OK
Ô
chaos
des choses
minces
en bulles
d'enfances
instants
futiles
bientôt
rattrapée
par la vieille
vie
'' Il faut apprendre
à éprouver
la vie
comme
un long
glissement
calme.
Au
moment où
l'on n'y parvient,
on est aussi près
de la mort
que de la vie '' *
et de ça
la fin
de toutes les fins
On comprend
qu'ici
on était
Ô
PARADIS
et là
on n'y vas pas
avec des fleurs
et tu laisse
le petit dessin
Ô
petit
Là pas là
et des moments
préfère
ne pas
État de perceptions
'' Il est des entreprises
pour lesquelles
la vrai méthode
est un désordre '' **
et bien quoi
le corps est
le bon percepteur
d'impôts
surtout quand
la tête
paye très chairs
le début
et la faim
et cela est à peu
près
TOUT
entre les deux
l'étêtement
est radical
Bouffé
par l'histoire
sous zéro
Alors passons
au
conte
d'il était
avait été
seras
Au bout
de
TOUT
après
l'art-ô
et le
silence
sur la
DISPARITION
'' Devoir attendre sa mort
pour pouvoir vivre,
voilà un vrai tour
de force
ontologique '' *
et de même
pour chaque incitation
à ceci cela
et pour les bonnes
raisons
justifiant
le
TOUT
du passage
pour mourir
en pleine conscience
d'avoir dupé
et d'être a la fin
le dupe
de soi-même
pour la bonne cause
toujours mon lapin
Chercher
la raison
de la participation
collective
au
TOUT
est un tour
de force
qui mène directement
à la folie
ou encor
le corps
acceptant au final
d'aller voir
ailleurs s'il y est
La vie est un combat
comptable
et pour le
CONTE
de l'art
qui ramasse la mise
errante
en un tableau
de vérité
dont personne ne veut
mais l'impossibilité
de ne pas savoir
ne relève pas
du
Conte
mais de l'histoire
LA MORT
contre
L'UTOPIE
ou encor
la poursuite
tenant l'air
d'allée
sur le dos de la baleine
regardant
par
l'Oeil
du coeur
la Jonestown
de la fin
de l'histoire
en somme
aplatit
de son ennuis
étêtée
par et pour le
CONTE
en ronde
de vie
en suite
lumineuse
postnihiliste
de la joie
toute céleste
reconnaissante
envers et contre
TOUT
en ce qui advient
LÀ
juste
ICI
D'AILLEURS
et toutes oeuvres
étant
LÀ
pour être pillée
volée
saccagée
par la
MORT
et ses sujets
du
DESTIN
balbutiant
le progrès
de ses locataires
monnayés
de l'éternel
mourance
avec la raison
du plus fort
LA MORT
Et bien... .
Musil *
Melville **