27 mars 2023

Nature En Vérité


Missive
au-delà
de la raison
raisonnante
où le coeur
à ses raisons
toutes
en mots
de maux
rayés des barreaux
de la cruautés
de la
VÉRITÉ
de la terre
des hommes
d'arraches langues
où chante
l'enfermement
in situ
au prix 
d'un faire
 semblant
au voile
épousée
noircie
d'un faire
assassin
d'Innocence
Nature
en ses chairs
de sagesses
trahies
de la 
Naïveté
d'espoir d'être
animal
au cycle infernal
des naissances
Demain
jamais
que de honte
oublié
au fer du feu
de main tenir
le mensonge
des faits
ordinaires
de la survie
dans le temps
de le dire
Vivre de la vie
de l'autre
par le
 JEU
terrible
maintenue
du Hasard
combatif
de croire
être
quoi 
en
 Somme
Pas intérêt
à comprendre
la retenue
 désobéissante
à la négation
des crimes 
en commun
(100 milles
 mensonges
ne font
 pas une vérité)
Alors
absurdes
lubies
d'obéissance
au maître
MORT
La Vérité
EST
LA MORT
la maintenir
sur l'Axe-D 'Abraham
relève
de la plus
grande force
Art de garder
l'antre-nous
à mourir
en faisant 
des signes
aux traits des larmes
d'erreurs
en 
NON
OUI
vers le noui
inouïe
du dessin
à dessein
inutile
de 
ICI
D'AILLEURS
pleins d'outrages
et de larmes
honteuses
et traître
hors la main
à
L'OEUVRAGE


Mangeant
dévorant
ton coeur
mangé
sur le bbq
du quotidien
pour 4
ou milliers
mondanisés
guerroyant
aux tranchées
des chairs
tremblantes
au feu
des dénialismes
rythmés
d'ignorances
de la 
BEAUTÉ
retenant
la
FIN
de n'en finir
jamais
avec l'insensé
que d'être
à la bombe
bombé
d'obéissance
à la
MORT



Néant
d'air 
sang
 destin
 commun
en Somme
TOUT
 l'insensé
d'où
le désir de mort
consumant
le trou noir
de l'oubli
au
TRI
volatiles
des apparences
végétatives
sur la rive
à Charron
tenir
au jeu sérieux
mortel
du petit dessin
au
CAMP
dernier
de
l'AMOUR
à mettre à 
JOUR



Est-Ce Tes Tiques



Mir Voir
confusionnel
et 
RIRE
menteur 
en vérité
menteur
de la stragédie
du malheur
de la joie
c'est qu'elle
ne dure
pas
À chacun
son tour
de passe passe
vers
 d'autres essais
de montagnes
et des lois
de la descente
en l'abysse
abyssal
du mensonge
du
RIEN
que du vrai
stratège
de paix
en
l'invivable
BEAUTÉ



Terre mer
veille
assurément
après
TOUT
leçon
animal
du passage
rebelle
à la ruée
vers lors
et déjà
la débandade
du troupeau
à sa ièmes
impuissance
émotive
d'embourbement
d'insignifiances
au qu'est-ce que
TOUT
ça 
quand
sang offrande
la
MORT
prend
de la poussières
d'être
le plaisir
de mourir
en 
Somme
i -t
touchée
par le passage
silencieux
de la
VÉRITÉ
s'invitant
au
Conte
tenant 
LIEU
d'émerveillement
tremblant
d'errance
erronée
au
SILENCE
d'avoir
vu



Ton
 SILENCE
antre-nous
les pas
SEULs
ayant passé
à jamais
en larmes
d'encor
AILLEURS
ICI
en traits
de retour
à été
est 
seras
ton coeur
inconsolé
sans aurore
au tombeau
du plus
jamais
la reprise
d'être
trahi
par l'amour
accompagnant
le droit
de passage
en dessein
de partage
dessinant 
à s'assiettée
la table
de vérité
qui sait se faire
voir
c'est à dire
l'inutile
multiplicité
lumineuse


Le RIEN


 

Ta mort
celle-ci
antre-nous
les bêtes
à cries
ayant vu
pour
le
RIEN
l'en faire
à la queue 
leuleux
et puis
un petit dessin
que la 
Mort
emporte
aussi
le temps
en
FIN
d'un autre
dessein
à dessin
question de foi
d'il était
une fois
hors 
de l'Enfer
là où si tu veux 
vivre
faut suivre
le
Diable



Tenant
enfin
aux affres
écœurantes
d'attendre
la
MORT
toujours
celle de l'autre
osant
par dessin
interposé
comprendre
le non sens
de cette abattoir
 dans le maquis
des tranchées
du ciel
bleu
triangulé
de beauté
sur le socle
d'AMOUR
géométrisé
de la fin
des temps
en sa 
DISPARITION



Cela arrive
se peut
Posthume
et depuis
Camus
le monde
c'est défaits
des faits
tangible
à la vitesse
proématique
du dire
passé date
posthume
déni
 insondable
de l'agonie
sans mots
et silencieux
de brebis égorgées
d'en faire
 des affraires
poussées
au ravin
de l'oubli
des mots
disparus


Dessin


Le La Diable



Autoportrait
décadré
d'ICI
d'AILLEURS
antre-nous
sous peu
sachant bien
l'infini
fini
sans fin
la
MORT
sans appuis
qu'avant de n'être
piégé
sans possible
qu'impossible
DESSIN
et le diable
à la bombe
en farce
'' Ce n'est pas
 parce que vous
ignorez 
des choses
qu'elles
 ne se produisent pas '' *
et dire
posthume
enfin!



L'insensé
bonheur
de 
VOIR
porter le miroir
non pas des limbes
mais
de
 l'État
lamentable
de la pestiférences
en sa 
DISPARITION
innommable
avec le
TOUT
en lui
le même
UN
des uns
contre
petit dessin
du
RIEN


A ma chérie
assassinée
d'ignorances
ayant dévoilée
la figure
de
VÉRITÉ


Artaud *