Apparences
celles que prend
l'embrun
après
TOUT
L'infini
sans fin
de l'essence
des matières
LÀ
IL Y A
ÊTRE
ou
PAS
aussi
sur le chemin
faisant de la lumière
sur la
MORT
ABSOLUE
ou bien
désir de
Jouvence
insaisissable
et incertain
alarmé
de l'effondrement
inconsolable
des étoiles
nomenclaturés
d'holocaustes
des mots
disparus
du sens
d'entente
don contre don
des partance
de même le
VERBE
avec le désir
d'ÊTRE
trahi
par le poétique
en tralala
de cochonneries
spéculatives
Tenir
la main donnante
d'origine
retenue
des sanguinaires
et tristes ébats
de booms booms
militarisés
poussières
d'épelés
floués
de l'art d'aimer
par deux temps
l'arrivé
d'errance
pour la
MORT
en
Nature
natures
ICI MÊME
REDONDANT
imageant
la suite
sans suite
et jugé
d'antithèse
par
l'ABsence
persistant
de travers
et traviole
sans réponse
au pourquoi
de la
Chose
furieuse
d'ayant pas
Nature
natures
et composté
par
l'hégéliens
État
a sa ièmes
froideur
d'apocalypse
suicidaire
et subitement
arrivé à ses fins
proématiques
et bien
qu'est-ce que
l'ART
en tant
de mort
morte
Mémoire
de Gilles
Gaspar
de la
Poune
de Nietzsche
enlaçant
la cravachée
et la pierre
et le malheur du désert
SEUL
et des crottes
de chameaux
sous les célestes
en
LARMES
asséchées
de la
VÉRITÉ
TERRIBLE
impardonnable
épée
coupant
des 2
chemins
Êtreté
ou trou noir
univers
ni stérile
ni fertile
chestoviens
PAS LÀ
La main
oeuvrante
cristallise
la bonté
la joie
l'innocente
confiance
SACRÉ
et
évidemment
élue
par d'absents
donneurs
d'émotions
bien
dans leurs
pichous
chouclaques
au pied
de la pyramide
Saqqarah
en croyances
égarées
en signes
post-mortem
RIEN
Pas de Petipa
de danses
secrètes
LÀ
ICI
CHÉRI(ES)
aimés(es)
en parenthèse
de mort
à
MORT
matissant
cette sortie
du bocal
poisson
volant
Nijinski
d'en
Ô
bête
aillée
de l'air
respiré
d'hautes
voltiges
c'est de
LÀ
ICI
MÊME
d'AILLEURS
qu'emporte
le
VENT
des parfums
abandonnés
Alors
densément
peuplé
de batailles
pour
le bleu du ciel
ou volent
l'AMOUIR
à mort
fati
gué
copeaux tant
que l'art
qui dé
fleuriras
du
RIRE
d'attente
sans le secours
de lâcheté