''...Un supplément
qui joue de surcroit
le rôle
de suppléance au sens
où la culture
supplée en quelque sorte
à la débilité
de la nature humaine...'' *
Enfin
quoi... .
quelque chose arrive
à été
et là
TOUT
doucement
tendu
la pulsion suicidaire
là quand
évidé
du temps mort
l'ennuis schopenhauerien
détruit le reste
du sensé faire sens
Dire écrire
en forme de miroir
déformé
et désinformé
de
TOUT
au
CAMP
des étêtés
des étêtés
du virtuel
groupés sous la houlette
des tyrans
le diable
par la queue
du
UN
des uns
tombant des nues... .
exterminés
par la faim
mange ta main
garde l'autre
à la fin
Alors bref
qu'arrive t-il
à la disparition
des temps
après
TOUT
faux ce qui faut
faux ce qui faut
d'anesthésie
et de l'aide
aux suicides
pour le peu d'avoine
en la métamorphose
apocalyptique
terrestre
qui se présente là
où
Guerne
il y à fort longtemps
passé minuit
après
TOUT
MORT
morte
et ia
du roi
Ubu
et de la biodiversité
enfermée
au laboratoire
du dr Jekyll
frankensteinisant
au bunker
technicoéconomique
le dernier des mots
du
CAMP
en attendant
si c'est pas lui c'est l'autre
sur la scène
des passions
guidant le peuple
à sa promesse
vertigineuse
d'atomes
dévorant
la belle au bois dormant
du retour
à parois
de Maris Stella
qu'est-ce qu'il y a
après
TOUT
Alors
Ô
bunker
des Adolph
aux bénéfices
des investies
de l'investissement
de la cage
à l'augmentation
univers
entropiquement
gestionnaire
imposant
Montaigne
et
la Castafiore
au perd la chaise
la plus haute
où y poser son cul
Investies
de la part bbq
monde
émondé
d'une couche à l'autre
d'une histoire
attendant
la boussole soudée
aux feux de la langue
dans vinaigre
Scories
Babel
bébelles
de redondance
humaine
trop et aux trots
plein de la beurrée
brune
compostant
NATURE
natures
pour
L'ART
d'écrire un maux
pour ceux qui entrés
ici
où la peste
avec Freud
arrivant à la grosse pomme
de la dent et crève
ART
de dire ce qui n'à pas
de point d'appuis
qu'un fourbis
résiduel
au passage
capitalisant
sur la loi de la marche
à
Jonestown
pour en sortir
de la folle et bruyante
multiplication
des poissons
éberlués
par la moulée
de la toile
en poussières
de savoir
TOUT
en
TOUT
pour la cueillette
au jardin des délices
de
Basch
Redire avec Gide
le redisant
sans cesse
le dire et le dire
disant dite
sur la carrousel
et la
Poune s'éclatant
avec
Mozart
édictant
les lois de la marre
chant dise
t-ils
et Smith
reprochant à Adam
d'avoir manger
la pomme déroutée
et Ève
raccrapotant
du fisc et des seins
t'est pris
au prix où
le saint-siège
assis du à dime
et ô scalp populaire
Voir
Francis
Bacon
se faire cuire un 9
Bref
c'est pas forcément
une comédie
de tenir
par le bout d'une masse
de 17 lbs
pour casser
la mer gelée
Le rire
de
Bataille
et celui de
Crément
alors pensons y bien
car les derniers
moments
avec Blaise
c'est pas dlà tarte
demeure la pulsion
du tout nu
comme un vers
de taire
mon minou
des menés
pour une ouananiche
avant qu'elle sois
à
TOUT
jamais
la dernière
de l'espèce d'idiot
à la fourrer
sur le bbq
ce qui pour le
Marquis
de la ligne
à ne pas franchir
car la débauche outré
lui vaudras vingt cents
et l'en faire
d'écrire
les vertus
perverse
de la société
suite à la sortie
du paradis
une extase
pour 90 misères
sur le pont
d'Avignon
Et bien soit
Le Greco
et
Tolède
une nuit
de
SILENCE
et d'horreurs
infinis
où le temps
infiniment
las
attendant
ce qui du désir
s'éternise
en la vive mémoire
ATTENTE
sachant bien
la jungle sans
le Douanier
et les frees games
d'assassinats
en l'univers
du trou noir
que soulage
le noir
où les couleurs
vous remette
le pinceau
sur la parois
des mains ensanglantées
de la pulsion
de la
MORT
morte
que
l'ART
représentait
posant l'écart
pour l'union
sacrée
de quelque chose
plutôt
que rien
( La littérature
est l'essentielle
ou n'est rien)
dit
George
JEU
autour de la
MORT
morte
c'est à dire
l'enfance
s'effaçant
devant l'imbécilité
de la grenouille
devant le boeuf
et la pulsation
échouant
en la vrai
vie
ICI
MÊME
D'AILLEURS
avec les aimé(es)
MÊME
D'AILLEURS
avec les aimé(es)
éternel(es)
... .Où d'où
verrous
et qu'est-ce que
dit un tableau
de
symboles
des signes
des traits
des formes
et de la gestuelle
du corps esprit
dans l'oeuvrage
de
l'ART
du vieille homme
en tartiste
Cela main tient
hors
ce qui se donne
là
au passage
en ce
TOUT
et
et
RIEN
de la perception
et les ressentis
en grappe
à grappin
agrippé
aux modos
et au doigt et à l'oeil
de la surveillance
des marchés
vers la marchandise
au pris de la
MORT
morte
et puis fermant
les lumière
que va garder
conserver
l'ART
au-dessus
dessous
dedans dehors
ou encor
et par la main
retenue
de l'Axe-d 'Abraham
in prefer not to
et
VOIR
s'il n'y aurait pas
l'option
hors la
fin des temps
quelque chose
de mieux
peinture rupestre
moyenâgeuse
classique
moderne
ou content pour rien
un petit dessin
pour cerveaux lent
ou encor
un passage
en douce
et depuis
belle lurette
ou encor
mathusalem
au vent mauvais
des chasses
à pulsions
propulsant
l'atome
du dernier silex
car on arrête pas
la progression
de l'usure
d'un survivre
pour des pommes poires
voir
Daumier
et les scoubidous
L'ART
pour ne pas
pour ne pas
la
MORT
morte
au seuil
marchandé
pour un suicide
de l'artiste
en jeûne
devant le bbq
des attroupés
du mouroir
Qu'est-ce que
L'ART
après
TOUT
quoi que qui
IA
du
UN
des uns
congédiés
du festif
et des festivités
du terrestre
nourricier
NATURE
natures
au sommet de sa cueillette
sanguinaire
et retour
avec l'éternel
nietzschéen
de l'ART
pour ne pas... .
VOIR
la disparition
de la
BEAUTÉ
inscrite
chez Fiodor
après
TOUT
heureux les creux
car le royaume des cieux
est à eux
et des sorciers
opérant des têtes
les rapetissant
à volonté
racrapotant
ce qui que quoi
devrait être
alors que cela
EST
et faire avec
aller vers la sortie
qui est ce que prescrivaient
les anciens
Enfin
l'ART
est par ce qui est donné
le désir
de main tenir
la lumière
dedans dehors
en un petit dessin
cousu du fil
d'art rie âme
en la
BEAUTÉ
métamorphosant la pulsion
en pensé
d'Axe-d 'Abraham
re tenant la
MORT
morte
pour une création
pour
Personne
qui est le
nom
au passage
par et dans
la violence
D r Dufour *