L'oubli
de la trouée
là
où s'éteint
ce qui était
milliards
de choses
formes
terrorisantes
semblables
aux milliards
trilliards
de micros macros
de quoi... .
Opinions
pour contre
quoi... .
Prendre place
au dépotoir
de la grande
débandade
de mouman
poupas
de la perpétuation
de l'espèce
prétendant
ceci cela
et des Jaunestown
lemmings
bisons
indiens
cowboys
et des ouragans
climatiques
des faits
de madame
chose... .
Qu'est-ce que la poésie
en temps de
DISPARITION
Outrage
dans
SOMME
'' Je ne suis
pas toujours
de mon avis '' *
et sous
la vastitude
des raisons
de lui le même
pensant
ils en
UN
... .
temps
de
TOUT
poésie
de laitage
sans sang
au bout de la laisse
du verbe
et du phrasé
entre 2 mots
mariage
de passe
prétentieuse
linguale
du joual
au poulet
basquaise
dans le fond
dlà boite
à bois
où l'arbre
coupé
ne sait pas parait-il
qu'il est violon
porté
par le prix
zéro dos
de la déforestation
du cerveau
des uns
au verbe
de la reproduction
du compte
de croyant
techniquement
son cas
en tas
programmé
Sérieusement
voici
le réveil
de la
Nature
du maux
tintamarre
silencieux
où lit
Poe
derrière
le cul-de-sac
de la
liberté
au perd la chaise
music-câl
l'orignal
à peau
call li p tique
de l'eau des buts
au fleuve
de ma vigne
et des bijoux
en grappin
de ma tue vie
tu mord
lui le même
albatros
fourmis
sous des semelles
devant... .
Modèle
oups
l'échappé
engourdie
des militaires
du mot
Dieu
pour dans l'infini
au moins
quelque chose
à répéter
à
je NOUS
de préférence
entrer
à l'étable
de la
table
de les hauts
nord
où reste encor
le vent
qui de
Nulpart
dessine
ce qui se dit
inutilement
en
ART
de
VIVRE
je vous salut
mari
des retours
compostés
du
trait prolongé
il seras
le maux
de lumière
Trace de pas
TOUT
dit
et passant
au
d'Oeil
d'OUBLI
à bâtir
ce qui peu
en dessous
post-frayeur
que des larmes
formant
la
Jouvence
de la
JOIE
exaucée
de nos
petits secrets
'' Nous sommes liés
de plus près
à l'invisible
qu'au visible '' *
et des cimetières
sans cimes
de rappels
que de vous tous
antre-nous
ICI
d'AILLEURS
au jour qui se lève
juste
en pensée
Valéry *
Novalis **
Saint-François
sang des oiseaux
cassés des ailes
Saïs
cela viendras
la lucidité
des larmes
au cou du cheval
ou encor
pour vous
les amours
sages
et des
DANS
trop dures
et pleins
d'injustices
de cruautés
serviles
du petit homme
contre
Léautaud
Chemin de nuit
tant de confessions
en cruelles
omissions
dans l'assiette
de
Ducharme
et d'
ICI
le même
UN
des uns
de lumière
sur le
SACRÉ
massacré
d'humains
de pets au cul
au plus haut
des accroires
innommables
entourloupés
et pantins
a peaux
de satan
s'entendent
grogner
de sauvant la planète
pour les géants
de ce monde
immonde
virus
FIN
où... .
Jung
de l'autre
côté
des chéries
l'ENFER
du BEAU
de l'air
et de nos songes
amoureux
du grand
post-mortem
de coeurs
trahis
des rapaces
politisés
à têtes
soufflées
de cul-de-sac
étêtés
DISPARUS
à souhait
de
BOOMs
à dessin
DE LA
BEAUTÉ
et ses recoins
perdus
bien tempéré
par
le néant
tripotant
la stigmatisons
de la
JOIE
du
JOUR
en pleine
NUIT
d'ENFER
Derrière
enfin
créant
du n'importe quoi
cela s'embrume
et sans retour
peu pas
dire
même
en débris
scories
c'est de cela
en résidus de temps
MORT
Pas le droit
mené
d'inconséquents
atours
d'espérances
Tirer des traits
de désaimances
à la parole
ratée
malhonnête
aussi
et plein de larmes
coupables
devant la justice
impossible
en
ENFER
parce qu'il y croit
Elle le lui à montré
en se dévoilant
du regard
vers l'abime
de sa
FIN
La poésie
triche
aussi
sur sa faim
d'animaux
donnant
TOUT
au
MONDE
pour en sortir
du massacre
et des tortures
Ô
la gloire
au dire
à leurs places
des cartes
à épuisements
de
l'ESPRIT
de la terre
déguerpie
de la confiance
faite au menteur
parasite
du meilleur
Faire semblant
EST
LA
MORT
infini
Alors main tenir
la folie
questionnant
le
RIEN
créant la question
qui vient
paradoxalement
combler
la vigie
'' La chair est triste
hélas,
et j'ai lu
tous les livres '' *
De la charlatanerie
qui fait payer
lourdement
la méchanceté
indécrottable
de sauver
la
MORT
contre la
VÉRITÉ
l'assiette
au détriment
du
SACRÉ
Pas idée
TOUT
EST
LÀ
sans y être
obligatoirement
Posé
LÀ
à tord et à travers
Quelque chose
cherche
pas
Picasso
Inconsolable
émotion
de froidure
sous le sol
gelé
d'absence
TA
MORT
la mienne
et la tienne
l'autre pas toi
St'L
la muse
au don
insondable de justice
trahie
de survivre
au semblant
de la
''Il y a de la mort
dans la vie
et je suis stupéfait
que l'on prétende
oublier
cela'' *
Et allègrement
va où elle doit
Chez-vous
de nouveau
toujours
prêt à donner
ICI
MÊME
antre-nous
la tristesse
de vos aveux
définitif
à l'instant crucial
d'à jamais plus
de cette
BEAUTÉ
jamais
abandonnée
L'espace
s'ouvre
en plein
d'Oeil
du
RIEN
Du COUP
l'envol
perd
pied
s'élève
COUP
DE
COEUR
limite
A la
Fin
VÉRITÉ
quoi?
Rilke *
Paresse
tête
digestive
sur
l'inutile
mortification
d'un songe
à couper
la vrai vie
AILLEURS
du coeur cassé
à n'Oeuf
Pas
de bruit
n'y étant
pas
ratatine
crevassé
de lubies
d'absences
OÙ
Pas
un homme
TOUS
aux métissages
de mir voir
l'EFFROI
de la plaisanterie
baillant
sans gène
l'insignifiance
d'être
dévoré
par le sujet
de leurre
perdus
antre-nous
Signe
l'insignifiant
infini
UN
trou
de pierre
sans
AILE
bête
à obéir
au destin
calculé
du passage
adjugé
a la
fidélité
des métamorphoses
éternelles
au
NON
irresponsable
du troupeau
néantisé
de tendresse
Enfin
SEUL
en plein
vertige
du début
à la fin
revenu
à un présent
exorbitant
ennuyeux
vivre simplement
mourir
à
TOUT
et le peut-être
répétitif
cette brisure
annihilé
par un petit
dessin
à défaut de tuer
l'ennui
pour de vrai
toutes formes
de sottises
d'Oeil
repose en paix
loin de l'homme
qui ne foutait
RIEN
Il y à ceci
la mort
et l'oubli
c'est tout.