Enfin
cela arrive
si peu
mais pour
longtemps
le temps
arrêté
Plus qu'éphémère
lubies
toutes écartillées
par les murs
fragilisés
des fruits
de tendres
larmes
alarmant
la
VRAI
VIE
tenant
LIEU
sublimant
vos baisers
de
MORT
naturellement
au feu
proématique
du tenir
posthume
sur l'étouffé
de quelques
mots
rattrapés
par la
FIN
qui ne finiras
jamais
avec ou sans
quelque chose
de lumineux
trublion
Dessin
pourquoi
aimer
tenir
animal
la grande école
de passage
'' L'espoir est le désir
mais ouvert
à la peur '' *
Précisément
ce qui après
TOUT
LÀ
en sourdine
faisant son chemin
VA
LÀ
ICI
cassé
du voile
dévoilé
par la froideur
de la dérive
des rires
à l'enfoncement
gelé
de la
DISPARITION
restante
comme filagramme
pour
à la fonte
des douleurs
que les mots
activent
les vertes
immensités
des joies
nouvelles
à la clarté
post-dessin
d'ATTENTdrE
la dissipation
des tentatives
ultimes
et
FINAL
À n'y pas
comprendre
seulement
le vide
plein
du manque
de vous
tenant du massacre
d'AIMER
cela
EST
inséparable
de désir
coupable
abject
après
TOUT
de naissance
terrible
La distance
faisant
l'ICI
MÊME
AILLEURS
antre-nous
amoureux
a dessin
de la silencieuse
PRÉSENCE
de
NOUS
Bataille *
Comme si...
la
DISPARITION
l'élévation
du tombé
agrippé
aux neiges fondantes
de l'aimée
qui
EST
partout
main-tenant
ANTRE
NOUS
et de la pensée
par dessein
tenant
LIEU
d'ATTENTE
l'épiphanie
de nos
COEURS
à éteindre
étreignant
l'océanique
destin
écourté
par ta venue
TRANSFIGURÉE
de douleurs
inconsolables
Anamnèse
chéri(es)
que le rêve
main tenir
le + que
VRAI
Il neige
sur ton corps
si agile
insondable
'' Coupable
comme eux de biens
des erreurs'' *
Sais cette danse
ÉTERNITÉ
corps et art
chérie
Arriveras
ce qui seras
pour le dire ainsi
ce présent
de supplications
et d'absence
suffocante
et de
disparition
infinie
laisseras place
à la seule
résurrection
souhaitée
'' On ne peut
pas sortir
de l'ombre,
même un peu,
sans exciter
la haine
de beaucoup '' **
Alors et bien
tenant
RIEN
Nijinski *
Valéry **
Y a pas
de
si
TOUT
en
bas
des maux
poudres
d'os
pétrifiés
espace
secret
d'L
ossifiée
d'écritures
ôtres
horrifiée
d'arrêt
en
Ô
De la
BEAUTÉ
ce brassage
infini
du
PARADIS
cruel
de
MORT
Main
tenant
la
GRÂCE
fixant
terrible
la fugace
lumière
le crie
d'arrachement
à la
VRAI
vie
comme un geai
BLEU
et les lueurs
restantes
découpées
à la
H
du
Conte
de votre air
d'errance
Erre
d'aller
partout
à la grandeur
de l'émotion
portée
à la joie
étincelle
approchant
l'étais-ce
aile
étirant
l'émerveillement
au-delà
de l'amour
même
d'elle... .
Incompréhensible
l'attrait
insensé
du tempérament
de l'arbre
cachant
la Nature
natures
de la froidure
de la
FIN
engourdissant
la tête
dès l'arrivée
au cercueil
de la
con-naissance
du mélangé
de la dissertation
du patri-moine
d'exultation
en
mort
tu erre
pendant
l'air rance
d'entassement
des cadavres
au trou noir
de la vallée
(du charme)
attaché
à la lettre
ponctué
de la reproduction
pulsant
la proématique
du temps
d'appuis
En conte
labour
rieux
et des broutilles
en guises
ce seras
TOUT
pour au-delà
d'ici
d'AILLEURS
Une danse
matissienne
pourquoi pas... .
ou encor
Joyce
promenant
Ulysse
Reconnaissant
Saïs
Un désintérêt
absolu
presque divin
à
TOUT
exception faite
de la
VRAI
VIE
qui n'est pas
de l'attente
Aile
EST
LÀ
'' L'acte ne réussit
jamais si bien
qu'à rater ''
Aimer
ensuite
déguerpir
avec
l'AMOUR
mais
les malheurs
bienheureux
quelle extase!
Anthropophages
assassins
conscients
inconscients
marionnettes
de pas lui
lui
l'autre
à moins que
l'insaisissable
pénètre tout
spinoziste
mort et vie
et des masses
totalitaires
pavées de bonnes
intentions
du sujet apte
au déguisement
de la survie
et du gain
'' La banalité
du mal '' **
et des justifications
infinies
et de l'
ENFER
en faire fit
du sucre et du sel
et du feu
d'un fourre
TOUT
de tubes digestifs
a la solde
d'empires
rois
de la manie
ganse
à la ceinture
défaite
des faits
non arbitraires
du
UN
contre-tous
en tous
UN
le même
posé
en festin
global
BOOM
de
MORT
cette ogre
infinie
Attendre
lui pas lui
l'autre
entre eux
l'Enfer
partagé
de faux semblants
'' Le mal peut-être
banal
et extrême.
Seul le bien
est radical... '' **
et en
FIN
Saïs
à la voile
d'os salée
d'esprit
Éternel
consumation
de la terre
''L'Amour
est une
répétition
sans fin '' ***
et se méfier
de la justification
d'AMEN
et des meneurs
sans menés
en bout de ligne
sans
la multiplication
des pains sucrés
des perds
et du sel
de la mère
alors
le désert croit
l'ART
se retire
et posthume
ce qui seras
TOTAL
y
TAIRE
dire
RIEN
'' On dit tout.
Tout ce qu'on peut.
Et pas un mot de vrai
nul part '' ****
Ici pas plus
qu'ailleurs
et la lumière
se pose
sur
l'ENFER
en séries
de natures
mortes
sans émerveillement
le coeur asséché
de raisonnables
raisons
raisonnantes
sans la liberté
de conscience
d'AIMER
ou encor
mieux tenir
contre ruse
Nature
et ruse
Raison
devant la
BEAUTÉ
assumée
d'ANTRE-NOUS
vivant
de non!
Enfin
que de disparitions
et le goût
de la mort
tas d'elles
La justification
du nombre
contre
VÉRITÉ
Ha!..
L'AMOUR
CHÉRI(E)
Mais comprendre
à dessein
de portance
sur la ligne
de front
contre
grappin d'sus
en virgule
point déliant les lignes
en nœuds
miroirs
à la tonnes
en
SOMME
pour lui
le même
UN
des uns déguisé
en négoces
de la
BEAUTÉ
d'ICI
MÊME
en quête
d'AIMER
TOUJOURS
Lacan *
Arendt **
Novalis ***
Beckett ****