22 juin 2024

visible


Poissons Et Bocal
hors de
TOUT
doute
sans nul besoin
de passer
cso
sos
ou encor so watt
ou watt ever
on the flow
et la barque
de 
Noway
que de la tristesse
vers là où
nous attend la chienne
et le cimetière
de
Valéry
démis de ses fonctions
de gloire
en se hors d'attente
d'ATTENDRE
en l'absurde
limbique
en son neutre 
et tenir
ayant fait
VOIR
le visible
VISIBLE
en rire
et risqué
de par 
TOUT



De cela au coût 
d'élévation
mortelle
on étaient
plus qu'averties
LA MORT
( comme un voleur)
et comment 
UN
des uns
voleur
et la
MORT
venue
De LÀ
TENIR
au
CAMP
et mourir
sans savoir
sachant
et mieux que quiconque
l'effleurement
et la lutte
d'EFFROI
et de là
ressusciter
 ICI
MÊME
D'AILLEURS
Où D'où Vers Où
et la beauté
du noir
terrifiant
et puis après
TOUT
les chéri(es)
du bonheur
et la le
DOUTE
rabattu
par un petit dessin



QUOI
après
TOUT
de 
l'attente
de la fin
exaucé
au vide
posthume
pascalien
Apocalypse
en phase
terminale
imperceptiblement
triant
NATURE
natures
et 
nature
 du dessin
de
 l'ART
de tenir
posthume
et éternel
car c'est contre
où le lieu
du non dit
des chapeau de
Renoir
des asperges de
Manet
de la lumière sur
les cathédrales
de la perception
vive
de
Bacon
contre les balounnes
populaires
signant
le gonflement du
TOUT
de la farce et attrape
attrapé
et néantisé 
par la froideur 
de la
MORT
morte
Le peuple qui manque
main tenant

ICI
MÊME
D'AILLEURS
où converge
les élus
de l'
ÉLUDÉ
qui
EST
de la souffrance
et des larmes
 d'errances
et des chéri(es)
sanctifié(es)
des abattoirs
et des camps
du
CAMP
de la misère
venue de l'innommable
là où
toute la littérature
in memoriam
à vue
les racines
de la lumière
 sur les langues de feux
 à la quête
d'un point d'appuis
hors l'enfer
où brûle la conscience
ANIMAL
en l'esprit
du plus
Grand 
justement l'invisible
qui
EST
visible
VISIBLE



20 juin 2024

La Vie


Dire jamais dédire
redire autrement
ne pas suffoquer
par les mots du dictat
linguiste-tique
ou de la cacadémie
de ses ponctions
sur l'autrement dit
plus court
et moins liant
de la mascarade
du 
TOUT
et du pire
voyez
la stupidité
des mots pour en fait
personne
que des paroles
de morts
et de la
MORT
morte
( moment spectral du silence)
Blanchot
Alors
où croyez vous
qu'iront
les bombes
la machine
de 
MORT
ne peut s'arrêter
IL Y A
ces petits dessins
pour 
les aimé(es)
aussi inattendus
que ce trou noir
de la 
MORT
morte



Encore Blanchot
sur le 
Silence
et la fin
du mot
de l'histoire
à été est seras
mais quoi
les chéri(es)
ce qui permet
de tenir tête
à la folie
que d'être
perdant l'amour
celui du coeur universel
responsable
du vivant donné
et sachant bien
la terrifiante
présence en ce lieu
du mensonge
cruel et finalement
infernal
Alors le jugement
à eu lieu
et depuis le paradis
et la pomme
cézannienne
nous en subissons
les conséquences
ou bien
illusion
et attrape piège
et cultivé
pour la récolte
de la
NATURE
natures
pour le
UN
des uns
Alors
 L'ART
plus que
TOUT
ayant bien vu
bien compris
LES AIMÉ(ES)



L'ART
et le
TOUT
cet aggloméré
de choses incertaines
en la multiplication
des pains
et des multipliés vous
de
ce fait l'explosion
démographique
et de la dilapidation
des ressources
en bombes
en bbq
en destructions
pour un ragoût
de ma tu vu
sous les atomes
et changé en molécules
et les menteurs
aux bébelles
sous les ponts
de par ici
et le soleil de ça tend
pas à ça
la disparition
des puces de la répétition
adn 
de lui le même
UN
des uns
spinoziste
nietzschéen
bouddhiste
anarchiste
missionnaire
professeur 
riche appauvrie
de la richesse
et l'enrichie de la pauvreté
le savant
l'inculte
croyant ou pas
docte ignorance
ou 
Einstein 
et ses prédictions
atomiques
Abellio
et la secte des beaux esprits
Cioran
Eliade
fachos
ou pas
Heidegger
pro ou pas
hitlériens
de la repentance
du seul un
DIEU
et Simone Weil
l'attente
de... .
Un jour viendras
avec Aragon
on visiteras la 
Russie
qu'Althusser
gauche et mal à droit
réalisant la fin
de la philosophie
ou encor n'en jeter plus
la course au lemmings
et l'abysse
est
DISPARITION



À la sortie du
Paradis
de l'Axe-d 'Abraham
et vers
Noway
du monde tel qu'il est
des chamans 
sorciers
poètes
et proématiciens
du chant du signe
la
BEAUTÉ
et la joie
des réalisations
du sans temps
autant que veut
le veux
d'AIMER
la tendresse des animaux
en enfer
ce jugement dernier
IL Y A
en plus
Alors
L'ART
et les enluminures
et cathédrales
et les créations
innocentes
pas coupables
des anonymes
non de la marge
mavericks
outsiders
marginaux 
et imbéciles des musées
pour le Monet
taire
échomomique
de l'homme invisible
éduqué
à ne rie voir
car possédant déjà
la manducation
prédation
du ce serait beau 
dans mon saloon
et puis en temps de guerre
mieux
cela rapporte
un billet pour
la fin 
des temps
Ce temps
pour le travail
de la
MORT
de
l'art
et la disparition
des aimé(es)
Ce qui pour
L'ART
et son point d'appuis
avec de Guys
Varlin
et un petit dessin
de
Lavoie



Hommage 
Au
Dessin
 dessein
et aux seins
de la Sainte-Ni-Touche
de la reproduction
pour la
NATURE
natures
du début du monde
là quand
sans courbé l'échine
au passage
de l'attrapé
des mouches noires
sur le boeuf 
de
Rembrandt
sous titines
entrelardé de
Bacon
pour un festif
avec le concept
suicide
pour une grande
mort
d'agrippés
des bijoux de
Charles
et le beau de l'air
de la modernité
d'abysse
et
d'atomes
spectraux
du spectraque
d'après
TOUT
en reste 
L'ART
pour ne pas mourir
de la vérité
du passage


Errance Refroidie


Que les températures varies
en n'en faire
du bruits et des bruissances
en la 
FIN
des prédations
trop humaines
De la les maux cents
mots
sans répercussions
sur le cour des choses
et
LA MORT
morte
d'où part 
L'ART
après les petites morts
à là quand
l'exultation
de
Courbet
au du monde
et la pipe à m'agrippe
et peu importe leurre
du jouir
 au coït
univers
alors les que les semences
des semaisons
du poète
art à gonds
des portes
ouvertes
sur les goulags
et les beuglements
des abattoirs
où 
LA NATURE
natures
poursuit son indifférence
envers 
parait-il
les 10 pour cent
de bon
dix de mauvais
et quatre vingt
qui penche
d'un bord ou de l'autre
et les gouvernements
de soumis
et d'enrôlés
si la
MORT
vous intéresse
Alors
le barrage de la rage
électrifiant
les synapses
et bien
Que peut l'art
en tant de la résurrection
du monstrueux
méchant 
contrat social
et le retour nietzschéen
du désert
'' ...Je ne sais pas
être clair
pour qui ne veut pas
être attentif '' *
ou posthume
aux refroidissements
des bouchers
de sangs froids
alors
60 secondes avant
la faim
immonde
façon de dire
LA MORT
morte
et la facilité
que l'on prend à  mourir
que constate
Blanchot
DISPARITION
du mot
à maux
et les mains sur la parois
du sensible
et de la joie
que d'être

ICI
MÊME
D'AILLEURS
malgré
TOUT



L'ART
est ce renversement
de la
MORT
morte
en 
mort s'éternisant d'attendre
main tient
le contre-mort
L'ART
de
VIVANCE
 contre l'appel
de la
MORT
à jamais
L'ART
sans
la
MORT
morte
est bien le retour
de la fin
de
L'ART



La peine à contenir
le coeur gros
les larmes
de la lutte 
des chéri(es)
exhumé(es)
par l'oeuvrage
du
EST
amplifiant le sensible
en memoriam
éternel souffrances
en sismographie
de la main
à l'oeuvrage
où les élu(es)
d'amouir
on concrétisé(es)
le plus
de lumière


Rousseau * 

19 juin 2024

D'Ailleurs



Autoportraits
que cela... .
et rien d'autre
en fait
TOUT
vu précisément
mais emporté
vers 
l'insensé
vrai
sans la frime
des simulacres
de la prétention
guerrière
et militariste
Totalitarisme
et capitaliste
contre la
vrai vie
en l'oeuvrage
de diversion
contre 
MORT
morte
qui à le cerveau
dans les bottes
dans 
TOUT
les sens
Qu'est-ce que
L'ART
contre les menés maîtres
assassins
de l'embellie
du tranquille
amouir
Posthume après
TOUT
guerre ou pas
apocalypse
 ou fin des temps
De la force
de l'ignorance
NATURE
natures
Allons
petit dessin
pour la rigolade
des malfrats
DESSIN
depuis le début
du monde
DIVERSIONS
du crime
en comme 
UN
des uns
et contre nature
et les chéri(es)


Sous la Violence
exacerbée
par la
NATURE
reprenant 
le sens 
lumineux
de la présence
divine
(divinus)
ou qu'importe
le goût du crime
de lui l'autre
natures
quel bonheur
et facilité
cette force
naturelle
NATURE
natures
et les spermes
d'ART-Ô
Alors
détruire qui que quoi
ET APRÈT
sous la surveillance
de
ça tend 
pas à ça
LA MORT
tu r
en la conclusion
de la
faim d'une poutine
nucléarisée
sur le bbq
d'un festin de bobette
TENIR
à main dessinant
sur le sable
le coeur aimant
l'IL Y A
TEL-QUEL
ICI
MÊME
D'AILLEURS


Anachorète mystique
ou encor
un saint ou un fou
dit George
en la nuit en plein jour
pas transfigurée
et non plus que
qu'encore
le néant
de l'éternel retour
alors c'est quoi l'affraire
nucléaire
après 
TOUT
apocalypse
humain et en soi
et né pour ça 
LA NATURE
natures
et le call de l'orignal
de la bête lumineuse
allumé du feu 
de la revanche des pendus
par les pieds
ô toi humain
trop humain
d'où où verrous
aux yeux bleus
 du ciel
vert de marde
ou encor
l'ennuis économique
en surplus
des enfants martyres
d'avoir été comptés
là un mâle là une femelle
et là un vote
pour une armée
un monde
et des étêtés
par la
NATURE
des choses trappes
de la escompter
compté
conter
des Jonas dans la baleine
exterminée
et les oiseaux
calcinés des tombes
aux poissons
d'oxydes de carbones
bruegéliennes
à la violence où va 
le remède de cheval
à tuer des mouches
avec des canons
il est très bizarre
que le ridicule ne tue pas
et que la terre 
qui s'abreuve de son sang
ne soit pas rassasiée
au nombre de décès 
par la maladie
du vivant
et sans cesse et à tous instant
la mer rouge
de ses états caméléons
NATURE
natures
Alors demain
bombe ou feuille qui tombe
et 
Céline
semblable à né faire titi
et la poutine
mélangée
avec le fourre
TOUT
célinien
d'un château l'autre
barbe bleu rousse 
et sans rougir
et sans honte
le semblable baudelairien
 de pas lui l'autre
sous l'emprise
de la barbaque
des tranchées 
minces aux fèces serrées
du dernier moment
en râle
dernier moment 
pour l'euréka
de la fin
et plus pubs de festifs
et de jambe en l'air
de ressenti
d'IL Y A
une certaine
emprise de quelque chose
comme la vision
de
Rembrandt
Van Gogh
au passage de la misère
de la 
VIVANCE
des aimé(es)



Tenir étirer
le temps
d'AIMER
d'AILLEURS
ICI
MÊME
En ce mot à maux
ce pieux 
rêve inatteignable
insaisissable
point d'appuis
cela arrive
mais pas où 
s'y attend
l'attente
Antre sans entre
lumière
transperçant
l'éternel
en larme alarmé
Métissage
enluminé
de la grande protection
hors propos
hors d'ordre
ne répondant pas
au goût du gourous
ou au sorcier yaqui
et maître de quémandage
gnosique
Pas de... .
que de la
LUMIÈRE



Peuple Qui Manque
chez le terrible
AMOUIR

Art De Rien



... .de vive mémoire
in memoriam
L'ART
EST
par cela 
la 
MORT
VUE
du vivant
de la vivance
qui n'importe qu'aux 
mains tenant
la vrai vie
AU PASSAGE
de la 
Splendeur 
d'AIMER
qui 
EST
la condition
la
SEULE
pour cheminer
hors la cage d'en faire
des affraires
NATURE
natures
Le corps aimé
nature
et perfection
d'éternité
de la tristesse
et la
JOIE
en sa généreuse
BEAUTÉ
de la vrai vie
de
VIVANCE
passant outre
à la
NATURE
natures
ignorant
l'effroi des chairs
tremblantes
 abandonnées
des pleurs
de Salomon
de 
L'ART
d'AIMER
l'IL Y A


L'essentiel
se répète
se retrouve dans l'esprit
des bêtes
et les deux pattes
d'arrivées
sans la protection
des aimé(es)
alors pas long feu
Et persiste dans
L'ART
sensible
au ressenti
hors du meurtre en commun
ce Girard
appelle
les doublés
de l'envie
de ce que l'autre
mimé
mimant lui pas celui-ci
l'autre
le crucifié
nietzschéen
ou le pendu
nervalien
ou encor 
Vincent
chez
 ART-Ô
Alors
que pense le bbq
par temps
de surchauffe
du parc pas des braves
mais de l'apocalypse
jalouse
de la fin des temps
qui n'auras pas 
lieu
en pleine
DISPARITION
de l'impasse
et du cul-de-sac
orgueilleuse
et prétentaine
de la
Castafiore
au perd la chaise
de 
Montaigne



ART
après
TOUT
au passage
de la
BEAUTÉ
des élues
au temple
de 
l'AMOUR
en 
TOUT
et n'importe quoi
la
BOMBE
sur le visage
de la terre
miraculée
d'infini
(Tout est visage)
zéro ni mot
ou bien
Levinas
d'un blanchot
appelant sa mère
 sous la matraque
Qui peut dire
le visage
Giacometti
ou 
Dürer
ou 
Bacon
Gogh
Artaud
ou mieux
Léautaud
ou
Schopenhauer
ou encor 
des particules 
et des menteurs
et Rossinante
dans les mines
cravachées
du bbq
Alors
L'ART
est un emmerdement
du diable
et on adore
cette famille
aimée
d'AMOUIR
et les chéri(es)



Encre de Chine
crayon acrylique
sur papier
Fabriano