Image
hors pris
LÀ
Ô
SILENCE
si lent cieux
bien moins
en plus
que
TOUT
Les vents
n'en savent rien
et pas pour
TOUT
c'EST
bien
darwiniens
l'ESPRIT
lui sait
retient
garde
le chemin
les mots n'y peuvent
rien
ou se fixe
s'éternise
en n'en faire
du mal
Tel sont sous l'épave
ces mort(es)
mal armés
pour l'enfer
Le corps
en sa vérité
première
l'infiniment
GRAND
la dévoré
sang dévotion
L'ingratitude
perd l'esprit
et perd le corps
devient
misère
éternelle
errement
d'à jamais plus
l'AMOUR
Métaphore
du fixé
en traits prolongés
il seras
tant de temps
ce seras s'entend
milles
milliards
de ça tant
et l'infini
zéro autant
sans suspendre
son vol
TOUT
est
passé
Alors
demeure
la perte
de la langue
érotique
ramène
à dessein
à l'essentiel
à l'essence
du ciel
embourbé
du maux
fusé
Refaire
le refaisant
interminablement
la
QUESTION
d'autrement
LÀ
OÙ
l'intuition
ne sait pas
fait oublier
DE LÀ
au
S'OEIL
d'avant
après
OUI
ouille
rouille
fouille
et se mouille
se pisse dessus
pour l'odeur
d'où
le
OÙ
est transcendé
et hors la prise
dépris
des prix
pour mourir
( La maladie de la vie )
Duras
Ici ce n'est pas
de la littérature
pas de critique
pas de... .
C'est de la proématique
pure
encor mal
des grossies
de la caca démie
C'est
inexorablement
sculptural
pictural
et
enfairenal
Le grain
de
Voir
comme on
VEILLE