Le RIEN

 

Ta mort

celle-ci

antre-nous

les bêtes

à cries

ayant vu

pour

le

RIEN

l'en faire

à la queue 

leuleux

et puis

un petit dessin

que la 

Mort

emporte

aussi

le temps

en

FIN

d'un autre

dessein

à dessin

question de foi

d'il était

une fois

hors 

de l'Enfer

là où si tu veux 

vivre

faut suivre

le

Diable

Tenant

enfin

aux affres

écœurantes

d'attendre

la

MORT

toujours

celle de l'autre

osant

par dessin

interposé

comprendre

le non sens

de cette abattoir

 dans le maquis

des tranchées

du ciel

bleu

triangulé

de beauté

sur le socle

d'AMOUR

géométrisé

de la fin

des temps

en sa 

DISPARITION

Cela arrive

se peut

Posthume

et depuis

Camus

le monde

c'est défaits

des faits

tangible

à la vitesse

proématique

du dire

passé date

posthume

déni

 insondable

de l'agonie

sans mots

et silencieux

de brebis égorgées

d'en faire

 des affraires

poussées

au ravin

de l'oubli

des mots

disparus

Dessin

Fottille De Mots

Exister autre

entrelacé

pour nous

Attendre

et aller

sans savoir

insensément

tendre

aux rythmes

se faisant

là ici et ailleurs

rebutant

de croire

à ceci ou cela

pour enfin

qu'importe

il en restera

quelque chose

faisant lien

en mots apaisant

des maux

les leurres

d'instants

disparus

aux ennuis

incréants

douloureux

sans lumière

défaisant

en sa nuit

les premiers

pas du cœur

pour mieux

la beauté

éblouie

en vérité

retrouvée

l'Amour

avec le mystère

qui laisse

suspendu

la création

se faisant

merveille

Mais où en est le cadavre de l'art menues monnaies petit petits cocos poudres blanches cames en caméléons de fin d'un temps éclopé par la technique dévorée de semblables à semblables par la survie d'un sauve-qui-peut pour mourir disparus sous la houlette de M. Le premier qui a connu qui a connu qui que quoi.. Dans la mangeoire  du banquier tirant à bout portant sur les amibes anonymes collabos morts et disparus dans la grande bouillie du néant  Mais Art y a-t-il et combien et où ? Attendre la dernière feuille tombée le dernier souffle le dernier soupir...Et de la Disparition du monde en un LÀ diffus évanescent oublié roulant aveugle et sourd en sa Mort morte ou encor voilà le voilà revoilà oui mais naître dans la pisse et la merde et les cris et quoi ???

Pourquoi y a-t-il quelque chose de disparu plutôt que Rien parfait ?

Attendre

tendre

en vain

cueillie

recueillie

accueillie

solitude

la même

tristesse

outrage

art quoi ?

En reste

miettes

résidus

mourir

des mains

le petit mur

jaune jauni

du peintre

dernier 

disparu

en ses fragments

de cris colorés

d'abîmes 

à signes

au bout

de la fin

de tout

tombé

en ses mille

soleils

lucides

en plein

non lieu

de la Mort

Sang sans

s'en...

gu r 

plus et plut

...

rouge                                                         D

soliste 

loque

silence

cosmique

sidérant

peur                                   i e

pas 

dessins

pour

rien

rire                                                                  u

un pas

après

la danse 

philosophique

marge

des marges

là au mot

maux 

digérés

...
fécal
art
haut
                                                                                 méga
o m
cage
b
drille
art
                                                 l'eau
manne
                                             de  A à




Z