1 févr. 2024

Gris F


OK
Ô
chaos 
des choses
minces
en bulles
d'enfances
instants 
futiles
bientôt
rattrapée
par la vieille
vie
'' Il faut apprendre
à éprouver
la vie
comme 
un long 
glissement
calme.
Au
 moment où
 l'on n'y parvient,
on est aussi près
de la mort 
que de la vie '' *
et de ça
la fin
de toutes les fins
On comprend
qu'ici
on était
Ô
PARADIS
et là
on n'y vas pas 
avec des fleurs
et tu laisse
le petit dessin
Ô
petit



Là pas là
et des moments
préfère 
ne pas
État de perceptions
'' Il est des entreprises
pour lesquelles
la vrai méthode
est un désordre '' **
et bien quoi
le corps est 
le bon percepteur 
d'impôts
surtout quand
la tête
paye très chairs
le début
et la faim
et cela est à peu
près
TOUT
entre les deux 
l'étêtement
est radical
Bouffé
par l'histoire
sous zéro
Alors passons
au 
conte
d'il était
avait été
seras



Au bout
de 
TOUT
après
l'art-ô
et le
silence
sur la
DISPARITION
'' Devoir attendre sa mort
pour pouvoir vivre,
voilà un vrai tour
de force
ontologique '' *
et de même
pour chaque incitation
à ceci cela
et pour les bonnes
raisons
justifiant
le
TOUT
du passage
pour mourir
en pleine conscience
d'avoir dupé
et d'être a la fin
le dupe
de soi-même
pour la bonne cause
toujours mon lapin
Chercher
la raison
de la participation
collective
au
TOUT
est un tour 
de force
qui mène directement
à la folie
ou encor
le corps
acceptant au final
d'aller voir
ailleurs s'il y est
La vie est un combat
comptable
et pour le
CONTE
de l'art
qui ramasse la mise
errante
en un tableau
de vérité
dont personne ne veut
mais l'impossibilité
de ne pas savoir
ne relève pas
du
Conte
 mais de l'histoire
LA MORT
contre
L'UTOPIE
ou encor
la poursuite
tenant l'air
d'allée
sur le dos de la baleine
regardant
par
 l'Oeil
du coeur
la Jonestown
de la fin
de l'histoire
en somme
aplatit
de son ennuis
étêtée
par et pour le 
CONTE
en ronde
de vie
en suite
lumineuse
postnihiliste
de la joie
toute céleste
reconnaissante
envers et contre
TOUT
en ce qui advient
LÀ
juste 
ICI
D'AILLEURS
et toutes oeuvres
étant
LÀ
pour être pillée
volée
saccagée
par la
MORT
et ses sujets
du
 DESTIN
balbutiant 
le progrès
de ses locataires
monnayés
de l'éternel
mourance
avec la raison
du plus fort
LA MORT
Et bien... .


Musil *
Melville **

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Dit Vingt Mots


Clous
du cercl'Oeil

Et qu'ajouter
au délice
du
VERBE
pour un jeu
de lumière
d'errance
en la faille
 ténébreuse
de l'histoire
encerclée
en fin
de religion
par lui le même
UN
des uns
maîtres farceurs
tyran le diable
à la queue leu-leu
des tenanciers
des chairs
L'absurde
s'enrichit
du prix à payer
pour le qui m'aime
 me suive
par la panse
sans pense
l'innocence
va à sa potence
avec la corde
liant 
le
TOUT
Il n'y à pas d'injustice
du
DIEU
il n'y à que l'erreur
de ne pas y croire
et de ne voter que pour
l'AMOUR
juste après le nihilisme
mallarméen
Blanc a Blanc
de
 LÀ
le secret
Une fois ne 
compte
PAS
Une foi se
 Conte
Qu'est-ce que
ART
après 
TOUT




... . de futur antérieur
la
MORT
au trousse
Et
tenir
hors et éloigné
de la certitude
de soi
créer
sans savoir
mais en sapience
et 
de vivance
main tenue
en l'air
sondant
'' La liberté
s'allume
dans les ténèbres '' *
ou le mot même
ne dit pas
la liberté
libre
ICI
MÊME
d'AILLEURS
elle n'est pas une quête
mais
divinement
LÀ



Acier de Rebuts
en 
Sol'Oeil
Rouge
camouflant
le sorcier
solaire
pointant
le sacrifice
hors les gonds
des apprentis sorciers
des abattoirs nouveaux
TOUT
en masses
sur d'elle
sur les plages
rougies
de l'ennuis
Ensor
déjà
et en crisse
tranquille
trinquant aux atomes
d'Albert
comme
larrons 
en foire
Qu'est-ce que
L'ART
mainmise
sur la
BEAUTÉ
de la vrai
VIE
ICI
MÊME
D'AILLEURS



Berdiaev* 

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31 janv. 2024

En Tombe Ô


Acier Soudé
laqué
Premiers Socles
d'ATTENTE

Et du cadre
d'encadrement
d'amouir
ou encor
les socles
en colères
et sagement
convaincus
le corps
ayant
exulté
tenant assuré
la splendeur
de l'heure
azurée
l'emprise
défaite
alors
il 
(le corps)
porte à l'oeuvre
ce que la
MORT
n'à pas
éteinte
La danse
pendant
que passe
les coeurs
aimants
en pleine 
OUBLI
de la
MORT
morte


Petit pan de mur 
rouge
agrippé
l'espace
TOUT
en socles
retenus
d'espaces
aimés
d'amouir
'' Beau comme le tremblement
des mains dans l'alcoolisme '' *
 bien et mal
confondus
au compas
d'obéir
l'oeil aveugle
le cerveau
éteint
et l'au départ
en sapience
et soit
cela 
EST
en suite
d'errance
chez-soi
jamais connu
inutilement
LÀ
Enfin
qu'est-ce que
L'ART
à avoir
à
VOIR
'' Le monde
 n'est 
qu'abusions '' **
et des viandes
tremblantes
encor
de la vérité
en
FIN



Monté
où tombe
le
TOUT
du monde
 tissé
du désir
étourdie
du plus
Grand
que soi
Sachant très bien
l'effroi
devant tant
de froide
ignorances
dedans dehors
et le manque
d'y
être
vraiment


Lautréamont *
Villon **

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Quelques Choses


Sculpture
petite pièce
pour 
l'allé 
SEUL
L'ART
art 
et son
SILENCE
qui se promène
où 
savante
embarque
avec
Watteau
et l'Antoine
Gilles
Pierrot
au bout de nuit
et ses châteaux 
pour une autre fois
AIMER
EST
en
TOUT
la seule chose
qui vaille
le reste est
l'apocalypse
et sa
DISPARITION
qui il semble bien
tire à sa fin
Alors
tant de fermeture
sur la maltraitance
des électrons libres
en ce temps
terrible
pour ses milliards
de peut-être
enfin
ART
que peut-il
encor
au-delà
de ses cimes taire



Nature Morte
et paysage
oublié
sur un carrelage
froid et indifférent
Tenir
par le bout des doigts
griffant le mur
des aimé(es)
d'à jamais plus
Alors
au début était 
TOUT
ce fatras 
de bienheureux
triés à la chance
et à la droite
 du père
déjà
cette histoire
du règne de l'homme
sur l'univers
et bien
le temps est
TOUT
près de sa réussite
fatal
Et sur les plages
d'Ensor
le monde nu
comme un roi
tranquille
et en bruyance
se dorant
au soleil
de tous les Arthur
Enfin
quoi l'ennuis
de l'un
et la mer allé
avec l'autre
et le corps retrouvé
du
TOUT
des autres
en
UN
des uns
Mais qu'est-ce que
L'ART
en cette attente
œuvrant
à la petite semaison
Jaccottet
de la poésie
après
TOUT
c'est rieux... .
ou encor
Jadis
sous la
FIN


... . de là
d'où
l'impossible
de tous
et de la fin
même
Est-ce folie
l'ART
de main tenir
ce qu'il sait
d'en vain
du passage
de l'autre bord
des ténèbres
LÀ
OÙ
sans lumière
s'éparpille
la
BEAUTÉ
sur la poussière
de l'errance
encendrée
d'utopique
AMOUIR



Actelier



 

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