Que les températures varies
en n'en faire
du bruits et des bruissances
en la
FIN
des prédations
trop humaines
De la les maux cents
mots
sans répercussions
sur le cour des choses
et
LA MORT
morte
d'où part
L'ART
après les petites morts
à là quand
l'exultation
de
Courbet
au du monde
et la pipe à m'agrippe
et peu importe leurre
du jouir
au coït
univers
alors les que les semences
des semaisons
du poète
art à gonds
des portes
ouvertes
sur les goulags
et les beuglements
des abattoirs
où
LA NATURE
natures
poursuit son indifférence
envers
parait-il
les 10 pour cent
de bon
dix de mauvais
et quatre vingt
qui penche
d'un bord ou de l'autre
et les gouvernements
de soumis
et d'enrôlés
si la
MORT
vous intéresse
Alors
le barrage de la rage
électrifiant
les synapses
et bien
Que peut l'art
en tant de la résurrection
du monstrueux
méchant
contrat social
et le retour nietzschéen
du désert
'' ...Je ne sais pas
être clair
pour qui ne veut pas
être attentif '' *
ou posthume
aux refroidissements
des bouchers
de sangs froids
alors
60 secondes avant
la faim
immonde
façon de dire
LA MORT
morte
et la facilité
que l'on prend à mourir
que constate
Blanchot
DISPARITION
du mot
à maux
et les mains sur la parois
du sensible
et de la joie
que d'être
LÀ
ICI
MÊME
D'AILLEURS
ICI
MÊME
D'AILLEURS
malgré
TOUT
L'ART
est ce renversement
de la
MORT
morte
en
mort s'éternisant d'attendre
main tient
le contre-mort
L'ART
de
VIVANCE
contre l'appel
de la
MORT
à jamais
L'ART
sans
la
MORT
morte
est bien le retour
de la fin
de
L'ART
La peine à contenir
le coeur gros
les larmes
de la lutte
des chéri(es)
exhumé(es)
par l'oeuvrage
du
EST
amplifiant le sensible
en memoriam
éternel souffrances
en sismographie
de la main
à l'oeuvrage
où les élu(es)
d'amouir
on concrétisé(es)
le plus
de lumière
Rousseau *