Y a pas
de
si
TOUT
en
bas
des maux
poudres
d'os
pétrifiés
espace
secret
d'L
ossifiée
d'écritures
ôtres
horrifiée
d'arrêt
en
Ô
De la
BEAUTÉ
ce brassage
infini
du
PARADIS
cruel
de
MORT
Main
tenant
la
GRÂCE
fixant
terrible
la fugace
lumière
le crie
d'arrachement
à la
VRAI
vie
comme un geai
BLEU
et les lueurs
restantes
découpées
à la
H
du
Conte
de votre air
d'errance
Erre
d'aller
partout
à la grandeur
de l'émotion
portée
à la joie
étincelle
approchant
l'étais-ce
aile
étirant
l'émerveillement
au-delà
de l'amour
même
d'elle... .
Incompréhensible
l'attrait
insensé
du tempérament
de l'arbre
cachant
la Nature
natures
de la froidure
de la
FIN
engourdissant
la tête
dès l'arrivée
au cercueil
de la
con-naissance
du mélangé
de la dissertation
du patri-moine
d'exultation
en
mort
tu erre
pendant
l'air rance
d'entassement
des cadavres
au trou noir
de la vallée
(du charme)
attaché
à la lettre
ponctué
de la reproduction
pulsant
la proématique
du temps
d'appuis