20 août 2024

Pulsion Du piégé


''...Un supplément
qui joue de surcroit
le rôle
de suppléance au sens 
où la culture
supplée en quelque sorte
à la débilité
de la nature humaine...'' *
Enfin
quoi... .
quelque chose arrive
à été
et là
TOUT
doucement
tendu
la pulsion suicidaire
là quand 
évidé
du temps mort
l'ennuis schopenhauerien
détruit le reste
du sensé faire sens
Dire écrire
en forme de miroir
déformé
et désinformé
de
TOUT
au 
CAMP
des étêtés
du virtuel
groupés sous la houlette
des tyrans 
le diable
par la queue
du
UN
des uns
tombant des nues... .
exterminés
par la faim
mange ta main
garde l'autre
à la fin
Alors bref
qu'arrive t-il
 à la disparition
des temps
après 
TOUT
faux ce qui faut
d'anesthésie
et de l'aide
 aux suicides
pour le peu d'avoine
en la métamorphose
apocalyptique
terrestre
qui se présente là
où 
Guerne
il y à fort longtemps
passé minuit
après 
TOUT
MORT
morte
et ia 
du roi 
Ubu
et de la biodiversité
enfermée
au laboratoire
du dr Jekyll
frankensteinisant
au bunker
technicoéconomique
le dernier des mots
du
CAMP
en attendant 
si c'est pas lui c'est l'autre
sur la scène
des passions
guidant le peuple
à sa promesse
vertigineuse
d'atomes
dévorant
la belle au bois dormant
du retour
à parois
de Maris Stella
qu'est-ce qu'il y a
après
TOUT
Alors
Ô
bunker
des Adolph
aux bénéfices
des investies
de l'investissement
de la cage
à l'augmentation
univers
entropiquement
gestionnaire
imposant
Montaigne
et 
la Castafiore
au perd la chaise
la plus haute
où y poser son cul
Investies
de la part bbq
monde
émondé
d'une couche à l'autre
d'une histoire
 attendant
la boussole soudée
aux feux de la langue
dans vinaigre
Scories 
 Babel
bébelles
de redondance
humaine 
trop et aux trots
plein de la beurrée
brune 
compostant
NATURE
natures
pour 
L'ART
d'écrire un maux
pour ceux qui entrés
ici
où la peste 
avec Freud
arrivant à la grosse pomme
de la dent et crève
ART
de dire ce qui n'à pas
de point d'appuis
qu'un fourbis
résiduel
au passage
capitalisant
sur la loi de la marche
à
Jonestown
pour en sortir
de la folle et bruyante
multiplication
des poissons
éberlués
par la moulée
de la toile
en poussières
de savoir
TOUT
en 
TOUT
pour la cueillette
au jardin des délices
de
Basch
Redire avec Gide
le redisant
sans cesse
le dire et le dire
disant dite
sur la carrousel
et la
Poune s'éclatant
avec
Mozart
édictant
les lois de la marre
chant dise
t-ils
et Smith
reprochant à Adam
d'avoir manger 
la pomme déroutée
et Ève
raccrapotant
du fisc et des seins
t'est pris
au prix où 
le saint-siège
assis du à dime
et ô scalp populaire
Voir
Francis
Bacon
se faire cuire un 9
Bref
c'est pas forcément
une comédie
de tenir
par le bout d'une masse
de 17 lbs
pour casser
la mer gelée
Le rire
de
Bataille
et celui de
Crément
alors pensons y bien
car les derniers
moments
avec Blaise
c'est pas dlà tarte
demeure la pulsion
du tout nu
comme un vers
de taire
mon minou
des menés
pour une ouananiche
avant qu'elle sois 
à 
TOUT
jamais 
la dernière
de l'espèce d'idiot
à la fourrer
sur le bbq
ce qui pour le
Marquis
de la ligne
à ne pas franchir
car la débauche outré
lui vaudras vingt cents
et l'en faire
d'écrire
les vertus
perverse
de la société
suite à la sortie
du paradis
une extase
pour 90 misères
sur le pont
d'Avignon
Et bien soit



Le Greco
et 
Tolède
une nuit
de 
SILENCE
et d'horreurs
infinis
où le temps
infiniment
las 
attendant
ce qui du désir
s'éternise
en la vive mémoire
ATTENTE
sachant bien
la jungle sans
le Douanier
et les frees games
d'assassinats
en l'univers
du trou noir
que soulage
le noir 
où les couleurs
vous remette
le pinceau
sur la parois
des mains ensanglantées
de la pulsion
de la
MORT
morte
que 
l'ART
représentait
posant l'écart
pour l'union
sacrée
de quelque chose
plutôt
que rien
( La littérature
est l'essentielle
ou n'est rien)
dit
George
JEU
autour de la
MORT
morte
c'est à dire
l'enfance
s'effaçant
devant l'imbécilité
de la grenouille 
devant le boeuf
et la pulsation
échouant
en la vrai
vie
ICI
MÊME
D'AILLEURS
avec les aimé(es)
éternel(es)



... .Où d'où
verrous
et qu'est-ce que
dit un tableau 
de
 symboles
des signes
des traits
des formes
et de la gestuelle 
du corps esprit
dans l'oeuvrage
de
 l'ART
du vieille homme
en tartiste
Cela main tient
hors
ce qui se donne
au passage
en ce
TOUT
et
RIEN
de la perception
et les ressentis
en grappe
à grappin
agrippé
aux modos  
et au doigt et à l'oeil
de la surveillance
des marchés
vers la marchandise
au pris de la
MORT
morte
et puis fermant 
les lumière
que va garder
conserver
l'ART
au-dessus
dessous
dedans dehors
ou encor
et par la main
retenue
de l'Axe-d 'Abraham
in prefer not to
et 
VOIR
s'il n'y aurait pas
l'option
hors la
fin des temps
quelque chose
de mieux
peinture rupestre
moyenâgeuse
classique
moderne
ou content pour rien
un petit dessin
pour cerveaux lent
ou encor
un passage 
en douce
et depuis
belle lurette
ou encor
mathusalem
 au vent mauvais
des chasses
à pulsions
propulsant
l'atome
du dernier silex
car on arrête pas 
la progression
de l'usure
d'un survivre
pour des pommes poires
voir
Daumier
et les scoubidous
L'ART
pour ne pas
la
MORT
morte
au seuil
marchandé
pour un suicide
de l'artiste
en jeûne
devant le bbq
des attroupés
du mouroir
Qu'est-ce que
L'ART
après
TOUT
quoi que qui
IA
du 
UN
des uns
congédiés
du festif
et des festivités
du terrestre
nourricier
NATURE
natures
au sommet de sa cueillette
sanguinaire
et retour
avec l'éternel
nietzschéen
de l'ART
pour ne pas... .
VOIR
la disparition
de la
BEAUTÉ
inscrite
chez Fiodor
après
TOUT
 heureux les creux
car le royaume des cieux
est à eux
et des sorciers
opérant des têtes
les rapetissant
à volonté
 racrapotant
ce qui que quoi
devrait être
alors que cela
EST
et faire avec
aller vers la sortie
qui est ce que prescrivaient
les anciens
Enfin
l'ART
est par ce qui est donné
le désir
de main tenir
la lumière
dedans dehors
en un petit dessin
cousu du fil
d'art rie âme
en la
BEAUTÉ
métamorphosant la pulsion
en pensé
d'Axe-d 'Abraham
re tenant la
MORT
morte
pour une création
pour 
Personne
qui est le 
nom
au passage
par et dans 
la violence



D r Dufour *

Conte Art


Que de mots d'idées
de dés pipés
ici dedans dehors
de ruses
et faux jetons
que d'us et coutumes
enfirouapés
les mots de lui
de l'autre
en position
de gains capitaux
et de pouvoir
sur leurre qu'il est
de la misère
d'aimer
bref 
Le monde
selon ou tel qu'il est
à été seras
ce fouillis bouillie
bon pour
 les maîtres mots
du jeu
de ce qui sur la scène
du mourir
se propose
être ou pas
ceci cela
et qui sur le bord
de l'abysse
au vertige
du savoir ou pas
de ce qui
n'est pas
la
MORT
morte
les maîtres
de la beauté
et de la lumière
maintenue
malgré
TOUT
sachant bien
et contre mort
in memoriam
tenir
donnant
en la nature
le désir d'aimer
d'embellir
de protéger
garder
la faille ouverte
sur le terrible
qui somme
de se méfier
du moi je vous tue
et des grappins
grappinant
des pièges
de qui croyait prendre
et de sauve qui peut
où personne ne se sauve
de là
le jeu
de la création
fragile
en son appartenance
aux aimé(es)
au temps 
et à l'enfance
des rythmes
et des saisons
du cadre
libertaire
d'aimer
L'ART
est ce qui
désavore
la vie
retient
l'Oeuvrage
des avants 
donnés
et des hors les bbq
insignifiés
du néant
trou noir
des couleurs
bonnes pour les peintres
aux mains sur la parois
des martyres
encagés 
des conditions
NATURE
natures
en forme de pas lui
l'autre
des guerres
et guerre
d'atomes apocalyptiques
L'ART
ou passe
main tenant
le je ne sais trop
sur la feuille 
obéissant
aux intuitions
d'en sortir
de l'en faire
pavant de la torture
et des enragés
Fautrier
lui ou bien
art de la mise en 
quelque chose
de la vérité
lui en peinture
en amouracherie
ou encor
main tenir
ce qui de la terreur
de la terre
donne ses fruits
faisant éclater 
lui la rose 
 Béatrice
ou de personne
par la nature aimée
ou encor
ART



La prétention
et l'orgueilleux
attroupement
des genres
croyant pensant
et tenant
le nombre pour la raison
menée menant
le
UN
des uns
et qu'en vérité
de la 
parade
très debordienne
lui l'autre
pas celui-ci
ceux là
et puis campés
en poupées russes
de tout
en
TOUT
de la philosophie
ou psychanalyse
linguale
ou les mots
en verbe
cadrant encerclant
les épelés
atomiques
aux instincts
pulsants 
la
MORT
morte
sous le soleil
de s'attend pas à ça
après
TOUT
Qu'est-ce que
L'ART
après la fuite
en Égypte
ou au coeur
de la vivance
hors et dedans
la ritournelle
des captifs
pour la
la fin des temps
(aussitôt né
aussitôt
pour la mort)
dit l'oeil de guerre
au nom du perd
du fisc et du sein
t'est pris
ou encor sur une plage
grillé des des 2 bords
IL Y A
ART
alors
mais qu'est-il après
TOUT
soupape
cache misère
exutoire
ou encor
offrande à la cote
des investissements
pour mourir
héritier
d'applaudissements
de la bande à bon dos
ou encor
de la savante
science
du
TOUT
surtout
toutous
après
TOUT
des élections
éludant la beauté
détruite
par les milles
 et un synapse
des cerveaux lents
éternel
reproduction
des pourvoyeurs
d'ingérences
au passage
de la main mise
sur la paroi
du triage
qui 
EST
la demeure
du pas préférant
la tendre
et tranquille
pensée pour les aimé(es)
Alors 
L'ART
prière imploration
et gratitude
autant en emporte devant
avec les mots à maux
de Bosch
 Friedrich
Soutine
Bacon
et le gang des estropiés
du coeur
Enfin bref
avec 
ART
Ô
sortant de la mal die
vers des oublies
de cap au pire
et d'abandon
de la bande
débandée
du jeu très cruel
en jeU
été ceci cela
plutôt que
ce qu'aurait voulu
qui que quoi
préférant 
la lumière
et la vérité
des chéri(es)
au conte
de
L'ART


16 août 2024

S'En Titre


IL Y A
ou pas
et des scories
et du résidu 
de mémoire
histoire de dire
et de temps
hors la vérité
qui est
comme le peintre la vue
des corbeaux
pas ceux de Noé
mais de ce fils
de pasteur
bon qu'à ce faire tirer
des roches
et placarder au trou
du poulailler
alors
et bien
de quoi se nourrie
les portes du pénitencier
d'un en faire l'autre
Redire
avec 
Zoran 
qu'après lui
y en auras d'autres
et suivant leurre
qu'il est
là où 
Artaud
et ces éjecteurs
de lumière
sur le roulement
des chairs
à la barbaque
de la machine
la même
depuis le début
où 
Rembrandt
s'écorche
à sortir l'or
d'où ça sent
ce que sentait
la
MORT
morte
en sa nuit des longs
anthropophages
le désir
adn et le créé
pour la
NATURE
natures
après
l'ignorance
du cadavre
inscrite
sur la parois
des chairs
 indifférenciées 
des cailloux
et des semblables
sur la peau du tigre
et à la lueur
ensanglantées
de la mer rouge
où va se noyer
le vivre
pour en sortir
de l'enfraire
des affres et des coutumes
de pas lui
l'autre
le noir le blanc
le rouge
le jaune
le métissé
le chien le chat
les saints innocents
et les scalps
de monsieur madame
pendus
par la 
MORT
morte
déguisée
en fleur qui fait la belle
avec
George
et... .
Qu'est-ce que
L'ART
bon 
qu'à ça
et la marche vers
la faim
sans fin
et de la dévoration
univers
trou noir
et délavé
par les larmes 
d'Éros
retenues 
pour un petit dessin
main tenant la faille
ou va passer
le peuple qui manque
et la terre promise
de 
Paul
en la 
Sainte-Victoire
le bon pinceau à la main
et du mur
murmurant
le désir
du plus de lumière
ouvrant le jour
à la douleurs
aux souffrances
et à l'agonie
de 
Pascal
Qu'est-ce que 
L'ART
au bout du chemin
et sur toutes les surfaces
bien vues
et implorant
par l'embellie
d'offrande
quelques répits
pour main tenir
le passage
PASSAGE
vers le plus de présence
sur la
BEAUTÉ
dedans dehors
et avec
les grands génies
pesant la racine
du mal
et du bien béni ou pas
tenir avec 
Ulysse
ou encor
les voyants
allumés
sur la proue
de 
qu'est-ce que
L'ART
et la misère 
qui ne finiras
qu'au jour
ou 
la
MORT
morte
et la vérité
pour ne pas mourir
devant le mensonge
de 
L'ART
et reprendras
son aura
de respecter
les bêtes
en la
 nature
du passage
sur
 la grande
parois
 d'aimer



... .et des larmes
en outre
sur le non dit des misères
du
silence
des pas là
pour le dire
enfin de tous
quand l'invisible
dedans dehors
se laisse
atteindre
par le sortir
du possédant
du mot et de la nourriture
terrestre
et en plus trahi
par les abbé cdefgh
de l'histoire
Et qu'est-ce que 
l'ART
après
 TOUT
temps dur
et de froides
nuits de pains noirs
entre les ossements
et les bombes
humaines trop humaines
ou encor
malchance
de pas savoir
la chance
des uns des autres
du hasard
là ou là
chantant du
Céline
au châteaux 
pour une autre fois
en des riens
parvenus
au sommet pour chier
sur lui l'autre pas celui-ci
Le monde 
c'est effrayant
dit
Cézanne
vers la 
Sainte-Victoire
le pinceau
sur le voile de
Saïs
que du virtuel
et le bogue
d'échec et mat
hors le dessin
sans dessein
du passage
de Hugo
à Beckett
à Napoléon
ou encor
Clausewitz
et les brigands
de la mascarade
de la
MORT
morte
en l'abyssal
trou noir infini
des boums boums
Alors
l'ART
des données
du passage
en des simulacres
d'une histoire
non pas de fous
mais 
de la
MORT
morte


... .de l'insensé
au passage
de cette faille
de lumière
parmi
des rognures
scories
de ceci cela
de mal ou bien
dit
de la chose
en partis pris
pour ou contre
l'état du lieu
là totalitaire
là l'inverse
en la prison
du moins pire
qui de la survie
au détriment
de lui l'autre
de la misère
pour un baignade au bord
de l'abysse
avec ses semblables
héritiers
donnés donnant
la part de chance ou pas
là un bien écrit 
en la loi
du verbe
là un torchon
d'ART
changé en or
par 
Rembrandt
ou 
Bacon
inversant la mise
et toujours
pour passer
outre aux outrages
et puis les lapidations
stigmatisant
les passions
du corps et ses faims
dernières
en fin
Qu'est-ce que
L'ART
après
TOUT
... . plus de lumière
goethéenne 
ou divine
qui vient souper
ce soir
LA MORT
et de misérables
petites chances
en des lubies
en
TOUT
d'un Céline l'autre
de la Poune
à Tysounne
en Watteau vers îles
moumouques
L'ART
et la vive mémoire
de ce qui du
CONTE
il était avait été
seras
quoi... .
maître penaud 
de l'insignifiance
devant le pourquoi
du cul-de-sac
et des prix de gros dos
Un précipice
précipitant
les prémisses
à la fin de l'histoire
et ses prédations
véhiculant
la part 
du chemin de la vie
avec les épelés
du mot et du verbiage
en fin de party
ou encor
les derniers instants
de
Pascal
alors avec 
Friedrich
Chagall
Klee
la peinture à l'huile
 de Boby
et le jugement 
d'Artaud
et Gogh
et Magog
de lui le même
UN
des uns
Qui va là?
Qui se présente
mieux que qui quo cul
des passions
de la dévoration
de lui l'autre
pas celui-ci
La jungle
sans 
Rousseau
douanier ou pas
ART
un petit dessin
pour tenir
ou encor
contre la
PEUR
et bien
la magie mystérieuse
d'aimer