6 avr. 2025

Sur La Portée


... .et de toutes choses
au jeu 
d'Axelos
a l'art du temps
reprenant
 présence
en sa réalité
dénié et dévié
des faits mortels
et d'effrois
des morts 
au quotidien
en tant d'errances
et d'abandons
des sujets
qui des ouvriers
de lumière
à ceux des ombres
portées
sur la misère
de la création
des musiques
composées
pour abolir
les vertigineux 
modus operandi
initiatiques
 derniers métronomes
rythmant
le rituel
des cueillettes
sous le soleil
tragique
au feu 
des innocents
et des épelés
Créer
ou décréer
refaire
la mise en page
devenue 
imperceptiblement
le jouet
de l'ennui
et ses conséquences
sur la portée devant
Et de la création
répondant
de sa présence
par le racinaire
et l'élévation
des cadences
sur les larmes
pensant à 
Schubert
Schumann 
ou encor
toute la musique
en ses vérités
éternelles
et savantes
De Monteverdi
au saut
de Vivier
Dion
et des antre-eux
les protecteurs
du 
sacré
pensant à 
Stravinski
ou
Prokofiev
et des folles techniques
de Chopin
Bloch
Varèse
et des élucubrations
de
Cage
et des dizaines 
d'autres cherchant
le retrouvé
 dondécaphoné  réel
en son retour
sur la clé de sol
Enfin
du texte pour les vents
demeurant
pour l'oreille
univers
aile


OrOeil
et bourdonnements
sur 
les sacrifiés
de la
MORT
mortes
composition
pour d'innommables
répercussions
des bombes
sur des enfants
et des chairs entendues
par le requiem
sans nom
des après
TOUT
Qu'est-ce que 
l'ART
de là et de toujours
Ô
passage
du terrible
 de la vérité
qui chuchote
le destin funeste
des sans mot pour le dire
musique
Klee tapant du pied
tableautant
des marionnettes
de l'ange nouveau
De 
L'ART
pour ne pas mourir
des abattoirs
et des précipités
dans le vide
tous des aimé(es)
en vive mémoire
in memoriam
ART
donné par eux
Ô
passage
Alors 
chant d'amouir
proématique
tenant le tenir
en lumière
plein de larmes
contre froides
prétentions
 des affraires
d'affres et de maux
pour l'amour
indéfini
et + que
vivant
en que la joie
demeure
hors les chemins pavés
de bonnes intentions
et la langue
 dans la vie aigre
aimée 
d'Aimé Césaire 
ou encor
Eh Oh
sur la parois
visuelle
des mers gelées
de Samsa 


Et de ce qui 
du mourir
amoureux
polatouches
et des petites 
terminaisons
de fin de
TOUT
en ce qui à trait
sans la traite
des arts
pour qui que quoi
des caméléons
sur une chemise 
carottée
quand Jean Paul
le trappeur
et son bien
écoutait pas
la Manikoutai
mais le boléro
à répétition
 l'incompréhension
de la 
beauté
demeurant 
BEAUTÉ
des circonstances
racinaires
dans l'esprit
et les notations
en mots maux
quand le coeur
se dispose
à recevoir
malgré
TOUT
le 
Grand Tri
mystérieux
et sévère
du chemin sentier
piste
ou mieux avec
des bouts de pains
pour les oiseaux
de Viera
ou 
Després
et s'ameutant
de l'éclaircie
juste avant le noir
final
mais hors
des tristes et inconsolables
aimé(es)
d'AMOUR


Vie qui de la
vérité
TERRIBLE
et
d'EFFROI
et de consolations
éphémères
cruelles
et inattendues
toujours
inaccessiblement
maintenues
Qu'est-ce que
L'ART
de là
SEUL(es)
et sans le socle
de la culture
sortie de ses gonds
et tenir sur l'épave
d'incertitude
où seul les larmes
maintiennent
la flottaison
du peu de réalité
fondatrice
d'une assurance
sans équivoque
d'un bon chemin... .
là où l'incertitude
mène
la nef des fous
et c'est pas fini
la peur du bonheur
de Houellebecq
et des ses éponymes
catastrophés
de la réussites
de quoi au four micro-ondes
bombardant des viandes
et nourritures
terrestres
et si au moins
pour quelques sous
se payer
le retour des aimé(es)
avant la fin
de la pensée
en l'overthinking
pour ne pas 
oublier 
le peu de réalité
de la
MORT
mortes
et suicidaires
et écrire et penser
indissociable
et posant le prémisse
de la libre
insaisie
d'être
là pour le dessin
et du jeu
pour écrire un mot
après 
l'insipide
retour du même 
par les dentés du cerveau
et de là
Ô
passage
des captés
du 
Titanic
et de la belligérance
des émules
des pris au prix
de la marche en dire
par la sortie de secours
bloquée
par l'ampleur de l'irréversible
conclusion
des faits
dedans dehors
l'angoisse
d'aimer



Déni 
rossettien
et l'irréversible
persistance
des faits
pulsant le déterminisme
spinoziste
ou du livresque
sous le joug 
du verbe
et la situation
des évènements
et de leurs répétitions
dans le toujours
pareil
jamais pareil
Motifs dessinés
se répétant
en formes couleurs 
et rythmes
Rembrandt
de près de loin
Pollock
de loin et de près
ou le cassé
détruit refait
Poussin
Lavoie
(faut pas rire
des tartistes)
ou si... .
pensant
 à Blake
au jardin
et le curé
ou encor
faire éponge
épongeant
Francis
pas Ponge
et puis un taxi pour 
rythmé le
TOUT
dans la grosse pomme
avec
Philippe
et de la fin
dès le début
de la main sur la paroi
des songes
et mensonges
de
 l'ART
ou 
le fruit de la science
du bien du mal
encor l'enfance
des vraies affraires
du maux mots
de la matérialisation
de l'esprit
des vos d'arts
et la vérité
après 36
et 
la conclusion
eschatologique
de Guerne
et de la littérature
et de la critique
en sa phase terminale
jusqu'à 
Danto
( quand on peut tout
faire...( ) et l'insignifiance
postnarrative)
Enfin pour une proématique
du tenir
Socles et Poussières
mieux
les bronzes
et plâtres de
Paris
posthumes
et qui mériteraient
d'êtres 
après
TOUT



'' Écrire c'est parfois
la seule façon
de garder le silence '' *
ou encor
le tour d'écrous
de James
et puis de fin des commencements
Interminable
quête 
antre-nous
Ô
fol espoir
déconcrissé
du mot à maux
donnés 
pour la belle
de
Saïs
nature et savante
antre-nous
ô
court passage
avec la mise errante
et bien malgré
nous


Dantec *

2 avr. 2025

Routart



Dessiner peindre sculpter
et puis
cueillir ça et là
en son 
TOUT
ces sensations
diffuses
et mystérieuses
en tant de corps
nommés
 en instances
innocents
par des effleurements
mortels
continus
et imperceptiblement
en attentent
comme fixés
par un
 (je ne sais quoi)
entre parenthèse
de comment appeler
ce mystère
qui à lieu
temporairement 
en continuel
débat entre vie et mort
et qui jamais n'abdique
à sa résolution
des contraires
qui de la réponse
ferait sa disparition
en quelque chose
d'un jugement dernier
insaisissable
coupure
scissure 
fatale ou de vivance
perpétuelle
réunie en sa magnificence
arrivée
Demeure
irrésolu
l'état présent
de tous les paradoxales
incongruités
de passages
qui paradoxalement
par
 l'ART
ou bien
la nature
étincelle de sapience
cela arrive 
signe instance du plus grand
vision 
LUMIÈRE



...et du vert... .
vers qui n'est pas 
une couleur... .passage
qui chatouille
en passant et qui donne
sa langue au chat
ou encor
là quand
se demande
que reste t-il de nos amours
après 
TOUT
de la marche en dise
et des temps jadis
enluminant
le tour de passe-pas
sur naufrage
que des copies qu'on forme
au besoin
d'un cadavre
dans l'éprouvette
des épreuves qui 
amarrent
le modus de la survie
à la vie
la plus ardue des couleurs
le
VERT
initiatique
des aimé(es)
et des tendres 
naissances nouvelles
hors la gangue
cabriolant 
de la destruction
en son
TOUT
de la
MORT
mortes
alors
d'où... .
l'éclopé
des beaux jours
de
Sam 
en avançant
au bout du cap
empirant 
son empire
innommable
Oeil de guerre
et chemin
qui mène 
Nulpart
Alors
si la
MORT
mortes 
vous intéresse
soyez bon soldat
vous serez légion
au bout du compte
et la
TOUT
en poussières
l'instant d'être né
le piège c'est refermé
sur sa beauté
pommesque 
et cézannienne
croquée
sur le vif
vers verte 
la
Sainte-Victoire
d'AIMER
initiatique
Ô
passage
et le chemin celui
de la création
posthume
en voie âge
ridé
par la lumière
diffusant
ses grâces
et ses épopées
à faire rêver
les enfants apeurés
d'une histoire
à faire
danser les bougaloux
au compte
ennuyeux
des éditions
du
Banal
et du roi endormi
par l'utilité
de la casserole
et des bbqs
les mêmes 
toujours les mêmes
de ceux d'à côtés
de derrière
chez-nous
et bien à l'abri
de pas vu ni connu
L'ART
cette chose qu'on dit libre
de quoi... .
d'un intouchable
quoi que qui... .
en temps d'histoire
gauche droite centre
là pour ceci cela
des idées de lui l'autre
et qu'est-ce que
vivre veut dire
en ce miracle
de lumière
et sous ses milles reflets
matérielles
ici un tas d'ordures
pour
Bacon
là une fleur bleu
et des pauvretés
de Friedrich
Vincent
Varlin
Et puis 
Camus
Althusser
Deleuze
Staël
Rothko
Giguère 
Gauvreau
Etchart
et toute la bande
des tartistes
à la fin
sans fin
la 
MORT
 par ses multiples
atours
de la belle au bois
dormant
Boulogne
Bologne
sur le grill de tous
en la misère
de la survivance
en ne tirez-pas 
mes chers frères
EFFROI
terreur
de la part maodite
ou
encyclique intestine
de la tripatite
d'ensemble
en attendant
Godot
et le seul un
Dieu
pour en sortir de l'enfer
sartrien camusien... .
ART
enfance vrai hölderlinienne
et le tremblement d'abysse
et l'abdication
aux idées reçues
des us et coutumes
guillotinant
l'Axe-d'Abraham
et comment main tenir
la
Beauté
Ô
passage
sans se noyer de larmes
et des jamais plus
le paradis des aimé(es)
Alors et bien
L'ART
cette distance 
écart
( Seul la main 
qui efface
peut écrire
la vérité )
Eckhart
et puis cette impuissance
 l'abandon
de là
la perfection
ce désert
du malheur 
après tout
Et ceci qui du dire
ce comment
aimer
la ciguë du passage
en sa tragique 
sapience
arnaqueuse
liberté 
pour une pomme
de paradis
newtonienne
cézannienne
tellienne
et chevalier
des petits petons
et les pépins
histoire de dire
ce qui s'efface
disparaît
au coeur du pathique
et de l'oubli
après 
TOUT
qui est
L'ART
qui 
EST
la lumière
obéissante
au plus grand que soi
passant de nature
vert aimé
à dedans dehors
antre-nous
sans dire un mot
Ô
verbe
ETRE
aimer




Feuille 
de 
Routart
pour un conte
avec ou sans
Racine
s'enracinant
de vive mémoire
sur la mise errante
univers
éphémère
Ôte
 toi de mon
 sol'OEIL
dit
Ô 
sans gène
de la 
p'ART
d'antre-nous
et du 
Poussin
sur mesure
du cri 
tributaire
des chéri(es)
et des vertes prairies
de bisons
et de plumes 
d'encriers
en tant d'outrages
et puis
dilettante
de choses et d'autres
par des écrits
sous silence
de l'abysse
et
l'effroi
anonyme
imperceptible
présence
de la
MORT
en que le baladin de
 Dieu
ait pitié
de
Villon
par la nef des fous
et main tienne
hors l'enfer
la main à
l'oeuvrage


Encre de Chine
crayon acrylique
sur papier
Fabriano
2025


Qu'importe


Autrement dit
et de là
le nombre
indéchiffrable
proématique
ce oui
sur les flots
du quotidien
 de la souffrances
et de l'égarements
Attente
fixée des temps modos
de
Baudelaire
et Langevin
la Beauté
kitch
et des babioles
ravéliennes
sur un taxi jaune
à répétition
du rythme
NATURE
natures
sous l'égide
de forces insaisissables
menant le
TOUT
et ses vanités
vers l'écroulement
de la pensé
en son don
enraciné
dans la grâce et l'admiration
amoureuse
du mystère
qui termine
sa fanaison
en un petit dessin
forme 
de prière
disait le peintre
Éternité
par la suite
il faut croire
et les dieux sévères
à écouter
Dieu 
cette perception
de lumière
laissant voir
le chemin
d'abandon
et l'attente
infini
sans pourquoi
et de toujours
le même
par milles pièges
embuches
et embuscades
embrigadant
pour ceci cela
de la dispersion
diversion
tendu par
LA MORT
mortes
dantesques affraires
et avec très peu 
de chance 
à être ou pas
du passage
en
l'EFFROI
 rempli
de mauvais plis 
et de larmes
Alors la pensé
sans pathie
que froids raisonnements
sur la teneur
initiatique
de la nature
et bien
soit


Et enfin ces génies
ensorcelés
et décapités
avant pendant et après
dépités
du ressentiment
que d'être
antre-aimé(es)
de là
et seulement
ou bien
devenir au-delà
ce trou noir
de
 l'inattendu
Samsa
kafkaïen
ou
rossettien
pour lui l'autre
etc cte tec
LA MORT
et se ramasser
en
UN
des uns
doucement ou pas
inapte engagé
dans la soupière
des épelés
au triage
rapetissé 
jusqu'à 
disparition
de quoi que qui... .
en que 
l'ART
en question
du pourquoi
des déterminismes
encerclant
d'autres 
déterminés
Spinoza
ou 
es muss ein
et qu'est-ce que l'élévation
main tenue
quand le geste et le sacré
propulsent 
de la vrai vie
en la ième dimension
là où
l'antre-nous
dissemblable
mais relié
par 
du plus grand que soi
et du monde
refait à volonté
d'amour partagé
Savoir que 
tout est politique
ou que Dieu est mort
encor
que personne ne soit
à l'abri de la folie
 faut pas rire
Tenir
l'impossible
possiblement
qui peut savoir
que guidé
d'obéissance
au petit dessin
préparant
la fresque 
naïve
du peuple qui manque
en son attente
au fait
ces milliers de soleils
de 
Vincent
ou encor
allons voir... .
Lamarche
et ses cires perdues
et en râles
d'emphysèmes
que pas grand monde
à vu va... .iront voir
après 
la fonte des dernières
glaces
sur la plage de
Biarritz
et sous la surveillance
de 
J.J. Jacques
au casino
après une plongée
sous-marine
Évidemment
ici
le non lieu
ou 
en vérité
déraisonnablement
l'Amérique
pas trop
à moins que
Rothko
et les postures
du
sage
'' Tous les sots
 sont opiniâtres,
et tous les opiniâtres
 sont sots'' *
et là la main tenant
le vrai
bien caché
dans la nuit des longs 
côteaux
avec
Saïs



Et de cette position
pour enluminer
un dire cacophonique
 échevelé
par bout baroque
en des rognures de pensées
 mal apostrophées
au passage rapide
du texte
et sans trop ou pas du tout
approfondis
puisées et accueillies
dans un petit cerveau 
Ô
passage
des réminiscences
du moment
RIEN
de bien solide et mal ficelé
et voulu... .
En fait
 pour être grappiné
tout
pareil à la mise
en mot
ou pour réfléchir
à ce qui est et à été
Pour ce qui en seras
et bien là
la cour est pleine
et pas près
d'un accord
unanime de la
Grosse Soupe
monde
avec une majeur
ART
et
Mystère
se main tenant
malgré
TOUT
ART
et
SILENCE
que ça


Encre de Chine
crayon acrylique
sur papier
Fabriano
2025


Gratiàn *

En Mémoire


'' La liberté s'allume
dans les ténèbres '' *

De cette manière
plutôt
que celle de lui l'autre
et pas de... .
 préférant
le sans idée préconçue
en forme
de dire obéissant
aux anglicismes
et aux fautes de bases
pour... .
etc cte tec
En fait autres langues de feux
et de circonstances
d'ailleurs
étant toujours le colonisé
de quelqu'un
et celui-ci
en le triturant... . un peu
pour minimum
ouvrir
l'espace temps
à d'autres lieux
et misères
souffrances
inévitablement
y retrouver
les perceptions
à l'origine de la création
du monde
tel qu'il devait-être
avant l'apparition
de la phrase
 sujet verbe complément
Alors
la main à l'oeuvrage
des circonstances données
univers
par on ne sait trop 
qui et comment
( poussières d'étoiles
dieux déesses
extraterrestres
Dieu... .)
et l'histoire
dans le ciel à soir
en ses multiples
partitions sur la boîte
à musique
du call de l'orignal
Et de l'oubli
et des reprises et des à peu près
de ce qui à ou aurait pu être
Alors
il était
là ceci cela
de la mort
et ses convois
milliards trilliards
et des zéros
sans fins
par la terre et les songes 
mensonges
par encor ceux de Franco
mais de l'Atlantide
Ithaque
et du triangle des Bermudes
ou encor
chez les Guermantes
avec le temps perdu 
et retrouvé
le temps de lire
les phrases
du
Conte
et ses premiers arrivant
sorties
tout droit
de la main... .
Et tout cela
va se multiplier
en mémoires et oublis 
(avec e ou pas)
Alors
le livre
et la mémoire du monde
s'inscrivant
avec les mystères
retenus
et graver
dans les synapses
que va révéler
les mythes et la pensé
Et l'écrit sur pierre
papier
et mémoire adn
l'adaptation se codifiant
prenant en compte
le
Conte
histoire
d'à peu près
quelque chose
encor grosso modo
car un éternité
ne serait pas suffisant
pour le raconter
Bref
Dieu
littérature
en ses contes
et histoires
qui se donnent
 à vivre
dans la lumière
de l'esprit
tête étêtée ou pas
de toutes manières
vouées 
à disparaître
Après
TOUT
ces épopées
fresques
du temps perdu retrouvé
et réarranger
c'est selon
ou pas
en cet
IL Y A
il était des civilisations
disparues
et des fins
par 
NATURE
natures
croyances
ou conquêtes
de tribus tributaires
du oui dire
de lui l'autre
et pour 
TOUT
dire
atteindre
le cache ton dieu
de
Valéry
et déjà
voici l'homme
en ses amours
ayant passé outre
aux héros
antiques
et passés dates
et les points forts
virgules compléments
directs indirectes
alors ont repasseras 
comme le chinois
Mao
ou le très bas
avec des préférences
pour un farci
de fautes
servi par
bob et bobette
plutôt qu'une langue
roulée derrière le dos
TOUT
ça
pour dire
enluminer le dessin
de la vérité
en dessein de
dessiner
plutôt
que jamais
l'émotion
action sur le fait
d'aimer
non pas le motif
ou le geste trait
ou les couleurs
au plaisir enfantant
d'enfanter
l'aube et pine
hors de ses gonds
mais pour
la magie
qui se donne à 
VOIR
autant par un gigantesque 
murale
qu'un petit motif
des cyclades
ou wattever on the flow
Enfin 
quoi cette poursuite
du peuple qui manque
et là en ce jour
du très grand doute
du sens de son insensé
quoi que qui
des misères
et terreurs
et
l'EFFROI
que d'être
là-dedans
la
MORT
mortes
et ses folies
mortificatoires
du temps
encerclé
par le
et pour le
Conte
sociopoéticomomique
de la fulgurante 
question
LA LUMIÈRE
variable et dès le début
de cette 
faille dans la nuit 
exaucée
de ses extrêmes
d'infiniment
univers
et là les spéculations
Et bien
trilliards et sans fins
les zéros
et les poussières
de
 l'ART
et ses ajouts
d'inventions imaginaires
qui à l'image
donnée 
d'où où vers où
sur la paroi
des murmures de la vie
qui 
en un souffrir mourir
grave
le conte escomptant
tenir 
ce qui semble bien
ÊTRE



'' L'insolite
est inséparable
 de l'amour, il préside
 à sa révélation... '' **

Que ce temps d'arrêt
cette technicalité
cruciale
et terrible
de la prise technique
du monde
en son conte histoire
au prix
du pris
et sans prière d'insérer
les aimé(es)
de la frayeur
d'abandon
de nos seuls liens
possibles ses affects amoureux
et divins
par des retrouvailles
scellant les coeurs
en des raisons responsables
de nos avancées
mutuelles
vers le plus
d'AMOUR
à la source du
CONTE
maintenant
en se toujours
l'EFFROI
que plus jamais



Ce qui seras
et sans le sens
attendu
qui n'est pas
idéologique
et se donnant 
en timidité
dedans dehors
corps esprit
c'est de cela 
l'ATTENTE
en ce qui bouge
à la bougeotte
héraclitienne
des milles et un souffles
en formation
céleste
bien au-delà
des efforts inutiles
mais nécessaire
obligé
en son
TOUT
de la 
MORT
mortes
des choses
innommées
mal vues
mal dites
quelque chose de la souffrance
d'accouchement
des fausses couches
de tant de quêtes
avortées
déviées
qui sans la disponibilité
apathie
et de reconnaissance
obligeant
la respectueuse
apothéose
du sans problème
de la question
être ou pas
EST
devenu devenir
infiniment
glorifié
par le 
l'EFFROI
doucement apprivoisé
en la vérité
d'élection
somptuaire
posthume
aux abandon
terribles
des aimé(es)
ATTENDRE
ou déjà élu
qui peut savoir



La pensé du temps 
donné
en ses diversions
rythmant
les dansent quotidiennes
de ce que
Rosset nomme
le déni
du réel
et l'art lui y étant accolé
dedans dehors
en toutes parts
reconnues
qui en son soi
est cette lumière
sur la quête du plus 
d'amour en symbiose
avec l'adéquation
du vivant
et ses beautés
d'âmouir
et d'abandons
sous les retours
consentant
à la contrition
des contraires
Enfin
L'ART
EST
ce par quoi
les mots sont en silence
et de coeur gros
main tenu
in memoriam
dans la faille
 pathique
de souffrances



Berdiaev *
Breton **