15 sept. 2023

D'Ailleurs


Sans idée
cheminant
vers
Nulpart
Redire
infiniment
la rengaine
à mots
des maux
et enfin
quoi on peut bien
lire la lettre volée
d'Edgar
c'est consentie
Alors cheminant
vers la 
NUIT
des nuits
des attrapes
morts 
une à la suite
de l'autre
en tête
à étêtés
de la grosse soupe
Sans idée
cheminant
les mêmes mots
la même
infertilité
du devenir
Autre part
ailleurs
d'AILLEURS
redire infiniment 
la rengaine
des milles déboires
soucis
du jour
sur le tapis roulant
de la même... .
Tas de mots
répétés
des maux
Artaud
de là
 (cochonnerie)
vers la nuit
des attrapes
pour dire redire
avec les syllabes
de la direction
cacadémique
de l'ordre
et du commandement
milles déboires
soucis
du jour
en pleine
nuit
des morts
dans la  baleine
 blanche
de 
Melville
harponnée
de la même infertilité
d'avenir
d'attrape 
morts
D'AILLEURS
redire infiniment
de la tête
l'étêtement
du mensonge
sur le tapis roulant
du même
Sans idée cheminant
vers
Nulpart
avec la rengaine
à mots
des maux
de cochonneries
et plein
d'EFFROIS
né à la suite
 de l'autre
en attrapes 
pour dire et redire
et dire
des dires
à dédire
aussi 
Sous Peu
LE SILENCE
DE LA VÉRITÉ
du malheur
à son terme
SEUL
À
SEUL
à redire
d'AILLEURS
du bruit
qui se silencifis
pour 
TOUT
dire
redire
sans dire
et ainsi
va... .



... .des réminiscences
 synapses
gelés
par le sommeil
enduit
de morts
ineptes
Nature
natures
autodévorante
univers
 infiniment
crapulaire
là pour fermer 
les coeurs
aux dernières 
pulsations
amoureuses
( celles des déguisés)
de pas lui
lui le même
UN
des uns
d'apocalypse 
souhaité
des massifiés
d'éteindre
la lumière
après la fin
des temps
escomptant
l'enfin seul
et éviter de corder
du brin de scies
débosser
des vitres
d'éteindre
le feu sur la mer
nettoyer des bidets
avec des pailles
rassembler
8 milliards
 de uns
du
UN
pour le dernier
des mot du
Camp
Alors
APPRÊT
et bien
le mal infini
cette phrase
tenant 
du
LIEU
pour un dessin
d'absolution
sous les semelles
devant
le 
PLUS 
risible
des masses
enragées
contre
l'ÉTAT
des faits
madame chose
du cul-de-sac
en branle bas
des jouissances
à petites morts
et
bien
(...le mal est permanent
le bien
est voulue..)
à dit
le corps sans organe
enfin
donc
Après
le mot
où se cache
insaisissables
LA PORTE
incandescente
d'AMOUR
Ô
ART
défait
de la lourdeur
engagée
des mailles
à partir
avec le ciel
et l'enfer
d'une farce
où se joue
l'incompatible
enragé
contre
la moulte
titubant
de la galère
du douanier
et 
de pic à sceau 
au festin
de la création
sur la 
barque
à 
Charron
Noui donc
APRÈS
voilà
début sans
FIN
du commencement
infini
de la
BEAUTÉ
du
MONDE
en abysse
au 
post-proématique
des couleurs
de la réfection
par 
l'INATTENDU
du
SILENCE
en
L'IMAGE
,
d'appuis
hors propos
des métalangues
PAS
d'AILLEURS



Chose
âme
qui meurt
de la maladie
de la vie
en son quotidien
sans esprit
corps et âme
UN
des uns
d'entrailles
et le reste
encapitonné
de feuilles
mortes
et posthumant
de la vrai 
VIE
qui 
d'AILLEURS
ICI
MÊME
pour en finir
avec les stigmatisants
de sac vert
soldats
de la
MORT
enrégimentés
en machines à tuer
Ces mots
sont donnés
par toi
Sais
et le tout-autour
d'AILE
la chérie
Allons
antre-nous
qui savions
savons
confirmant
l'appel
de
 PAS
dans le dos
eux les épelé(es)
de
 l'ÉTAT
contre sacrifié(es)
de la 
VIVANCE
Alors
la 
NUIT
seras
l'antre à nous 
ALORS
ENCOR
REDIRE
je t'aime


... .Point d'Appuis

 


Du rêve 
rêvé
de géométrie
cézannienne
les arides
et toutes
religieuses
cérébrales
approches
de la terre promise
conquises
à bicyclette
que chante
Montand
et que pratique
à sa guise 
après
TOUT
Deguy
Alors
ce chemin
des permissions
d'agenouillés
débouts
et des guitares
de fous braques
de madame
Nature
natures
pour finir
au paradis
de la pomme
de terre
à la spéculation
variable
des chairs
toutes veloutées
mises
en bouche et croquées 
par le cul-de-sac
de l'attraction
du trou noir
émondé
de son doute
 Permafrosts
là quand
s'évapore
la chaleur
staêllienne
des pigments
tout amoureux
de vérités
SILENCIEUSES
éternelles
là quand se fait
voir
se rebelle
contre la plasticine
des prières
guerrières
relent 
des mises à morts
sanctifiées
des
 Pucelles
ou encor
le corps
en cso
reprenant
son don d'organes
et sa  foi
détrempée
du verbe 
jusqu'aux os
reliquant
l'avenir
interrompu
du führer
par
la raison ensommeillée
du sommeil
en
raisonnable
DISPARITION
de la pomme
du bicycle
et du pédalant 
de 
 quand
de même
avec Freud
en rire
et de
 folie
incomprise
de ses célibataires
descendant
nuits
pieds
le passage
effroyable
de l'invisible
visible
de 
Paul
de tous les
Pauls
du pays
en
UN
des uns
flochés
au bogue
éternité
et de toutes
AMOUIR
des couleurs
après
TOUT
Turner
Constable
Delacroix
et tous les plus
que 
PRÉSENTs
NULPART
D'AILLEURS
ICI-MÊME
'' Mon affaire est dessiner
ce je vois non
ce que je sais '' *
pour l'image
de ce qui se dessine
au bout
de la
FIN
de
 l'ART
en son 
ÉTERNITÉ



Signes
et arabesques
pour
Messiean
Music
à cheval
sur le dos
d'un tigre
de Borges
rythmant
les cerc'Oeil
au compost
de tabula rasa
à guéguerres
créer pour ça
part du 
JE-U
des morts
enterrant les morts
pions
de la dame
au ca où
P'ART
de
L'ART
y porterais
sa lumière



Signes
et que de petits
dessins
bien sûr
Michel
pour sortir
la sortie
de l'infâme
prédation
du
MÊME
UN
des uns
des us
autophagiques
de la maladie
de la
MORT
d'ignorance
et de commandements
yes sir
mon 
UN
des uns
pour
la
MORT
en 
SOMME
et ses hommes âges
aux dix par rues
du perd la chaise
oubliés
dans faire
le clou du spectraque
de la peau
aussi
Allons vers
l'envers
du vol
des oiseaux
la terre 
est splendide
au compte
à labour



Turner *

13 sept. 2023

Art (Psaume)


... . des larmes 
contre arme et rage
de dés pipés
Terre inaccueillante
(Saïs)
que l'Art
coiffe
des chapeau de
Renoir
Et de la réalité
comme un mur
le
TOUT
soudain
Les émotions
(le radieux)
... .et l'arrêt
par l'image
tenant par la part
réduite
de l'air
et de l'espace
ENFER
composté
d'agonie
disparue
en bloc
de technique
( machine
robot)
Bernanos
Ceci étant posthume
à Deleuze
enfin
au
TRI
Qu'est-ce que
l'ART
se souhait
d'Amouir
vigie
en la sortie
hors le chaos
de la soupière
univers
fixé
du +
grand
que Spinoza
et bien
au fait
des mangeurs
darwiniens
des particules
 polichinelles
grappés
du grappin
célinien
de la main mise
sur le souffle
essoufflé
de la vivance
devenant
apocalypse
guernienne
ART
donc
à la proue
bien coiffé
de 
l'Esprit
d'obéissance
insaisissable
pas serviable
inutile
et lumineux
pas martiens
terriens
esthéticien
de l'enclume
céleste
pourquoi pas
le retour
à Ithaque
et au
Personne
de
Célan
filiation
post-proématique
en pleine
BEAUTÉ
de ses moyens
réalisant
sur le socle

d'EFFROI
l'élévation
SACRÉ
sur le
s'Oeil
cérébral
d'ayant vu
l'empire
du signe
et la mer allié
avec le 
s'Oeiloeil




Encor
à l'épine dorsale
poussant
LA NAIVE
en petit bout
de pépier
après
et d'après
les pères
amusés
du
CONTE
et pas d'ici
d'Ailleurs
en colonne
vert et art
(le vert couleur
ardue de ses composantes
bleu rouge
jaune)
rompues
délavées
en
FIN
JEU
sérieux
d'enfances
retrouvées
d'ÊTRE
ou
pas
sur la scène
TOUT
au bout
de la
MORT
morte
sous les planches
de la
DISPARITION
de la
MORT
du point d'appuis
ART
erre terre
en cavale
en plein vertige
abyssal
Création
nourricière
de la lumière
du 
DÉSIR
ici même
sur le socle
et poussières
au vent
des âmes
abandonnées
trahies
par le führer
UN 
des uns
Et bien
ART
amusé
des fenêtres
ces oeuvrages
fugitives
d'offrandes
et indicible
amour
antre
à 
chairi(es)



Dense Sous Le Bleu


Apparences
celles que prend
l'embrun
après
TOUT
L'infini
sans fin
de l'essence
des matières
IL Y A
ÊTRE
ou
PAS
aussi
sur le chemin
faisant de la lumière
sur la
MORT
ABSOLUE
ou bien
 désir de
Jouvence
insaisissable
et incertain
alarmé
de l'effondrement
inconsolable
des étoiles
nomenclaturés
d'holocaustes
des mots
disparus
du sens
 d'entente
don contre don
des partance
de même le
VERBE
avec le désir
d'ÊTRE
 trahi
par le poétique
en tralala
de cochonneries
spéculatives
Tenir
la main donnante
d'origine
 retenue
des sanguinaires
et tristes ébats
de booms booms
militarisés
poussières
d'épelés
 floués
de l'art d'aimer
par deux temps
l'arrivé
d'errance
pour la
MORT
en
Nature
natures
ICI MÊME
REDONDANT
imageant
la suite
sans suite
et jugé
d'antithèse
par
 l'ABsence 
persistant
de travers
et traviole
sans réponse
au pourquoi
de la
Chose
furieuse
d'ayant pas
Nature
natures
et composté
par 
l'hégéliens 
État
a sa ièmes
 froideur
d'apocalypse
suicidaire
et subitement
arrivé à ses fins
proématiques
et bien
qu'est-ce que 
l'ART
en tant
de mort 
morte



Mémoire
de Gilles
Gaspar
de la
Poune
de Nietzsche
enlaçant
la cravachée
et la pierre
et le malheur du désert
SEUL
et des crottes
de chameaux
sous les célestes
en
LARMES
asséchées
de la
VÉRITÉ
TERRIBLE
impardonnable
épée
coupant 
des 2
chemins
Êtreté 
ou trou noir
univers
ni stérile
ni fertile
chestoviens 
PAS LÀ
La main
oeuvrante
cristallise
la bonté
la joie
l'innocente
confiance
SACRÉ
et
évidemment
élue
par d'absents
donneurs
d'émotions
bien
dans leurs
pichous
chouclaques
au pied
de la pyramide
Saqqarah 
en croyances
égarées
en signes
post-mortem
RIEN


Pas de Petipa
 de danses
secrètes
ICI
CHÉRI(ES)
aimés(es)
en parenthèse
de mort
à
MORT
matissant
cette sortie
du bocal
poisson
 volant
Nijinski
d'en
 Ô
bête
aillée
de l'air
respiré 
d'hautes
voltiges
c'est de
ICI
MÊME
d'AILLEURS
qu'emporte
le
VENT
des parfums
abandonnés
Alors
densément
peuplé
de batailles
pour 
le bleu du ciel
ou volent
l'AMOUIR
à mort
fati
gué
copeaux tant
que l'art
qui dé
fleuriras
du 
RIRE
d'attente
sans le secours
de lâcheté