9 mars 2024

Veille


Image
hors pris
Ô
SILENCE
si lent cieux
bien moins 
en plus
que 
TOUT



Les vents
n'en savent rien
et pas pour
TOUT
c'EST
bien
darwiniens
l'ESPRIT
lui sait
retient
garde
le chemin
les mots n'y peuvent
rien
ou se fixe
s'éternise
en n'en faire
du mal


Tel sont sous l'épave
ces mort(es)
mal armés
pour l'enfer
Le corps
en sa vérité
première
l'infiniment
GRAND
la dévoré
sang dévotion
L'ingratitude
perd l'esprit
et perd le corps
devient
misère
éternelle
errement
d'à jamais plus
l'AMOUR



Métaphore
du fixé
en traits prolongés
il seras
tant de temps
ce seras s'entend
milles
milliards
de ça tant 
et l'infini
zéro autant 
sans suspendre
son vol


TOUT
est
passé
Alors
demeure
la perte
de la langue
érotique
ramène
à dessein
à l'essentiel
à l'essence
du ciel
embourbé
du maux
fusé




Refaire
le refaisant
interminablement
la 
QUESTION
d'autrement
l'intuition
ne sait pas
fait oublier
DE LÀ
au
S'OEIL
d'avant 
après
OUI
ouille
rouille
fouille
et se mouille
se pisse dessus
pour l'odeur
d'où
le
est transcendé
et hors la prise
dépris
des prix
pour mourir
( La maladie de la vie )
Duras
Ici ce n'est pas
de la littérature
pas de critique
pas de... .
C'est de la proématique
pure
encor mal
des grossies
de la caca démie
C'est 
inexorablement
sculptural 
pictural
et
enfairenal



Le grain 
de 
Voir
comme on 
VEILLE




Et Après



Longtemps
après
TOUT
trop tard
et 
fatigué
et les coeurs
animaux
détruit
par des pas là
de moins 
qu'insidieux
Art
pour ne pas
mourir
de la vérité
art qui guérie
de tout
et sauve le chat brûlé
 du musée
alors
la vérité
NATURE
natures 
reprend ses droits
sa force effrayante
et sa 
MORT
morte
en des horreurs
incommensurables
et sans noms
alors
déluges cataclysmes
et
Apocalypse
en
FAIT
madame chose
froide
et sans instinct
d'émotions
darwiniennes 
Et bien qu'elle
affraire
ART
pour 
VOIR
pas se fait voir
déguisé
NATURE
natures
ART
d'AIMER
la
BEAUTÉ
effrayante
qui se présente
et 
VOIR
le pourquoi de la chose
en sa destruction
infini
NATURE
natures
ART
et tantôt les mots
devant l'ampleur
du désastre
Qu'est-ce que
l'ART
sous les sols
et les squelettes
atomisés
de la
NATURE
natures
devenue
risiblement
( le RIRE
de Bataille)
Alors trop tard
évident
très
t'ART
seul à seule
exterminé
de l'espèce
Y A T'IL 
eu
L'homme n'à pas
toujours été
accident 
D'ART
ayant envoûté
la
NATURE
pour un flirt avec ça
l'embellie
ou encor
en corps
par un déjeuner
sur l'herbe
sous les corbeaux 
de Vincent
au-delà
de l'amuser
des musées
pour un vide
en forme
d'avenir
biaisé
dévoré
par la monnaie
morte
croquant la pomme
la même
celle à la sortie
du paradis
avec
 Cézanne
et quoi que qui quo
cul
Alors 
l'ART
et la vérité
dégoûlissante
en dripes
du all over de flow
en vérité
un surf deleuzien
c'est
TOUT
Que peut 
l'ART
enfin 
c'est quoi 
l'ART
pour sortir de 
l'ENFER
de la jungle
atomique
et très ancestrale
sans
Rousseau
et sa douce
et paisible
transfiguration... .
Au début
des grottes bunkerisées 
aux troués
vitrées
et à l'épreuves
de rien pantoute 
Imaginons
des bêtes
en formes
de terribles choses
sans poils
téléguidées
(par des meneurs
un peu capitaines
bonhommes)
  drôles
de drones
objets volants
bien identifiés
par d'innocents
meneurs
se croyants
les messagers
de la fin des temps
sans 
l'ART
aujourd'hui
un peu défardé
de la Joconde
de Marcel
mais quand même... .
Mieux que rien... .
Oui
BOUM



Joconde
après 
TOUT
et des forêts
plastifiées
de la faille
refermée
soudée
par une écoeuritte
depuis le temps
des amours mortes
et du changement
de sextualité
en texexualiser
la main
à la monnaie vivante
et ayant laissé
tomber
la partie
des bijoux
à la grappe
de la vigne
agrippée
de feu 
le sens caché
de la reproduction
de la
NATURE
payée
en natures
et la fuites
des spermatozoïdes
vers
d'où ils viennent.. .
Au choix
de la prétantaine
Et bien... .
Las la terre
fatiguée
rompue
à la tache
ingrate
en des tortures
massacres
souffrances
d'enfants bombardés
d'animaux 
martyrisés
et un
COMPTE
ennuyeux
où le roi devenue
reine
dort
pendant qu'à
Ithaque
c'est le bordel
Alors 
que voulez-vous tue
Au début
de la fin
la fin était
le début
de
L'ART
d'AIMER
avec 
Honoré
ou
Auguste
Valéry
Cioran
et le
TOUT
auras tes yeux



Petit règne
de naïveté
et bien 
qu'en comparaisons
HA et Ô
en tant du peu
tenant
que se pend
les disparus
de la
DISPARITION
en son
TOUT
de la fin
La naïveté
 monnaie
maintenant
 la
MORT
en maître
terminant
sa basse en très bas
pendant
 que K
est à la piscine
et à maille
à défaire
les boues
gangrénées
de la taire
se terrant
aux changements
d'après 
TOUT
IL Y A
à de meurt
la baignade
dans le fiel
bleu 
 tyran 
par le wagon
de queue 
Au début du
VERBE
il seras
temps
de
VOIR
encor
L'ART
pour ne pas
mourir
de la
VÉRITÉ




''Le langage
est la possibilité
de la subjectivité'' *
réalisant... .
Et de là
les chéri(es)
parties
prenantes
vers une valse
où la musique
prend contre 
Wagner
et pour le
 Bach
et ses suites pour violons
seuls
en formes
de prières
 d'incérer
la lumière
éternelle
de 
L'ATTENTE
Bref 
Monteverdi
feras l'affraire
car la musique
compte
le rythme
et main tient
la
VÉRITÉ
éloignée
de l'anéantissement
des musiques
militaires
Alors 
un coup d'Oeil
là-dessus
BREF
TOUT
est foutu
avec
 Clément
O(U)F




Benveniste*

8 mars 2024

Nul En TOUT


ART
de l'échapper
et au sortir
de l'Enfer
là où
Art-Ô
et quelques autres
on fuient
ayant trouvés
la faille
hors la mort
des chairs
et des envoûtements
dont 
en don 
et payement
envers une histoire
qui n'à pas
l'âme
qui vive
C'est à dire
des matières
en formes
humaines
mais dépourvues
de conscience
existants machinés
au service de
lui
le même
UN
des uns
la
MORT
Alors
petit bateau
aux voiles
translucides
laissant passées
les atomes
festives
dentelées
d'un monde
de pas lui l'autre
ou encor
la
MORT
à vif
ART
de la 
fiction
proématique
là sans obligation
que la joie
d'un petit dessin
LA main à l'Oeuvrage
tenant la horde
à distance
de la
BEAUTÉ
de la terre et du ciel
par cet infime point
d'appuis


Carte au vent
des particules
sans les menteurs
c'est à dire
SEULe
et de là
depuis
le
TOUT
premier instant
mortifère
et du cul-de-sac
où avec 
Henry
et la gang
à faire
VOIR
le visible
VISIBLE
en ronde
de jour en pleine nuit
au stade
des prédations
autophagiques
scellé
en bloc pas erratique
d'Aquin 
mais de marbre noir
de Carrare
Alors
l'ART
cet attribut
contre la tribu
du radeau
de la
Mésuse
et bien les mots
à ciselés
forme et lumière
pour le
JEU
dantesque et kafkaïens
ou encor
écourtant
la dissertation
sur le
TOUT
foutu ou pas là
EST
la vrai nature
de 
Bernadette
cherchant
la grand-mère
TOUT
rougie du mensonge
au
CONTE
de ce qui se présente
en vérité
comme le 
pas le grand jeu
mais celui
d'Axelos
au retour
d'Ulysse
à la maison
de l'île
posthume
à la petite
chatte dévorée
avec ses petits
une nuit
en plein jour
( ceci est vérifié )
et ces enfants
tous les enfants
en pouponnières
bombardés
et bien... .
L'ART
part de
cela semble
la partance la plus réaliste
Boeufs poules
poissons
des orgies
de sangs 
passant à la moulinette
de l'histoire
humaine
Bouffer
et d'ingratitude
bouffer encor
et en fin
DISPARITION
du
TOUT
ni vu ni connu
Alors le
CONTE
ne compte pas ses sorties
TENIR
et petits dessins
opérant
le dr. Tulp 
et l'ouverture
du cadavre
bien vu
par Rembrandt
l'ami
des vrais affaires
ALORS


Après laura
de
Benjamin
et la technique
de l'infini
K.O chaotique
et la machine
machinant
des êtres
in sang et
plein d'ardeurs
au sens
atomique
posthumes
à cette guerre
qui m'y le couvercle
sur la maladie
durassienne
 En fait
le point d'appuis
LE COEUR
silencieux
de s'écrire
pour les chéri(es)
virant par un tour
non pas à la folie
que d'écrous
mais 
Alors oui
il était le
VERBE
mais absolument pas
à l'ordonnance
des bourreaux
de la 
DISPARITION
Le verbe
EST
posthume
et le cri
main tenue
sur 
Socles et Poussières
vision
des faits
aux leurres
s'évaporant
de leurs amours
Travail
de d'Oeil
au s'Oeil
d'une feuille
tournant
au composté
de la fin
 d'histoire
pour un
CONTE
de faits
absurde
 où
le la part à dit
de s'en tenir
au coeur d'Oeuvrage
et partir
 de bonne grâce
antre-nous
les chéri(es)




Vive Mémoire


Langage tangage
engage
gage
à faire dire
l'image
hors la
MORT
où nul et non advenu
ne se déploie
d'AIMER
c'est dire
que sans grâce
et bien... .
L'ART
en feras un retour
en posthume
à 
Apollon 
Dionysos 
main tenant
la parois
visible
VISIBLE
car le seul un
DIEU
le nom qu'il voudras
lui pas l'autre
le même
UN
des uns
mais lui
l'insaisissable
quelque chose
plutôt que rien
le (je suis conduit
spinoziste)
sans savoir
ou encor 
la dantesque
et kafkaïenne 
présence
sévère
et d'un difficile
appel 
laissant venir
les petits enfants
hors le
TOUT
macérant d'entrailles
et en gangue
d'errance
infinie
Passage
initiatique
vers... .
la sortie
de secours
et le 
RIRE
de 
Bataille
bouddhiste
chrétien
en diablerie
d'un fou rire
digne
d'où ça sent la merde
sans les bains
ou des boues
d'Antonin
mais en pensée
qui par 
un petit dessin
main tient
ce qui
EST
en devenir
ICI
MÊME



Tête
en d'Oeil
au coeur brûlant
le
SILENCE
des aimé(es)
ce qui demeure
de meurt
et inacceptable
percept
de ce qui se donne
cueillant
d'incongrues
manières
le sang 
des vies donnés
(assassinés)
sans grâces
Alors 
le diable
peut-être
sous le sot
de la prétention
se laisse
VOIR
Enfin 
TOUT
ça ne concerne
et en tous les sens
que la
MORT



Embarquement
pour se taire
TERRE
la mise errante
des vraies 
affraires
Alors 
l'ART
et mieux
la vie
hors de 
TOUT
doute
SEUL
c'est à dire
COEUR
cet souffrance
univers
par
 l'ART
donnant à
VOIR
ce la
MORT
ne peut
sans la résurrection
par
un petit dessin
à dessein
de vive mémoire
in memoriam