25 mars 2023

Texte À Barda


Des parts
pas 
ICI
MÊME
PAS
IDÉE
Saisie
amorphe
sans
Morphée
enfin
Saïs
Z
un 1
 Conte
saisissant
où trébuche
D'OÙ
verrous
+
JAMAIS
foutu
éphémères
flammèches
de vrai 
VIE
c'est
ÉTÉ
sang saison
de la terre
jardin
du ravage
dangereuse
lumière
ogresse
méchanceté
dévoreuse
d'innocence
naïveté
à la table
bien mise
au coeur
d'abattoir
bourreau
bourré
main-tenue
d'Ax-D 'Abraham



... .rester
sous 
la dalle
suivant
le bleu
du ciel
défait
La tête
restante
affirmant
le moins
que certain
des saintes
Ô
chaude
ennuis
UN TROU
proématique
et 
OUI
précisément
ICI
MÊME
juste 
d'AILLEURS
à quoi
BON
inébranlable
en larmes
4
pattes
-
2
debout
fantoche
et
BOOM
Trop tard
c'est
voulu
Bord
de l'autre
côté
pas du miroir
mais
 du mir voir
Surveillez-vous
qui sur veille
la maladie
des malades
MORTS


Ailleurs
absence
t'attend
la grogne
 déchiquetant
la chair
des chiens
rampants
de dignité
atterrés  
devant
la dévoration
des prétentieux
mimant
le mimétisme
horrible
de la
MORT
Pas
berger
du désêtre
Ce qui se brette
l'éteinte
atteinte
de la lumière
Délabrement
de la conscience
abandonnée 
pour le compostage
pestiférant 
avec l'art
du barda
décohérant
la
BEAUTÉ
 se sauve
antre-nous
sans le sang
des fautifs
assassins
qui mangent
nos larmes!
Enfin
l'avanie... .
stable




Oui
bien
bon
non
pas à suivre
sans suite
et plein
de menteries
éternellement
jouées
vérifiant
l'exactitude
à tuer
travaillant
à travailler
Walser
faisait 
la vaisselle
en guise
de
Personne
encor
Vraiment
PAS
sur
bogue
au vibraphone
l'Apocalypse
Le lieu
depuis
48
trois
ans
et des oiseaux
depuis
tombés
PAS LÀ
conscient
du
JEU
axélosique 
de l'armé
des anges
sans situations
que l'infini
du ciel
trempoliniens 
Bref n'importe
quoi
À l'instant
l'inattendu
se perpétue
sachant
bien
la lettre volée
d'Edgar 
aujourd'hui
à l'incidence
de centre d'achat
anesthésié
ficelé
par la peste
toute
militarisée
aperçue
à la 
Sortie De Case
(2007)
Sauf conduit
pour la noce
avec
le
NÉANT
Vous avez raison
d'avoir tort


D'Après Vous


Droite en ligne
courbe
tantôt ceci cela
tenir
dans les ruines
bien construite
de l'insensé
sensé faire sens
et... .au mieux lâcher 
prise
Et les mots
ou le
Silence
Partout
nul part
ou 
la tristesse
du terrible
apporté
d'être 
ICI
dans l'imbroglio
d'en
Somme
Parler dire
et trompeur
la certitude
enfin



Tenir
temps alloué
limbique
l'attente
la mort
et puis
qu'importe
exporte
le vrai du faux
et encor
le noir
lumineux
du fil
qui n'est pas
qui est
et ce trait
posé en toute
liberté
se donnant
du mot
en ligne
à dire
voir
l'ineffable 
EST



... .de celle
qui ne finiras
jamais...

De l'Oeil
en fait
madame
de l'os
au désert
d'ennuis
au crochet
de mortes
 agonies
grosse affraires
assassines
totalisant
l'ignorance
de vos distractions
d'abattoirs
et des fuites
rattrapées
par
 l'Ogre
de vos exultations
sifflotantes
d'après vous
la
MORT



RIEN
au dur esprit
de solitude
SEUL
dans le grand
embarras
de la
MORT
énigme
ennuyeuse
d'essais
incessant
de rejets
compostant
l'univers
'' Il n'est pas certain
que tout
soit incertain '' *
et la multiplication
de conscience
au livre d'heure
qu'elle débarque
le je pense
on me panse
à la place
lobotomisé
du loto
boulot
dodo
facétieusement
avec la
Poune
gagner sa vie 
à plaire
séduire
la
MORT
l'effacement
du mirage
sous le roulement
de la
BEAUTÉ
A TRAIT
donné
à la souffrance
naturelle
aux mortes
langues 
dans le vinaigres
et que si la poésie
est inutile
comme la pluie
alors
qu'il pleuve
sur le jardin
déserté
du sens
de la mère
à boire
Après vous
sans après
dix courant
sans photes
à l'abîme 
déserté
du
SACRÉ



Pascal *

24 mars 2023

Conte Voir


Rebuts
amassés
pour 
TOUT
dire
des secrets
du supposé
vivant
d'ennuis
et des souffrances
payées
de quelques
exultations
compostées
au goût
du jours
En fait bon
en mettre 
sur le spectraque
milles fois
redit
d'un insensé
mort
de
Dieu
Peut-on tuer
l'indicible
innommé
de lumière
pas pour tous
EST
toute
l'AFFRAIRE
hors la 
SOMME
et ses bas-fonds
fondés
sur la... .
portée du vent
que la
MORT
fauche
quand elle veut
enfin
si elle est consciente
de la fausse
route
que d'être
épelé
aux hommages
d'une histoire
de pantins
à deux maux
reproduit
autant que veut
l'ART
de la mise
en page
imponctuée
et sans la forme
exigée
des messieurs
guidant le faire
accroire
mastiqué
du dentier
perdu dans la fosse
aux purintains
coulées
de langues
roulées
etc
Ceci faisant part
d'elle même
maladie
d'AMOUR
mal dit
pour la famille
humaine
sans trop
 de signifiances
Alors sang tenir
au vide
contenu
après
la
FIN



A-Roth

Allons 
de l'autre bord
à la clarté
désinsensée
du drame
de la quête
monétarisée
des organes
naturalisées
du partis pris
d'en finir
avec le
TOUT
suicidaire
des affraires
de la réussite
et le tout
en lit et ratures
follow le guide
à la 
DISPARITION
de l'espèce 
en plein
nihilisme
et niet
du mot
et de sa capacité
de garder le roi
éveillé
Politiquement
le comble
comblé
de la matière
inépuisable
métamorphose
sans idée
que la faim 
à sa plus grande
possibilité
l'univers
et ces millions 
de trou noir
infinis
Encor
du moins 
pêle-mêle
le méli-mélo
mélangé
de lui
le même
UN
des uns
proématiquement
le temps
noir
régressant
à son innommence
pré-grognement
Donc 
cacher
le passage
en cela n'est pas
la pipe
de m'agrippe
que l'informe
ou en corps
la mutilation
d'honnie soi
qui pense
assurance
d'ail oille
tu te fait mal
que des balounnes
de l'ennuis
mimétique
etc... .
Bon bien
et tant qu'à être
quoi
aussi coït
que le chaosmos
de 
Gilles
s'embarquant
pour se taire
bref
continuons
le con bas
exaucé
par sa vérification
sur le terrain
de la terre
et de ses composantes
gênante
devant 
les animaux
cette prétention
suicidaire
composante
toute réussie
'' Le destin 
bas les cartes
et nous jouons '' *
et l'art
l'ART
RIRE
de tenir
au
TRI


Allons 
par les grandes villes
d'en plein jour
le noir
ayant passé
par la plage
des rêveries
posthumes
et 
apocalyptiques
BOOM
ou
PAS
à
PAS
en boomerang
écrire
a-blanc
on the road 
larmoyant
de la terreur
de la
MORT
d'AIMER
ou
la tournure
au milieu
de l'absurde
en dessinant
de ci de là
le sidérant
séjour
chez cette erreur
consumée
de consommations
des bêtes
et des îles 
lumières



'' Le roi Œdipe a un oeil
en trop
peut-être.
Les souffrances
de cet homme, elles paraissent
indescriptibles,
indicibles,
inexprimables.
Quand le spectacle
présente une tel chose,
cela vient de là.'' **
Enfin bref
et des etcs



Schopenhauer *
Hölderlin **

Ta Vie


Douleurs
en bête 
à bêtes
De ce côté
passons
au vif
tremblantes
les chères
petits
dessins
aux étalages
des supplications
de 
George
et de l'ingérence
dans la fin
du
MONDE
décidée
par 
évidemment
le libre
arbitre
de la création
et de sa mise
en tutelle
de
 l'ENFER
par ses disparus
même
Et bien
que le néant
est beaucoup
et les places
ne manques pas
à y faire 
l'histoire
du bonhomme
sept heures
et de ses dodos
éternels
Imperceptiblement
la divagation
DISPARUE
le jugement
terminé
l'ennuis guérie
d'en 
Somme
La Terre
reprend
l'ampleur
de sa liaison
avec l'esprit
de
l'OEIL
à sa virginité
diligente
de l'homme
VRAI
ensemençant
le
désir
signant
le 
RIRE
en
NOUS



L'arraché
des cents mrcx
'' Tout  ce qui crois
vivre... .et bien non!'' *
Un chien l'à fait
comprendre
parlant du ciel
en enfer
d'un festin
suicidaire
et infecte lâcheté
pettes bretelles
à la feuille
de vigne
compostable
décomposable
en sa phase 
terre 
minée
En
FInnnnn
Accident
de 
Nature
natures
imperceptiblement
chuttttttt.... ..



'' Dans tout l'univers
ne reste immuable
que l'esprit '' *


Et des signes
en après-midi
au poste d'un ravage
de cercueils
à la quadrature
du temps qu'il fait
dans l'art
et dans la poésie
d'un après-midi
d'un faux
au musée
Maillol
Et puis
ta faim
ma 
FIN
noir poisseux
des ancêtres
pour se revoir
délarmés
de nos erreurs
amoureuses
d'avoir été




Inconnu *
Tchekhov **