6 avr. 2023

Nature Morte


'' Que serions-nous
 sans le secours 
de ce qui
n'existe pas? '' *
Alors 
RIEN
et ses suites
Étourdie
un manquement
à 
l'AMOUR
porte ouverte
pour nous vous
tous
et l'idiotie
prend la naïve
volonté
de lever
la main
dans l'infini
et l'impossible
après
TOUT
la
MORT
va 
résoudre
TOUT
APRÈS
TOUT
et ce n'est pas
certain
que là aussi
la folle folie
n'y soit pas... .
 LÀ
 viemort
des restes
à
 VOIR



Une brise
de
Coeur
cassé
d'avoir
été
que guide
égaré
qui en ce voyage
de tous les dangers
tu en était
porteuse
à corps défendant
ta rapide
exécution
à fait 
couper ta tête
l'autre à rouler
vers 
son 
Nulpart
et roule encor
en corps
d'EFFROI
ICI
EST



Et si... .
pas... .
et
absolument
peu
au sens défait
d'où
vers
ICI
TOUT
est
possible
là 
où 
TOUT
sur l'oreiller
du sommeil
dort
à l'attrait
du prix du corps
et ses partis
pris
de sa geôle
en rire
D'ENFER


Fracture
d'en
SOMME
usé 
jusqu'à
la fièvre
exterminée
et
sans 
retour
de lumière
a l'extrême
des
MORTS


Valéry *

Métaproématique


Tenir
pour
RIEN
et des évictions
du temps
mort
Pas d'espérance
(fabuleuse
chimérique
dessiné
peinte...)
sans 
naïveté
dans le terrible
et folle
histoire
cosmicocomique 
de la terre 
à besoin de son sang
et elle le prend
sur le chant 
des signes
du 
UN
des uns
totalisant
le
front
l'affront
sans vergogne
de se pendre
à la
FIN
des temps
Ceci en pensée
venue
de
Saïs
dévoilant
le monde
en
UN
TOUT
multiple
naïf 
et incrédule
ou encor
épongeant
le
surprésent
ICI
d'AILLEURS
en la
DISPARITION
dévoilée
du
EST
Fait moi un dessin
mouton
ou 
poussière
quelque chose
de
posthume
déjà
L'ART
EST
UN
CONTRE-TEMPS
bâillant
du terrible
et insondable
abysse
du coeur
corps esprit
tenant
l'impossible
devant
 le naturel
au aguet
de toute lumière
sur l'insondable
destruction
cosmique
ou
Apocalyptique
de l'homme
obéissant
au processus
de destruction
uni-vers
EFFROI
et tremblement
d'ignorances
face aux faits
proématiques
de l'accident
lumineux
de
 l'ART
Grosso modo
pour le dire
en mots



Encor
agrippé
au néant
filant
à la vitesse
de l'éclair
héraclitienne
main tenant
l'ouvert
sans et pour
l'AMOUR
déchirant
le passage
horrible
antre-nous
pour plus
de lumière
toujours
malgré
le dédoublement
de jouissances
opportunistes
contre la plus
que fragile
empathie
sur l'arrêt
du souffle
osant le lumineux



Juste
des lignes
à dire
naïvement
quelque chose
qui pourrait
bien
être
une exclamation
ou encor
laisser 
ÊTRE





5 avr. 2023

Qui Sait... .


Tenir
aux vents
terribles
et l'effroi
d'AMOUR
maintenant
l'alarme
qu'au centre
l'inattendu
nous ignore
Imperceptible
NOUS



Sous peu
de même
et rempli
de ce qui seras .
sans illusion
qu'un éteignoir
emporté
avec
 George
Gaspar
le Gilles
et des autrements
PAS
et sachant
l'emprise
sévère
de la captation
des ténèbres
du jamais plus
et la patience
perdue
du
TOUT
 qui sait... .



Injuste
victime
'' Ce n'est pas le même
qui revient,
ce n'est pas
le semblable
qui revient,
mais le 
MÊME
est le devenir
de ce qui revient,
c'est à dire
du différent '' *
Aile 
EST
partout
dedans
dehors
tant que 
L'ESPRIT
le voudras



L'image
qu'elle 
merveille
de 
SILENCE
et qu'elle
présence
malgré 
TOUT
Touche
l'exacte
part
d'ÊTRE
indéterminé
de ce qui
 se présente
en 
APRÈS
TOUT



Voici
pour
VOUS
ce qui 
vous appartient
où que vous 
soyez
déesse
apprivoisée
d'effleurement
secret
après
TOUT
la vie
que
 NOUS
 AVANÇONS



Deleuze*

Ce Qui Ne seras +



Et de ceci
en découle
ce qui se laisse
Voir
du 
UN
des uns
en position
de surveillance
deleuzienne
Art
et dernier
bastion
de liberté
Enfin
que sur veille
en lignes
de traits
dedans 
bien ficelé
sans sortie
saucissons
sur bbq
écomomiques
et dehors
la horde
décrêpée
du chignon
du führer
Qui po quoi
de neuf sous
le boisseau
des rives
du fleuve
endiablé
des 
MORT
Tenir
chérie!



Ingérence
Char
et puis
le misère
de
l'OEIL
énergie
cosmoproématique
s'envolant
de l'air
irrespirable
d'abdication
céleste
des morts
gigotant
 dans les derniers
synapses
infectés
de qui veut faire
l'Ange
diantre
Dans la parenthèse
d'entre 
 A -Z
le
MONDE
tel-qu 'il hait 
'' Le néant c'est l'univers
sans moi '' *
Ô
sans toi
Saïs 
ce nous
infini
''Le ciel est triste
et beau 
comme un grand
reposoir '' **
Allez!


Oufffff.... .
Miamioù
et tant de maîtres
deux
des anges
et des musiques
uni-vers-eux
'' Soyons vrai
même
si nous sommes
laids '' ***
Par le coeur
et sans sang
besoin
qui ne peut dire
saisie 
insaisissables
qui se passe 
ICI
d'AILLEURS
ineffable



De l'autre côté
le plus qu'ensemble
l'on seras
d'avoir été
parti
du peu
d'après nous
Mais
ATTENDRE
100 fois
la mort
rôdas 
en
FIN
des muses
comment nommer
ce qui insiste
plein signe
ne pas de mot
PAS
D'ICI
D'AILLEURS
ATTENDRE
après 
la
DISPARITION



 Suarès *
Baudelaire **
Courbet ***