... '' Ce qui rapproche,
ce n'est pas
la communauté
des opinions,
c'est la consanguinité
des esprits '' *
Et cet esprit
après
la
fin
entrevue
des oiseaux
bombardés
d'ignobles
monétarisés
adaptés
à la misère
infini
de l'uni-vers
la
BEAUTÉ
tenant
du
COEUR
À
L'OEUVRE
ne dit pas
ne peut pas
dire
ELLE
EST
C'est ne pas
dire
que mimer
les faits
de vos caprices
assassins
de vos désirs
anthropophages
Freud est le
perd-dure
de la perdition
féminine
l'en dessous
des choses
qui sans lui
manquerait
la Chose
à mettre de côté
naturellement
Guerre
Nature
natures
en proie
au non sens
innommable
contre
la
Beauté
sans dire
un maux
Terre sanguinaire
qu'aussitôt
LÀ
retient
la mise errante
le regard
sur les trahisons
mortelles
Axe-D'Abraham
désaxe
pour un temps
de disparus
pêle-mêle
et géométrie
maîtrisée
triangle
des mères
prudes
écoulant
la marchandises
d'en
SOMME
de la reproduction
des mises basses
TOUT
près de la terre
proématique
embellie
par
L'AMOUR
composant
la
BEAUTÉ
de
L'EFFROI
à son abandon
En avançant
ce ne peut être
que le pire
Arthur
et de la redite
ne change pas
la folle
existence
des gentils
de la croyance
à l'abysse
aux lemmings
se tapant
sur la croyance
que
l'ART
doit
en mal d'aurore
au sacrilège
indifférent
des disparus
dans le fond
de la boîte à bois
Enfin
la
FIN
seras
la joie
reprenant
sa kermesse
d'essentiel
choisi
et fermant les portes
bouchant
les orifices
et pour
ce
BOOM
et bien
la
NATURE
par sa natures
hystérique
de par l'en faire
tyran
à sa faim
Vagissant
transfiguration
sanguine
le rouge et le noir
endormies
un soir divers
choses
en restituant l'énigme
de ce qui
EST
Qu'à tu
à offrir
au diable
pour qu'il aille
voir
ailleurs s'y git
suis
ou quelque autres
présence
à y être
'' J'ai horreur
de tout les métiers''
'' J'attend Dieu
avec gourmandise ''
'' La dernière innocence
et la dernière
timidité ''
''Je ne suis pas
prisonnier
de ma raison.
J'ai dit:
Dieu ''
'' La vie est la farce
à mener par tous '' **
en fin
Postulant
le
posthume
ICI
MÊME
d'AILLEURS
ALORS
secrètement
la
VRAI
VIE
EST
pour
AMOUIR
Proust *
Rimbaud **
De l'autre
à la lie ense
tenace
tranchant
le oui dire
mais d'où
et qui ça en somme
en débordement
de faim
et sans meneur
droit
à comment saisir
la fragile
restitution
d'avoir
perdu sa vie
à la gagner
vie gagné... .?
Qui EST
QUI
en quoi et que sont
tous ces supposés
semblables
Y à t-il quelqu'un
sous
la robotisation
de l'angélus
du soir
et de la poésie
en temps
de disparition
que ce passe t-il
en ce lieu
C'EST LÀ
où
en sourdine
s'et va cul
la commande
d'épelés
sans appel
d'offre
triés
À LA VRAI
VIE
ICI
D'AILLEURS
l'alarme
à larme
en d'Oeil
des barrés
sur la liste
erronée
du coeur
QUI QUE QUOI
suicidaire
est-ce de l'éthique
ou
un tique
mimant
la généreuse
donation
de sens
par la lumière
toute dantesque
du passage
pour en sortir
de l'en faire
de la dévoration
d'immondices
zombifiés
en
TOUT
déguisé
en peau de chagrin
'' Il n'y à rien de plus
artistique
que d'aimer
les gens '' *
OUI
ce peuple
qui manque
à la suite
de Klee
et les gens
cela arrive
proématique
germinant
des joies
d'antre-nous
créant de l'air
et du temps
LÀ
OÙ
après
bien après
que l'esprit
soit disparu
de l'embellie
d'AIMER
l'insaisissable
LÀ
ENCOR
en ces sillons
de proêmes
Pas comprises
ces échancrures
racinaires
de têtes
désensorcelées
du capital
des fins dernières
et des comptes
aux faillites
pleines de mardes
et d'ainsi
pas lui l'autre
ou
TOUT
se justifie
de la gangue
apeurant
la masse
enrégimentée
de
LUI
LE
MÊME
là
dieu
là
adolph
là
une poche
vide
de faux
beaux parleurs
de qui veux faire
l'ange
rassurant
les crétins
de l'intérêt
composant
avec le gang
à bon
dieu
au verbe pipé
de la recette
enfin
ayant découvert
le guide
après
Abraham
les élues
de la
DISPARITION
alors
Qu'est-ce l'Art
en tant
d'insensés
présages
Attente
lumineuse
à la proue
des douceurs
nouvelles
aux fruits
des estafilades
attristées
comblées
de larmes
transfigurées
de mers
veillant
sur la douleur
d'AIMER
la vive mémoire
perpétuellement
blessée
d'outrageants
ventriloques
de la
MORT
aux ficelles
sournoises
assassinant
la beauté
exaucée
de gratitude
antre-nous
d'améliorer
vers les jouvences
assurées
des coeurs dansant
l'épiphanique
présence
post-proématique
que
d'ÊTRE
Vincent *
La
réalité
l'amour
exauçant
ta présence
invisibilisant
le fol être
frappé
de
Vivance
agrippé
LÀ
+
que
FRAGILE
don
de
vie
chrysalide fleuri
de la poussières
d'errances
longue marche
air espace
et songe
désiré
au prix du beau
dantesque
appartenance
L'AILE
à
Saïs
et des fins
à chaque étoiles
de
JOIE
et
LA MORT
dont
PERSONNE
ne prend
l'EMPLEUR
du
DÉSASTRE
'' ...C'est une erreur
que de ne voir
la mort
que devant nous... *
même
le sachant
et
LÀ
encor
les coeurs cassés
la
MORT
s'insère
prend toujours
en plus
du dire
le mot
laissant
LÀ
le
MAUX
Ne pas savoir
ta mort
Toute
mort
est une erreur
qui peut couter
la
VIE
et des oiseaux
Vieira
ceux
d'Hiroshige
ou encor
ceux
d'ICI
au réveil
après
TOUT
De l'élévation
symbiose
disharminieuse
entre un homard
et
Nerval
mieux
oisillon
ressuscité
des pères mères
et des familles
ratant
con
veux
Encor
posthume
transhumant
le prés du ciel
après
le last call
atomique
en corps
heureux que cela
puisse se dire
hors les ismes
et les patenteux
des cries
édités
aux éditions
se
Taire
pour en
SOMME
apparaître
là où
PERSONNE
ne demande
qu'est-ce qu'il à
Marie Stella
au compte
de 7
milliards
de
M MORT
avec
la mer
et le non du perd
Qu'est-ce que
l'ART
après
TOUT
en suite
pour d'infâmes
abattoirs
à
mot né taire
Incessante
participation
au bonheur
des tueries
silencieuses
Qu'est-ce que
vous croyez... .
Un
des uns
enrégimentés
de nés gosses
sporées
du ballon
apocalypsés
du trou des beignes
arrosés
de pluies
aux chimies
du dr m'abuse
pas intérêt... .
NON
La poésie
n'est pas un ballon
dirigeable
et puis
entre
tenace
les dents
carnées
sifflantes
de la proématique
l'impossible
pour elle
bien tenu
d'obéissance
libérée
de la gangue
à bon mot
et à frais
d'autres heures
et sortie
par
l'artmouir
et
bleu nuit
de fermant
la piste
au dédoublement
d'enfer
des affraires
et du bon temps
pendant que meurt
torturés
de vos délices
breughéliennes
la
VRAI
VIE
ces chairs
parfumées
des miroirs
embués
de pas vous
lui le même
UN
des uns
parsemés
de prétentions
de vous
dirais-mot ment
avalant
les mouches
respectueuses
de vos excréments
La ligne
de démarcation
passe
par les affraires
réinvesties
dans le pot
aux roses
c'est ça de pris
L'ART
contre l'or
intestinale
de la fumisterie
d'être
au monde
duper
par les pipes
sous
tutelles
telluriennes
captant
l'énergie
lumineuse
de la
BEAUTÉ
zinguée
de chocolat
pour ne pas dire
arrosée
de thé des bois
sous le ciel
de
Paris
ici
et par ailleurs
pas
LÀ
d'AILLEURS
post-voile
au passage
de
Nature
natures
entourloupant
l'innocence
schopenhauerienne
'' Ce n'est pas le mal,
mais le bien,
qui engendre
la culpabilité '' **
et du chemin
de la bonne
conscience
du pain aux oiseaux
entrelardés
d'ingérences
innommables
( Char)
sans unions
d'ÂME
ART
sous l'horreur
de l'errance
Sénèque *
Lacan **
Et de
MORT
absolue
sans compter
leurre
qu'il
EST
du petit dessin
au son du timbre
le cerc'Oeil
ouvrant
sa résurrection
du sol
venu
des fleuves
ensanglantés
de la misère
des 2 pattes
de boues
ayant tué
Dieu
donnant leçons
aux dieux
ayant l'art
pour ne pas
savoir
la marde où ça sent
le suicide
à plein
d'aux suivants
de la cueillette
Nature
natures
mange ta main
demain
à mains
sang lendemain
Qu'est-ce
que
L'ART
dernier bastion
passé date
en l'infini
DISPARITION
Ceci
LA MÊME
histoire
sans début
ni fin
Une errance
catastrophée
posé
las
d'en finir
avec l'impossible
perpétuation
du leurre
que croire
ÊTRE
autre qu'un tube
digestif
plein
de prétentions
con-postées
Hélas
TOUT
EST
TOMBÉ
de l'arbre
arrasé
par lui
SEUL
des feux
joyeux
de
VOIR
Ceci étant
dit
redit
et crier
le piège
est pris
qui croyait
prendre
la
SOMME
du
UN
des uns
pour
avec
l'AMOUIR
con-senti
à la
BEAUTÉ
du jour
passant
passé
décomposé
en futur antérieur
vers
Saïs
dévoilée
antre-nous
Qu'emporte
le kitch
à sa flagrante
perdition
des faits
Enluminures
autour
de la vérité
sordide
de ta chair
au jardin
d'Apocalypse
Tout
autour
la
Grâce
Saïs
obtempérant
en un petit répit
en forme
de requiem
obsolète
en échos
de
RIRE
étouffé
de la folie
du lieu mortel
rossettante
empire
de
tortures
d'âmcors
agonisant
de trahisons
du
UN
des uns
en jamais plus
Miettes
pour
l'horrible
voyage
tout en noir
infini
d'innombrables
obéir
à la mort
de toutes
les morts
où
l'AMOUR
illuminant
cette
terrible et folle
venue
à qui
TOUT
revient
de revenir
à sa vaine
tentative
de création
'' Écoute ce qu'est
le jour
tu comprendras
ce qu'est la nuit '' *
de la poursuite
de nos amours
égarés
et qui tenaient
de
cendres
et poussières
Saint-Augustin *