Sortir
sort
d'ici
les funestes
sur l'infect
infesté
du jour en pleine
nuit
captivée
du
SEUL
pas de... .
La même
langue
pas pareil
la mécanique
des morts
Sortir
sans sang
d'entrée
laisser la trappe
l'embrassement
des ricanements
jaunes
bleus
rouges
Virtuellement
sous peu
le néant
débranché
d'la farce
à marde
compostée
d'extermination
engourdie
SEUL
et plus qu'hier
de main
Sortir
sans entrée
effaçant
la guidounnerie
du guide
Boom
boum
bommant
du paradis
parait-il
morcelé
d'agneau rôtie
du mauvais
karmas
assortie
d'innocence
élever
à la pyramide
ficelée
de géométrie
informant
la raison
raisonnant
musette
sur la folie
d'en
SOMME
pilulés
de savantes
stragédies
fin et suite
perdue
en
TOUT
et partout
Alors
qu'est-ce que
l'ART
manquant de lard
mateur
obéissant
à la vérité
nietzschéenne
de la fin
des temps
escomptée
pour
le
UN
des uns
sans les autres
qui eux ressuscités
forment
l'insaisissable
Beauté
d'amouir
De LÀ
l'allège
au pourtour
de l'ignorance
et de la naïve
incitation
à la
MORT
vieille
à sa progéniture
toute garnie
de l'incidence
programmée
sans programme
d'invisible
meneurs
menés
au marteau
étêté
du maître
don
de musique
rythmant
l'air d'aller
Nulpart
juste
et pour les cris
des A
ni mot
des maux
et
antre-nous
debout
les enragés
d'Amour
en toutes éternuitées
gestatives
en pleine marre
d'apocalypse
bien vu
par un beau soir
avec
un dessin
demeuré
secret
et
qu'entend
le
SILENCE
'' Comment saurait-on
qu'on est le dernier
homme sur terre '' *
quand au levé
d'un jour
ou l'autre
et les 365
en
UN
alors
OUI
la terre
tourneras
de l'Oeil
la
NATURE
natures
redevenue
innommable
la
BEAUTÉ
éteinte
la poésie
proématique
terminée
et bien... .
Le Verbe
esseulé
en lui le même
attendras
d'autres
choses à séduire
en sa nuit
des temps
McCarthy *