements
inattendus imprévisibles
portant l'angoisse
'Si je cherche à redonner,
mot à mot,
un petit peu de sens
et de vie à chaque mot,
c'est parce qu'ils sont
tous morts'*
cent maux c'est fixe
comme du marbre
où le mouvement
est si rapide qu'il glace
le plomb gèle le feu
bon pour l'alchimie
l'art de dire RIEN
pour que la lévitation
de l'image demeure
dans son cadre
ou la matière
en la statue...
Jeu de ciel
à coeur ouvert
suspendu hors le pire
'L'homme n'est pas
condamné à mort,
il est condamné
à vivre'*
oasis repos du guerrier
errance absolue
Rien
ou plus simplement
TOUT
Il y en aura d'autres
en mollusques
en souffles
qui manquent
étouffées pas venus
et des larmes d'éros
de ne pas
la Mort vécues
par pleine luna
incestueuse
ou des répétitions à vide
couronné du trou
cosmique
s'avalant le lui
LÀ le même
coulé dans le béton
bon d'atomes
pour une recomposition
vers le UN sans fin
ni commencement
...de puits en puis
en comme...
pour RIEN
un début à la fin


Quignard*

8 mai 2017

L'Encadré


Cela Seul en RIEN


'J'ai trouvé la force
là où on ne la cherche pas,
dans les simples hommes
doux, sans la moindre
inclinaison à dominer' *

Le soleil
sans pourquoi
pétant le feu
voyant partant
d'Amouir
cendres d'Anse Pleureuse
Combien de seul 
trempé d'éternel
à vie par offrande
amplitude de RIEN
ayant la disposition
qu'il faut pour gravir
la poussière
de son coeur endormie
En vain les dires
que de silence 
construit de bruits
d'ensorcellements
consentis de faits
en conte tenant lieu
libres amants rêvés
d'élévation utopique
et réussie plein ciel 
du meilleur 
L'invention illuminant
les pas de la fin 
comme art en perte infinie
pour le bonheur
d'être bien nés 
Dessins peintures
sculptures
ces stèles d'avoir vu
perpétuant les
palpitations réussies
C'est seul et désenvoûté 
autre joie naissante
toujours tenante
d'ancestrales mémoires
façon sans mains mises
sur les beautés étrangères
le Maroc et Delacroix
les jours de Bonnard
les estampes de Vincent
Watteau et ses pairs
Klee Miro l'enfance
les gris les noirs
de Goya 
les repas colorés
de Staël
bref l'extase 
l'espace de la création
de vraie vie
ICI-MÊME
échantillonnant l'abysse
...et c'est le lieu
le LIEU LÀ où 
se réunissent
les contres la MORT
pas besoin
quand c'est bien vu
revu et corrigé
Allons frère humain
qui après nous...
peinons peignons
sans pignons pognons
en poignées de points
lumineux confettis 
donnant champ libre à cela
créer aujourd'hui 
mieux qu'hier
et dans le noir
du plus que noir
du jamais plus 
entre dadons outre-part
bien ICI agrippé 
au vertige savant
des perdus d'avance 
Passons 
vers le futur antérieur
suite à l'ébranlement
des atomes éternuant
prédateurs pilleurs
de souffle et de lumière
....Horreur du quotidien
que seule sauve une ligne
une couleur Shubert trio
en rythmes formes
premières fondations
d'un monde posant
les choses à leurs vivances
Insiste vieux crisse
tient bon vieille chaussette
tête brûlée aux grains grain
du papier à l'instinct
d'extrême méditation
bonne à RIEN
à sauver l'angoisse 
de sa disparition
...'Où je crée je suis' **
Une outre en eau de sel
insister assister 
asséché cendres 
et poussières
sur socle en la Nuit
de feux de flammes
des festifs moléculaires
en masse de liasse 
à massacres 
Où sinon ici sur terre
et pas sur Jupiter 
Verdun
pas hier ni demain
violence liée 
attachée soudé d'ADN
Sade au cul
sans savoir 
que mal et vice
Kasimir
l'encadra après avoir
vain cul
le soleil
par l'oeil seul
distrait la mort 
la fixant en plein coeur
blanc sur blanc
noir sur noir
respirant 
entre les deux
gracié le temps
de l'élection
en croix noire 
sur la dernière agonie
de son monde
Tombeau noir
Le lieu est vide
place à l'enterrement
des disparus
tout sera beau
sans répétition
reprise reconstruction
...détruire
il en restera
toujours quelque chose... 
ce RIEN devant Seul
l'étouffement 
et son dernier 
cri impossible... 
Alors
Rire du consensus
indifférencié
d'UN seul oui à la Mort 
...Carré noir
aux mille tourbillons
de soleil 
dévisageant l'anus 
où pour quelques sous
s'avalent d'invisibles
disparitions
Nature nature
...

Peinture sans sortie
que dedans
par en vers 
et pas un mot
sans la faire fuir
du visible visible
pure vérité
de cela qui EST
part d'obéis 
Point à la ligne
fleur prière
encor d'insérer
de Rien à RIEN
tenant de lumière
fugace fragile
éphémère 
tenir mourir reprendre
cela seul à seul
cadré de néant
se croyant
quelque chose
alors qu'à disparut
le monde du moins
celui s'imaginant
aux portes
de quoi que ce soit
En fait ce n'est RIEN
un acte action
façon manière
d'apparaître LÀ
cela aurait pu
être ailleurs ICI 
n'importe où
mais LÀ ICI-MÊME
beurré de couleurs
apprivoisant la lumière
lui faire signe
pour (que la joie demeure)
et précisément LÀ
en sa promesse
de SILENCE
entrer dans la danse 
la marche 
allumée du LÀ
ICI-MÊME AILLEURS
en des déterminismes 
triés à la volée 
prêts à devenir création
s'éternisant au-delà
des contraires
et dans la MORT

UN BLUFF
et l'art reprend
son court
Voyant de la nuit
lumineuse
calme sage 
attend LÀ
l'Attente 
l'élection
de vivance
Dessiner peindre
sculpter plus que jamais
comme croire
donne à VOIR
l'hors de l'enclot
sans cadre 
alors cadré 
d'impossibles 
points d'appui
sale crotté
galeux
d'avoir embelli
la pierre tombe ans
par le gouffre 
de la nuit


Nietzsche *
Rilke **


Art Des Fins Premières


Tableau Pour L'Absolue

Tout bord tout côté
envers endroit
comme il se doit
à prendre et à aimer
visible rendu visible
'Ainsi donc la morale
de la fin n'est pas
encor faite' *
Mais où? Et après
toi chérie...
Oh joie de fou
du miroir à frotter
les yeux noirs tu vois
LÀ la blague
du quotidien réel
en faire du souffre
à rire des trains
raillés de dés pipés
bons pour le Camp
à d'autres s'ils existent
d'en venir
aux lamentables
extorsions
des cerveaux
enfirouapés
des pas élus
des pas beaux
tout de suite
mouches des
natures mortes
violeurs de cadavres
compostés
Enfin oui
labyrinthe
à miammiams
ventriloques
à tirelire,,,
Passer l'ordre
normal des choses
la soupe à l'alphabet
chiquant fratricides
au bal imbécile
des ronds dans l'eau
impropre à la vraie vie
de créer
le RIEN d'offrande
à l'âme chagrin...
Enfin échapper
aux mouches noires
et se déconditionner
des conditions
du regard aux oreilles
de ce qui se dit
revenir arbitraire
et et et enfin la fin du fin
traversé l'éponge
de la musique exterminée
de fatigue sur la rive
vers la dissolution
le final allumé
Tableau des OUI
devenant devant
comme gros-jean
À la suite
ces traces
pour l'indicible
LÀ parfaitement LÀ
sans savoir
pas encor...
en traînée de poussières
sous l'occupation
d'entrailles
à la justice totalitaire
reculons
et partir déchaîner
des mises en plies
de pantalons
entre deux matelas
du cirage aux doigts
en temps à faire
semblant du ça va bien
de voir s'évaporer
la vérité
de la joie des yeux
l'Amour tout autour
juste ronronnant
de certitude

Rendre visible
le visible...
éphémère effet mère
d'affect passé trop tard
légèreté (listost)
plume ... sang sans
s'en abstenir
tant et aussi temps
qu'on peu
en jeu de vagues
pirouettant là
quand c'est si do ré
sur les plages d'un trio
fatigué miséreux
dans les tranchés
etc.
Instants fugaces
par l'incontournable
besoin d'aération
entre les lignes cassées
menant aux rives
des traversées triées
et pièces dans la bouche
pour le passeur
qu'il me ramène ICI
d'ailleurs même
mieux ou à reprendre
depuis le début

Quoi pas de leurre
après tout
'Les futurs maîtres
n'existent pas
et les maîtres passés
sont morts' **
sans tant de temps
en tant de choses
qu'au bout c'est nul
et des derniers mots
pour l'écrire
en toute mesure
de liberté permise
(à qui de droit)
toute petite ligne
de la lignée
des devenir (merdeux
boueux moelleux
je tombe je disparais)
Tarkos...
Qu'est-ce qu'il lui
le même croit?
Vous nous tue
entre je nous vous
à genoux
le sang de la terre
d'où insensiblement
ce n'est que noir
dans l'UN en feu
et en beau fusil surtout
en beau calvaire
sans but lucratif
Goya Manet Lestié
chemin charbon
asperge montagne
cri radeau être
pollens nuage
en fin TOUT


Lautréamont*
Bernhard **

l'UN juste LÀ


L'Embarquement
Pour Hybride 


En mille seuls
de milliards de nous
libre en RIEN
du tout
ne pas dire
si mais sachant
que pas...
Si juste en rire
inutile question
n'importe
c'est sans réponse
élévation
en tombant
dans les abysses
Rococo
pour se taire
autant redire
que d'autres
fils des masses
entre eux LUI
LE MÊME
si près en UN
Rouge
délavé blanc
invisible
et disparition
laissant libre
la tête départie
du nombre
pour en finir
avec le vouloir
en sortir de l'en faire
des affraires
Seul l'Art maintient
la lumière
le peu de temps alloué
pour aimer source
de tout bonheur...
LÀ au soleil
de la corrida
des coeurs
sur les rives du ciel
d'enfance chérie
étendue
peint sur la paroi
dévoreuse...
Et accroché au concerto
pour clarinette
A major, K.622 Mozart
...Passe
d'impasse à trépasse
outre-passe dépasse
repasse...
Repasse défait refait
et voir revoir prévoir
de voir...Quoi?
Envers l'endroit
d'une mise au départ
LÀ sans trop
pas du tout
Et ne pas suivre
l'Embarquement
pour Cythère
mais pour RIEN
hors les pôles
les méridiens
les luis le UN
tenir malgré TOUT
au UN...
Rire aux larmes d'éros
apprêter la machine
à but...
Z enfants de la matrie
perd diction
et dés pipés
en cul-de-sac
Hors de guingois
et du temps mort
hétérogène
pour la grande soupe
du UN pas pour tous
soufflant sur les mots
solos d'antithèse
de brume en la clarté
du noir sous l'âge
des pierres à lancer
de plus jamais
aux célestes
Enfin
C'est sans fin
et la grande RIEN
qui sait si rire
ne sait pas?
Peindre sculpter
n'est pas...C'est flou
vague imprécis inutile
du désir en silence réalisé
révélant la face hybride
des disparus
d'abord en rouge
ensuite tout court
des pères à perd perdus
à tête de mammouth
à chiures de mouches
l'art ce doublon sacrifié
pour le conte
ouvrant l'oeil
tenant l'avaleuse
éberluée distraite
le temps arrêté
d'un dessein
irréaliste
qui doit tenir lieu
de Personne
sous l'invisible
troupeau du monde
en son trou noir
visqueux morvia
insensément
Nature nature
pas pommesque
ni terre bleue
comme une orange
que beauté effrayante
que la couleur
de mes rêves
qu'où ça sent la merde
ça sent l'être
ou bien ou bien
le génie l'erreur
dans le système
encor et en corps
des choses
sans à jenous
des debout
des Clerbout
des Després
Gogh
Lamarche
Larouche
Staël
Watteau
des tombes haut
des pertes surtout
des lumières
aux fins d'effrois
d'envols
par chaleur
des volcans
de passes ports
pour no way
en sortir du sort
de l'en faire rouapé
des deux 4
des enfants vus
par Cézanne
au trou des sans trous
des donjons
des grottes
à la lueur
des torches
culs à diplômes
en recherche
de lueurs fines
en bas de la ceinture
etc. etc.

C'est sans père
et sans repère
en perdition
pour âme forte
et bien baraquée
d'astéroïdes d'étoiles
filant doux
l'éclair au chocolat
fourré à la crème
familiale...

Enfin dire
si cela se peut?
hors le temps arrêté
des tableaux
sculptures
et de ce que veut
la fuite hors de l'Égypte
de New York
d'ici des saccages
brigands
la destruction
multipliant les pains
les poissons appâtés
à la sauce
des matières fécales
universelles
en UN parfait règne
bon pour la peinture
inconnue des dieux
sachant que LÀ
et Là seulement
le mot SEUL
en dit long
sur le sens
de la Vraie vie
qui échappe
mais que parfois
elle (la peinture)
retient...
Rendre visible le visible
'Sur le plus haut
j'entends me taire' *
enfin que le conte
seul à seul
s'oblige dans le SEUL
à la vérité
des lueurs splendides
des odeurs de vivances
portant au plus près
ce qui ne peut se dire
mais se faire VOIR
à sa source
de VRAIE VIE
pour tentant sans cesse
d'y demeurer
hors la barbarie
du UN par milliards
de plus que mauvais
fait pour la réalisation
du palais de perfection
cristal miroir
totalitaire suicidaire
et pendu par la queue
de reproduction
du lui le LÀ
orgasmatique
céleste et universel
en TOUT et pour TOUS
Dieu croit en lui
ou pas là ou pas
là mais là
surtout las entre
toutes ces créatures
de tant de disparitions
apparitions
ordres et chaos
en vent de Bach
emprisonné
prenant la fuite
sortant prendre
la main à son pied
sur la ligne
insaisissable
d'un petit dessein
juste pour LUI
entre tous
Et le tableau va
tout mêler piégé
de lui-même
torturer de savoir
luttant pour s'alléger
de TOUT UN
SSssssssssssss


Hölderlin *