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31 mars 2023

Relâche


Même
pas
 à 
PAS
revival
attriqué
de
carpe diem
cela ressemble
à tapis
est-ce
ou pas
la vallée
des contrats
dictant
le contre-dit
des maux
par
TOUT
pour
en 
vérité
à peine
la trace
du tigre
dans les cheveux
de
Borges
aux yeux
ensablés
des partir
aveuglés
ICI
n'importe
maux dire
et semblable
à l'inutile
image
disparue
avec le
TOUT
qui choque
du serf  vent
aise
ou encor
vie de justification
ancestrale
de la prédation
du mourir
de l'autre
par une offrande 
moindre
et reproduisant
infiniment
le call de l'orignal
en 
Somme



Zède
et a
 la voie
x y
semblable
au 
Conte
au-delà
de nos cimes
terres
Miron
à mots
portant
les syllabes
de vent
l'EFFROI
qui leurs échoit
des maux
de ne plus
jamais
au point d'appuis
n'exauceras
la part
fixant
l'obligation
de lumière
antre-nous
SEUL(es)
l'inatteignable
liberté
guide
encor



Le ciel
sans grappin
à la portée
du moindre
Ô
à l'art
tôt
graphe
de l'urgence
avant de passé
outre
au spinozisme
et
l'indéterminé
faisant
chemin
de mystérieuses
amours
éprouvés
antre-nous
 reclus
de la grande 
soupière
analphabétique
chiffrée
 raisonnant
musette
de ce qui seras
vers sa
FIN
en
UN
comme 
toujours
téléguidé
laissant libre
l'agir sans attache
la langue en feu
espaçant
le séculier
sur le socle
et
des poussières

28 mars 2023

Stigmates


Saint-François
sang des oiseaux
cassés des ailes
Saïs
cela viendras
la lucidité
des larmes
au cou du cheval
ou encor
pour vous
les amours
sages
et des 
DANS
trop dures
et pleins
d'injustices
de cruautés
serviles
du petit homme
contre
Léautaud


Chemin de nuit
tant de confessions
en cruelles
omissions
dans l'assiette
de
Ducharme
et d'
ICI
le même 
UN
des uns
de lumière
sur le
SACRÉ
massacré
d'humains
de pets au cul
au plus haut
des accroires
innommables
entourloupés
et pantins
a peaux
de satan
s'entendent
grogner
de sauvant la planète
pour les géants
de ce monde
immonde
virus
FIN
où... .




Jung
de l'autre
 côté
des chéries
l'ENFER
du BEAU
de l'air
et de nos songes
amoureux
du grand
post-mortem
de coeurs
trahis
des rapaces
politisés
à têtes
soufflées
de cul-de-sac
étêtés
DISPARUS
à souhait
de
BOOMs
à dessin
DE LA
BEAUTÉ
et ses recoins
perdus
bien tempéré  
par
 le néant
tripotant
 la stigmatisons
de la
JOIE
du
 JOUR
en pleine
NUIT
d'ENFER




23 juil. 2022

Le Vent


Des signes
et d'autres
diversions
sur l'emprise
de la réelle 
Présence
d'exil
et d'abandon
ICI
MÊME
'' Vous qui entrez
laissez tout
espérance '' *
D'instants
détachés
de la Chose
et sur l'abysse
au chaos
des fins
dernières
Temps de triage
que peut l'Art
sur son socle
d'innocence
Devant la Mort
devant la Vrai Vie
et là
décadré
de ses promesses
en ciel de joie
Noircie
sa lumière
et pleines
de faits ou la voyance
s'interdit
déjà
le corps
détaché
 la sève
de volonté
meurtrie
Et sans pourquoi
du Nulpart
du RIEN
de la fuite
en soi
sans l'autre
et qu'un petit
dessin
d'emphase
'' Nous sommes tous
 des farceurs
nous survivons
à nos problèmes '' **
et l'insistance
d'en ajouter
sur cet oubli
de l'impossible
et fuyante
Beauté
inattendue
maintenant
la main éloignée
du gibet 
et de la potence
et de guerre las
certaine
d'à chacun sa mort
rilkéenne
au moment
d'à pas peur est
 MORT
LÀ OÙ
se terre
 l'Oeuvre
possiblement
L'émotion
s'ajoutant à l'instinct
et des maîtres
nommés 
ou innommables
en chemin
vers le dessin
limite
autant début
que fin
motif motivant
quelques choses
depuis
le premier geste
permettant
la distance
l'écart
la question
et désobéir
à Dieu Nature
et ses natures
au Paradis
qui de la dent
en mal dedans
passe par Adam
et la suite de l'histoire
du livre
et l'Apocalypse
en conclusion
de la prise
par la conscience
de quelque chose
qui 
d'Où Où vers Où
Art du doute
de la main au conte
à rebours 
d'au-début
il était...



et la poursuite
malgré
Spinoza
et ce qui
EST
avec ou sans
jugement
du dessein
le dessin
rehaussé
et donné
en lieu et place
sur la parois
le sable
la feuille
toile
virtuellement
mais le corps
agrippé
à la lumière
sans l'ombre
d'un doute
dessine
peint sculpte
crée
quoi?
Que peut l'Art
contre
la folie
guerrière
Nature natures
que peut-il
devant Guernica
le Vietnam
l'Ukraine
que peut-il encor
sachant que de main
demain
encor
peut-être



Main d'oeuvre
sans honneur
et sans honoraire
qu'au temps
en emporte le vent
maux pour délirer
l'invention
au quotidien
de quelque chose
dont aurait
besoin
 l'Art
pour embellir
ce qui
EST
déjà 
en place
et en perfection
Chaque
être va là
où il doit
avec ses moyens
ou pas...
c'EST
donné
et la mort
quand on est 
en vie
anormal
malade
pas né dans le besoin
et farceurs
de ses mensonges 
mal
vécus
alors là
on 
EST
vivant
pas de nom 
et sans lendemain
anonyme
devant les mangeurs
de pommes de terre
au 100ièmes étages
du building
faisant gouter
par d'autres
la nourriture
à prendre ou à laisser
avant après
est toujours incertain
N'importe quoi
cela arrive aussi
Comment
terminer
l'art de vivre
et l'Art
de mourir 
comme Cézanne
le pinceau à la main
sur la parois
du temps passé
en par pour la
 VÉRITÉ





Dante *
Cioran **

 

3 oct. 2013

Art Et Rien


Cale Cul

 ...pas là
pourtant
l'image
Aura
hourra
seul
avec Walter
sans sang
sens
en poème
coiffant
de bruines
les ruines
des yeux
du bleu
du ciel
Effectivement
la tristesse
du deuil
d'Amour d'un
je-ne-sais-quoi
de nez à nez
avec l'aube
glaciale
des mots
gelés
de blancs
oiseaux
qui pépient
l'éveil
dans l'air
de Rien

Tomber
mort
attendre
sans fin
d'Art et Rien
déliant
des réussites
de dévorations
de la part maudite
du compostage
nature Nature
des décorés
des en faire
à mortalités
en masse
Art ce Silence
à seul fin
d'en sortir
de l'ennui
de l'horreur
infantile
du temps
de la mort
à trépasser
l'illusion
Spectraque
cul erre
des mises
aux tombeaux
de la réussite
gréguerre
atomomique

Aérien
résiduelles
d'un paradis
perdu
d'un festival
des corps
qui tombent
Fiction
d'écritures
du jeu
avec Bébelle
écomomie
bababoom
aux soleils
fous de Vincent
chauffant
les crémations
bancales
des docteurs
s'Abuses
du Camp
Dessins
sous insectes
prêts à sortir
en ville
dans les poches
trouées
d'un tyran
président
philosophes
poètes
fixés
aux dieux
du désert
des passes
profites
aux cendres
d'un volcan
éteint