22 avr. 2023

Fleur


Pas
d'ICI
d'AILLEURS
ou encor
pour madame
messieurs
le corps
des mains 
à charrues
toutes d'os 
et dos
d'obéis
des fossés
d'autoroutes
et pour le dire
TOUT
de
SILENCE
les feuilles
d'automne
à l'hiver
venue
6 pieds sous sur
taire
où il fallait
en
SOMME
piégé
en tant de temps
perdu
pour
 l'ART
de
VOIR
2
 fois
plutôt
que pas... .
 Quoi?
De la redondance
de l'ennuis
schopenhauerienne 
'' L'avenir
 appartient
à ceux 
qui rêvent trop '' *
du dos
ré mi face au sol
de l'engourdissement
des sommes
et du sommet
En suite
pour violon
seul
Saïs
Comme coupure
d'avec
l'imbécilité
du
de ce qui
s'évapore
et prend fin
Qu'encor
le dire n'est
que 
SILENCE
des maîtres
UNIVERS
effleurés
de la
VÉRITÉ
hors le sang
tous
SEUL




Habitude
au
TOUT
posthume
Et du très bas
aux enjeux
du 
jeu
de la mort
avec
la prétention
à
RIRE
et pas de
QUOI?
Mais il le faut
bien ou mal
chérie
que tendre coeur
pour
l'inutile
cassure
assassine
à l'abysse
mortelle
proématique
 de la folie
des captifs
insensibles
et sans 
erreurs
Ce monde 
immonde
d'EFFROI
et de trahison
en inattendus
assassins
de la dévoration
du
VRAI
tenant
par un petit
dessin
pour le peu
de l'air
apeuré
du mensonge
à sauver sa peau
pour des peanuts
et
les mots 
d'en boucs
émis erre 
du lointain
 plus que vivants
antre-nous
les pas vous
et qui parle
l'erreur
corrigée
par la constellation
sacrée
du
EST


L'Amour
trahie
par la terreur
d'avoir
VU
la
MORT
préparer
son coup
de naissance
et la torture
de vive mémoire
d'un passage
chez la fosse
à représentation
distrayant
de l'horreur
des mises 
à table
de soi
 la chair
tremblante
du
NOUS
pas 
d'ICI
d'AILLEURS
et pour
TOUT 
JOUR
que larmes
vaillantes
à même le virtuel
inscrit
d'éternité


Hölderlin *

Tirade


Sortir 
sort 
d'ici
les funestes
sur l'infect
infesté
du jour en pleine
nuit
captivée
du 
SEUL
pas de... .
La même
langue
pas pareil
la mécanique
des morts
Sortir
sans sang 
d'entrée
laisser la trappe
l'embrassement
des ricanements
jaunes
bleus
rouges
Virtuellement
sous peu
le néant
débranché
d'la farce
à marde
compostée
d'extermination
engourdie
SEUL
et plus qu'hier
de main
Sortir
sans entrée
effaçant
la guidounnerie
du guide
 Boom 
 boum 
bommant 
du paradis
parait-il
morcelé
d'agneau rôtie
du mauvais 
karmas
assortie
d'innocence
 élever
à la pyramide
ficelée
de géométrie
informant
 la raison
raisonnant
 musette 
sur la folie
d'en
SOMME
pilulés 
de savantes
stragédies
fin et suite
perdue
en
TOUT
et partout
Alors
qu'est-ce que
l'ART
manquant de lard
mateur
obéissant
à la vérité
nietzschéenne 
de la fin
des temps
escomptée
pour 
le
UN
des uns
sans les autres
qui eux ressuscités
forment
l'insaisissable
Beauté
d'amouir



De LÀ
l'allège
au pourtour
de l'ignorance
et de la naïve
incitation
à la
MORT
vieille
à sa progéniture
toute garnie
de l'incidence
programmée
sans programme
d'invisible
meneurs
menés
au marteau
étêté
du maître
 don
de musique
rythmant
l'air d'aller
Nulpart
juste
et pour les cris
des A 
ni mot
des maux
et
antre-nous
 debout
les enragés
d'Amour
en toutes éternuitées
 gestatives
en pleine marre
d'apocalypse 
bien vu
par un beau soir
avec
un dessin
demeuré
secret
et
qu'entend
le
SILENCE
'' Comment saurait-on
qu'on est le dernier
homme sur terre '' *
quand au levé
d'un jour
ou l'autre
et les 365
en
UN
alors
OUI
la terre 
tourneras
de l'Oeil
la
NATURE
natures
redevenue
innommable
la
BEAUTÉ
éteinte
la poésie
proématique
terminée
et bien... .
Le Verbe
esseulé
en lui le même
attendras
d'autres
choses à séduire
en sa nuit
des temps



 McCarthy *

21 avr. 2023

Mise Air


Comme un piège
labyrinthe
les derniers
yeux du peintre
spirale
d'Enfer
et pourquoi
Nature
natures
Et l'Art
enfin pour ne pas... .
ce que les belles 
constructions
maquillent
et le 
VERBE
et les prières
prisons
d'encagés
d'enterrés
vivants
et des bombes
du dépeçages
des chairs
d'abattoirs
cargaisons
d'humains
de la grande bouffe
des... .
c'est de cela 
qu'il s'agit
l'indifférence
de la
MORT
à la torture
démente
d'une éjaculation
cosmique
du laissé ici
Alors
qu'est-ce que
la poésie
par temps
d'Effroi
de froides
trahisons
de lui
pas lui l'autre
coincé
dévoré
de la conscience
de la vallée
du charme
aux éditions
livresques
sur les tablettes
du semblable
passant
et criant
ceci cela
ou encor
c'est
TOUT



L'imprévisible
impardonnable
sécrétion
'' Je fais ce que je peux..... *
tenir
ICI
d'AILLEURS
précisément
où 
se pose
l'illusion
choisie
en
 ÊTRE
ou pas
combien
et des restes
ce seras
TOUT
spasmatique
séparation
de 
RÉEL
d'appelés
en mode
signifiant
la
PRÉSENCE
douloureuse
encor
l'inverse
exaltante
en temps
relatif
du 
souffle
court ou long
neige au soleil
Joconde
concrétion
ou encor
mollace
sensation
de quelque chose
ou fugace
qui sait
et c'
EST
TOUT
Artoragon
des métissages
de la représentation
théâtrale
de la résistance
mortifère
des sujets
de regroupés
monde
sensé
incensément
QUOI
artefacts
sur le seuil
de l'amour
en deuil
sans l'organe du parti
en guerre
d'extermination
TOUS
en sursis
au compte
de la
MORT
Mort
tas d'elle
tombant
des nues
pour ne pas mourir
de lard
et des piqures
de moustiques
au front
du maquis
maquillé
d'air semblant
d'aisance
et fausse
sceptique 
de qui veut faire
la part belle 
aux indices
météorologiques
du changement
comateux
des synapses
au moi d'aimer
Sans obligations
de follow
the guide
en jeune jouant
des mots de
 joue 
en d'eau
pour il était
pascalien
se divertissant
d'écrire
un maux
en bon françois
et les obligations
d'avancer
vert vers
la récupération
du bonheur
que 
d'ÊTRE
malgré
le combat 
d'aisance





Aragon *

ET


Étourderies
pour
 trahisons
du ciel et de la terre
en
SOMME
Le rapt
d'arrivée
et l'obligation
d'abdiquer
par le pain le vin
hôlderlinien 
des fins
de courses
en mots de passes
passant
posthumes
tout semblable
à
'' ...j'imagine lire
 l'épuisement,
l'horreur
d'être au fond
des choses '' *
et des moments
du
 TERRIBLE
qui en 
souffrances
émettent 
des signes
sur le chant
des déshonneurs
qui arrachent
par sa force univers
la dignité
d'ÊTRE
l'unique
différence
de quelque chose
de
 BIEN


...'' Mémoire sacré aussi,
pour demeurer
éveillé dans la nuit... '' **
Descente
au coeur
du voile
de
Saïs
et du reste
plus que moins
débridé
de la grave
fatalité
de 
l'ICI
MÊME
d'AILLEURS
à demeurer
malgré
TOUT
et surtout
SEUL
avec 
VOUS
au
 d'OEIL
des faires
à croire
quotidien
Passer
de la réalité
défaits
des faits
d'une défaite
de murs
emmurés
de murmures
Et qu'est-ce que
l'AMOUR
perdu
de ce qui ne peut
se perdre
Se perdra
perdus
bien avant
et bien après
TOUT
SERAS
posthume
ET
bien à nous
l'entoure
amoureux
d'abandon



Sur le sol
des morts
et des feuilles
parOeil
et ton corps
ton esprit
des grands champs
plaines
à couper
le souffle
en miettes
d'étouffements
Pas d'Orient
qu'Occident
que pauvreté
sacrifiée
du malheur
d'aimer
en 
En fer
sous le soleil
en berne 
des joies
d'exister


Du 
TOUT
du
UN
des uns
imperceptiblement
MONDE
et
la
DISPARITION
final
cela semble
être
depuis la perception
de l'univers
comme principe
de ce qui
EST
effleuré
par 
l'ART
dès les premières
approches
de tendresses
La suite
la construction
toute
spinoziste
ou wattever
qu'importe... . 
de
 l'ÊTRE
ensemble
Tribus
peuplades
peuples
et la suite 
de ce qui ce perçoit
comme pays
etc
Qu'est-ce que 
l'ART
l'ILLUSION
des illusions
vert vers 
l'éclat unique
de
PRÉSENCE
pour
la lumière
de vérité
qui pense
et doute
de cette pensée
même
tenant 
LIEU
et socle
de la 
BEAUTÉ
du 
Monde




Bataille *
Hölderlin **