28 oct. 2023

Un Ressenti



TOUT
doucement
les feuilles
et les froideurs
des os claquant
d'OUBLI
ART
alors
Ô
temps
devant
la sortie
des décadrée
du
VIVANT
et la
BEAUTÉ
échappée
des amours
enfuis
Seras
TU EST
Enfin
L'ART
cette chose
qui allume
l'imagination
créant de la conscience
donne à penser
l'implacable
BEAUTÉ
que 
d'ÊTRE
hors champ
contre
MORT
de l'autre-côté
ICI
MÊME
sculpture
d'une époque
monde
épuisée
engourdie
de fatigue
exténuée
et
DISPARUE
de l'intérêt
que lui portait
les idéologies
matérialistes
( Capitalomarxiste )
et l'abandon
du corps
CORPUS
du vivre ensemble
par la perte
de la capacité
de
 JOIE
et de
 BONHEUR
par le radeau
de la
Mésuse
Ce qui échappe
est le peu
de donné
au miracle
mystère
magique
ou
envoûtement
que... ;
Enfin
ces constats
en la pensé
non pas
la nécessité
à se dire
TOUT
ceci est du passé
DISPARITION
Alors
QU'EST-CE QUE
L'ART
Tenir
malgré
TOUT
et l'attraction
vers
le
TROU
celui de la vallée
des avalés
en 
FIN
de mot
Une violence
aveugle
obéissant
à l'adn
éternel
fixé
en
sa
MORT
Et bien le bien n'est pas
d'obéir
à Jonesthown
L'ART
est de la désobéissance
en
L'ÊTRE
créant se créant
effleurant
approchant
l'essentiel
les sens ciel
ANTRE-NOUS
les amants
de la
LUMIÈRE
En fait en sortir
de cette histoire
de guerroyants
où les morts
sont les perdants 
perdus
de
NATURE
natures
aux milles justifications
de la
MORT
morte
L'ART
de la
PENSÉ
sans l'assurance
d'être
éternel



'' Donner 
ce qu'il n'a pas,
ce qu'il ne connait pas-
et qui se révèle à lui
que quand c'est là,
venu d'où il ne sait où
 lui même '' *
et alors le puis du et
d'unions
d'en hors la horde
assassine
où JE suis
et des ami(es)
disparus
en ces conditions
exécrables
hypocrites
anthropophage
ne laissant la place
qu'à
DISPARÎTRE
car le 
CONTE
il y a
Et la
MORT
qu'elle prétentieuse!
Alors
petit dessin



J'en connais
TOUT
les effrois
et mes ami(es)
aussi
ALORS
oui 
jamais assis
que sur son cul
Montaigne
et le carrousel
la roue
et les applaudissements
disparus
et pour nous
détaché(es)
du fouet
Nietzsche
de l'abattoir
Bacon
des 100 mrcx
et des foules
abjects
et à la solde
de la
MORT





Reverdy *

27 oct. 2023

Tomber En Aile



L'Écroulement
du temps
de la nature
physique
et des émotions
de distances
de compréhensions
etc 
ALLORS
la
DISPARITION
de la
MORT
morte
ayant fait son oeuvre
de foi
ou de la mécanique
biosynthèse
de quelque chose
de bon ou mauvais
et
Saindaise
et hors
le 
TOUT
justifiant
TOUT
et très
naturellement
suicidaire
 d'adn
intégré à la carotte
et au bâton
alors l'avenir
de ce côté
reste stable
fixé
en son 
Noway
un abîme de contradictions
sous peu
l'univers
ce mot
mot 
m
Ô
T


TENIR
sans ternir
le sang 
des amours
épuisés
de vous et de 
TOUT
après Dieu
sait quoi
l'homme
et
 l'ART
Mais qui en à 
décider
ainsi
Étant 
DIEU
infini
et plus grand
que 
TOUT
et l'homme
SA
bombe
sa défense
étêtée
de lui pas eux
l'autre
non juste
à côté
En fait
mort
de
la 
MORT
et la disparition
TOUT 
en douceur
incréée
tapis d'orgueil
sous le figuier
et le désert
au cerc'Oeil
d'embellie
L'Esprit
du
RIRE
de Bataille
de la cible
atteinte
les yeux crevés
du sol'Oeil
et dans le mille
Saindaise



Pogrom
pour
Étêté
du
UN
des uns
HORS
chant
de la
VIVE MÉMOIRE
posthume
à la
mort
de la
MORT
morte
Et puis après... .
Quoi 
Quoi après 
TOUT
D'AILEURS
ICI MÊME
en un mode
une échappée
Langue de bois
de forêts
dévastées
de
 NATUTRE
natures
innommées
innommables
et caduques
Alors pourquoi
persister
Et bien
par 
AMOUR
d'un petit
dessin
qui appuis
la
VIVE MÉMOIRE
et 
ATTEND
sur son socle
de poussières



Cette violence
de la
NATURE
natures
la même
en
TOUT
et sa limite
infranchissable
et qui va à sa fin
pour
s'exterminer
tranquillement
dans les tranchées
de la
DISPARITION
accouchant
sur les socles
de l'absence
le
SENS
qui vient
Et puis casser
le sens s'en faire exprès
l'urgence
d'y aller... .
Où pas surréaliste
non pas du
TOUT
et pas de.. .
préfère ne pas
non plus.
RIEN



PRÉSENCE
 simple
et si fragile
 qui n'attend
qu'abandon
de... . 
QUOI
après
TOUT
lorsque la vérité
d'ATTENTE
posthume
au passage
et que le noir
celui d'où
les couleurs
n'arrive plus
 de la lutte
infinie
relogeant
des choses
inconnues
en maux
sans un mot
peaux de
têtes...de... .
mains... de
et des dévorés 
dévorants
les
SEUL(es)
après
et que se présente
juste ici
encor
en des larmes
en
 mémoire
à 
TENIR
contre
maudite
OUBLI
des gestapos
des totalitarismes
de corps 
et coeur
Non 
TOUT
doux
avec les oeuvres
qui bien loin
des mots
font dire... .
Quoi... .
que 
TOUT
à toujours croulé
et crouleras 
encore
après
TOUT
Mais ici
apprivoiser
les images... .
qui créent 
tentent osent 
et porte le
RIEN
Coupons court
l'image
Axe-D'Abraham
en simplifiant
celle
qui scellant 
le destin
d'obéissance
VRAI
au risque
du terrifiant
qui va avec avec 
le mensonge
sans comparaison
avec le mensonge
quotidien
celui devant
la
MORT
Est-ce que
DIEU DIABLE
vont faire
sauter
froidement
la
BEAUTÉ
de l'enfance
ce
PARADIS
de
L'ART
'' Il y à pas de liberté
il y a la délivrance ''
Et je vais
persister
à jouer à la marelle
et danser
AU-DELÀ
de ce
MONDE
où la
MORT
s'ignore


Le Cour *

Cerc'Oeil


Qui 
EST
les mots
ou l'image
Et des souvenances
du terrible
TERRE
TAIRE
appuyé
des vives mémoires
d'OÙ
hommes femmes
enfants
animaux
l'ÂME
des choses
et ce qui arrive
vraiment
échapperas
toujours
Un rêve
un conte
un compte
et la nature
chez Bachelard
celle de Descartes
Spinoza... .
Rousseau... .
de lui de l'autre
celle-ci
tantôt
celle là
Caraco
Cioran
Bataille
éclectiques
esprits
Et de là
TOUT
est dans
TOUT
rien ne se perd
rien ne se crée
TOUT
c'est le
RIEN
de là
petit dessin
sans dessein
et pour
 ÂME
solide
et bien assise
car l'éternité
seras longue



Et en fait
la
MORT
qu'est-ce que
vous croyez... .
''Fake you are'' *
dit
 l'ART
à ses félonies
monnayant
les chairs
et l'âme
de loyauté
pour 
la
DISPARITION
avec la 
semaison
ventriloque
et les doublons
diaboliques
pour
la
MORT
au désœuvre



Et de la 
NATURE
sans la main mise
sur... .
sur l'organe
mortelle
de sa mise en sensibilité
par l'horreur
de sa souffrance
de mise à vue
temps donné
arrêt
sur la 
BEAUTÉ
du
Conte
qui va s'offrir
permettre l'image
et à l'esprit
de prendre forme
La Vie
du moins
les faits le mur
le non sens
l'incompréhensible
lui pas lui
et le chaos
dont les éléments
de cette perception
si volatile
et éphémère
Joconde
ou mains petits pieds
 à Lascault
Rembrandt
Vincent
Enfin
et la louve romaine
Certain que s'égare
ici
le Jeu 
de la
BEAUTÉ
du
MONDE
par l'impossible
qui échoit
à 
L'ART
de main tenir
Oeil pour d'Oeil
fraction
au passage
sous les vampires
sous les bottes
la botte
et
Castello
des diversions
du 
CRIME
que 
d'ÊTRE
Part inévitable
ENFER
des mises
en situation
et la chance malchance
au hasard
de ce qui se donne
ou pas
à la 
CHOSE
qui sans
L'ART
ce que la
DISPARITION
laisse
VOIR
beaucoup d'épelés
et pas d'élection
à la
VIVE MÉMOIRE
alors
le
TRI
va suit son cours
selon 
toutes les dénominations
rassurantes
qui en 
VÉRITÉ
retournent
à la case départ
vers
les milliards
d'innommables
ou le retour
aux amibes
et aux étêtés
d'extramondices
sous la tutelle
du règne
des abattoirs
sauterelles
et des cents morceaux
extasiés
par la rigolades
des ignorants
de l'ingérence
du 
GRAND JEU
échec
au pat
peinturé
dans le coin
attaqué
par lui
le même
UN
des uns
et sa perdition
éternelle
errance
affolée


L'Envol
de la
NATURE
et les chéri(es)

Plâtre De Paris
Enfin
tenir chemin faisant
l'impossible
pour posthume
à 
SAM
et l'insidieuse
lutte
avec
 l'Ange
de
Klee
Benjamin
Blanchot
et de la prise
en taire
des désensorcellements
et de
L'ART
et
du
DIEU
et porter
l'essentiel
au 
Royaume
de la
TERRE
PROMISE
qui n'est pas
un guide Michelin
que le livre
magané
du 
VERBE
et du mensonge
capitalisant
sur le
mystère
de
L'ÊTRE
ou
PAS
éborgné
de veaux d'or
et de peuple
élue
au suffrage
universel
des guerres de croyances
à la
FIN
du
CONTE
TOUT
artistique.



Cerc'Oeil


Chatchko *

26 oct. 2023

Du Sablement



Plâtre De Paris


'' Partout où
il n'y auras rien,
lisez que je
 vous aime '' *
Dire
je se je 
qui ne sait pas
et qui est
autre
sans jenous
aux jambes
toutes écartillées
dans
Paris
en des moments
déconcrissés
de la fable
de nuit
de madame chose
prière
pour
Caraco
sans accolades
et évidemment
en pleine
DISPARITION
posthume à la mort
du roman
et de l'insignifiance
poétique
à la final
proématique
du
SeUL
en lui
le MÊME
UN
des uns
vers 
d'autres terreurs
ambitions
et glorioles
sans le gloria
de Vivaldi
ou encor
le Monteverdi
et la musique
d'Orphée
aux enfers
DIEU
EST
EST
L'ENFER
De là
et pas ailleurs
SORTIR
de la fable
de mouman poupas
et les super surface
de la
MORT
en marché
qu'à bien vu 
le tenancier
des chairs 
en lieu
certain 
du tremblement
au jour
des noces est arrivé
la 
FIN
de la misère
qui fait
accepter
le
TOUT
sacrifier
du
Compte
Et la mort du roman
'' Qu'il est facile
de faire des contes '' *
Enfin
l'HORREUR
est vraiment
de perdre
l'AMOUR
Il était un 
nous savions
l'oasis
et certain
d'y avoir
aimé
ce que nous avons
AIMÉ


Pour suite
et fuite
de la composition
décomposée
pour triage
et aux espoirs
dépourvus
'' Orchestre:
image de société.
Chacun
fait sa partie
et il y a un chef '' *
Persistance
sachant
l'insaisissable
insensé
du
MONDE
à son dernier
échos
après
le mal et vice
de forme
en l'informelle
miroir
de 
PAS LÀ
ICI
MÊME
D'AILLEURS
en ces jes
irresponsables
de quoi que ce soit
de l'erreur
de fabrication
Douleurs
d'excréments
ciel
et des compostes
irréversiblement
destructeurs
de la lucidité
des amours
en pleine lumière
d'agonie
déchirant
le voile
de
Saïs
et des chairs chaudes
et tremblantes
d'une composition
qui n'à pas
tenue le coup
le sale tour
de la
MORT
et de 
ce piège
du vivant
bien rodé
d'histoire
NATURE
natures
menant à sa
vérité
première
la cueillette
des os 
à la moelle
sucée
du délice
au jardin
de
Boch
revu et corrigé
par le courage
alimenté
par la
PEUR



Les derniers
 moment
seront
pascaliens
et dantesques
et puis
notre
PARADIS
fixé
et vers ce
Nulpart
d'ABANDON
Un 
CONTE
... et elle viendras 
et elle aras tes yeux... 
Pavese
et autant dire
le vent devant
la
PORTE
Le
TERRIBLE
EST
CETTE
OUBLI
QUI VIENT
Au delà du concept
il y a
Et comment 
VOIR
Le concept est
cerné
concerné
par la consternation
de l'impossible
possiblement
naïvement
et pas de science
infusée
en fusée
vers le
VOIR
renoncer
à 
TOUT
et tenir
l'ATTENTE
fléchir
sur l'Axe-D'Abraham
Et bien
oui


De ceci 
ce qui à été
eu lieu
mais 
c'est quoi
l'ART
contre
NATURE
où s'y perd
le nom 
d'Ariane
la
Beauté
au noir
de son
D'OEIL
Et
l'URGENCE
des fins dernières
la fin
du
MONDE
et la
DISPARITION
du nommé
noumène
vers l'apothéose
du
TRI
où se coule
l'éternité
de la
MORT
ART 
du fou
devant 
l'abîme
du roi 
 endormi
lors de 
l'extermination
du nombre
qui à ouvert
les vannes sanguinaires
du tremblement
des chairs
dans l'assiette
d'ignorance
ART
JOIE de VIVANCE
par le court
PASSAGE
donné
antrenous
l'AMOUR



Flaubert *