21 oct. 2022

Rumeur




Acrylique
sur papier
 (2008-09)

Ce lieu
espace
en FAIT
Et de cela
SEUL
''...À la fin
des fins
de la fin
du monde '' *
Après
QUOI!
Sur le s'Oeil
et puis
de l'abysse
tenir ayant 
tant
de peurs et 
de courage
entremêlé
de folles
rumeurs
de pièges
dedans dehors
et de sales affaires
dantesques
réalités
Effleurement
compagnon
pour
la marche
à sa suite
qui parfois
se pose
en ravissement
subit 
marqué
de régénérescence
à jamais
Quelque chose
exactement
et
c'est
TOUT
cachant le merci
de passage
et l'excuse
des cendres
enfin
qui sait?
Ce besoin...
Besoin?
En peuple
qui pas encor
ou 
TOUT
simplement
SEUL



Pour 
ce
RIEN
qui 
EST
tout
et pour 
tout
dire
en
VRAI
rien
Enfin
maux
fermé
étouffer
de
Paradis
tombant
d'Aile
où elle
à 
ÉTÉ
d'ÎLES
antre
NOUS



Poisson Sans Titre
et
Béance
(2008)

 Feuilles qui tombent... .
et homme qui meurt... .?
Encor
'' Le langage
est un ensemble
de citation  '' **
Pourquoi 
sans pourquoi?
Sang sens
s'en tenir
à ce qui tombe
en volant
d'effroi
pour être là...
et c'est tout
Coeurnaval
 de bribes
en vive mémoire
Bâtit
fragile
 passé
d'autres copies
qu'on forme
au cul de bouteille
tant que le veut
la violence
et la folle ignorance
de l'appât
appâtée
F'oeil
tombe
la
Mort



...de mots dires
 sur le s'Oeil
Seul
solo
de froides ardeurs 
en petits
Contes
pour l'effroi
d'arriver
de sortie
liées
par
le
 TOUT
du
RIRE
pris au piège
de l'éternité
changeant
à volonté
les rumeurs
et autres
insignifiances
infinies
de la fin
de 
TOUT
en
TOUT
sans tous
partout
toutous
autant que veux
le vœux
de la marche
qu'en dise
les meneurs
épris
priant 
à genoux
le vide
 saint ni terre
antre 2
glauques
d'agonies
aux marches
du palais
'' La seul
attitude judicieuse
consiste
à s'accommoder
de l'état des choses '' ***
et vivre 
 le suicide
 réussi
du
TOUT
Main tenant
 la machine
à faire
semblant
que c'est
 intéressant
la quincaille
apocalyptique
 gauchissant
la réussite 
discrète
d'intelligence
 s'abordant
la Vrai 
vie
qui 
EST
malgré
TOUT
'' Sauvage est la
proximité
du sacré '' ****
Autre 
et pas pour
TOUS



Et qu'est-ce que
QUE?
Le vertige
apprivoisé
l'abysse
aimé
la terreur 
subjuguée
et des amours
pour aller
ÊTRE
oiseau
 incommensurable
infini
de
 MORT
devant le peloton
monde
à ressusciter
d'ÊTRE
parfois
et d'abord
posthume
ICI
MÊME
où le lieu
échappe
En vérité
où tremble
l'innocence
la naïveté
de
 Vivre
Et toutes
autres voies
est de même
sans issues
Seul un petit
dessin
tenant sans tenir
RIEN
qui vaille
en fin



Guerne *
Borges **
Kafka ***
Hölderlin ****

 

Détitré



Jeu de...
 RIEN
milles et une
sottises
pensant 
après 
TOUT
Inutile
lumière
sur ( la beauté
effrayante )?
et la blancheur
échappée 
d'anthropophagie
par arrêt
du temps
sur image
apostrophant 
l'irrespirable
  métamorphose
de l'air 
infusant
le cadavre du temps
 scénique
et la multiplication
des poissons
poisons
à la moulées
de mère
 Nature
serpentant
le tremblement
 des feuilles
Écrire un mot
de l'en faire
en fin 
 la mortalité
technique
et les ratures
du lit
jusqu'au sort
 se donnant
l'importance
 farcie
des fesses
et pompé
du cul 
d'argent monde
 a la ratatine
à l'hyposuccions 
de brasse la bacaisse
dans le fond dlà boite
'' J'écris autrement 
que je ne parle,
je pense autrement 
que je ne devrais penser,
et ainsi jusqu'au
 plus profond
de l'obscurité '' *
Enfin quel seras
 le dernier maux
de la langue coupée
et l'impossibilité
du dernier mot
pour le dire
Babel babille
les hochets
hoquets
laquais   
quotidiens
de la sauce 
tard tard
pour les festifs
du dernier pas
avant le grand saut
silencieux
du retour
éternel
d'inexistence
en forme
de jugement 
à jamais
innommable
et
indicible
silence
Dodo
chutttt 
une crisse de chute
sans sang insensé
saignée
au bout des vessies
aux ans ternes
déterminés
par la terreur
de la mise
 tombant 
des talons haut
de la prétentaine
histoire
zombinée
de la vieille dame
au miroir
de la guette sa peau
d'il était avait été
seras



Les preuves
du temps
s'écrivent
en se rendant
 invivables
épreuves
se mirant
de se voir
mourir
Rat trappé
du bonheur
de la splendeur
du désordre
de la vérité
infernale
de l'histoire
qui grâce
à l'Art
sur le pont 
d'Avignon
s'expose
à de drôles
d'infortunes
exaucés 
de la
mal adresse
d'une gigue
avec la
MORT


... .de la mise 
en scène
où le songe
 Joue
du cauchemar 
de ce qui
EST
se donner
par le 
PEUPLE
qui
 manqueras
de toute
éternité
l'espace
d'un moment
au temps
des morts
pavoisant
de la réussie
 DIPARITION
des disparus
du mot
même
pour le dire
et bien
Après l'éteignoir
et le dernier
râlement
d'agonie
l'Art
en silence
Conte
arborescent 
des restes
sans maux dire
ce que mérite
la laide
infamie 
 cadavérique
du vrai homme
    mort avant
MORT

 


Le difficile
non pas de ce mettre
à l'affaire
d'affraires
mais tenant
pour
RIEN
distanciant
l'affront
fait à la création
 de l'inutile
et non serviam
beauté
d'Amour
 et 
d'os
géométrisés
au passage
de l'effort
à ne faire
qu'à sa douleur
et la création
infinie
Plus dur
que la guerre
faire un tableau
pareil à la mer
à boire
 VOIR
l'admiré


Kafka *

18 oct. 2022

Pas



Lumière
qui croyait que
fut que qui 
soi déserté
de la terrifiante 
 beauté
spectrale 
de l'Art
objectant
à ce qui meurt
ce d'où on
 EST
plus
Personne
Ô mère
ni de perd
que de tant
d'APRÈS
TOUT
ayant changé
 de monde
SEUL
et
FOU
parmi ces asilés 
du
 VIVRE
quand on peut
se faire incinéré
pour quelque sous
chez Freud
en taille douce
d'univers 
multipliant
les diversions
et
vociférations
d'incrédules
 faussaires
d'en
 Somme
en des peurs
téléguidées
des uns
du 
UN
pour trier
les élues
du devenir
PARADIS
Enfin
kafkaïen
excentré
de la terre et du ciel
et depuis
l'ATTENTE
patience
dans le bavardage
des étoiles
en émoies
d'absences 
radieuses
de n'être pas



Tenir
entretenir
pour 
POUR
ignorant
l'ignorance
proche
et lointaine
la même
sachant
que pas
qui veut
la folie
Dire
la fuite
de l'essentiel
par filais
filant
échappant
se tenant
Revenant autre
inaptitude
et pas un homme
TOUT
selon
'' Que serions nous
donc sans le secours
de ce qui 
n'existe pas? '' *
Cet arrêt
fut 
la poursuite
impromptue
du
RIEN



Traverser
le doute
 avec la naïveté
qui se doit
au face
 à faces
mordant l'air
du temps
déporté 
de l'axe
épidémique
d'écomomique
 technicalisant
(radiant)
la fermeture
du penser
vers la dispersion
nécrosante
objectivée 
UN
des uns
scellé
en lui
le
MÊME
spectraque
s'autogénérant
en mot
pour la 
MORT
et les poussières 
étoilées
du pots aux roses
appel
de la
Nature
machine à machins
machinant
du machinée
eschatologique
pour un lieu
mortel
et fini
Politique
étatisant
la
 JOIE
du
 DON
d'être
ou...
L'éternité
va
sans dire


SEUL
2
trois
qu'en 
mord
l'éphémère
au formol
 meurtrier
du comme un
de là
la monnaies
 vivantes
 ratatinant
l'ordres durs
guerroyants
du yes sir
pour voyant
du colliers
aux culs
des colères
après les pluies
de larmes
à misères
 d'instants
inventant
de l'histoire
revancharde
 d'aboies
de justifications
en tas de chants
 lâches
 Fécalitée
du
dieu hérétique 
au passage
de la forclusion
du passé date
et maître mot
dravant
l'en avant
nos gens
et sortir
du cercle
hégelien
de la trottinette
trompétant
sur l'autoroute
où meurt
les milles soleils
de la nuit
des longs pinceaux
'' L'ensemble 
est protégé
contre la déraison
par sa bêtise '' **
Art et pensant
faire penser
le Néant
à la ligne
pêchant
le péché
de la truite
schubertienne
et le discernement
de l'autre heure
Dion 
n'à pas 
ou peu pas
pas eu long feu
pour sa musique
un peu comme Vivier
ont eu droit
au même
final
sans requiem
pour un
PASSAGE
pas sage
en si
dièse


Valéry *
Kant **


Captation


Début
et fin
et c'EST
TOUT
instant avec s ou 
qui sait
le temps
d'en 
RIRE
formant
la rigole
du mourir
pouffant
la fissure
à la largeur
de la baleine
de Jonas
ou Moby Dick
sur la mer 
des sarcasmes
préférant ne pas
Et des dieux
étêtés
par le 
Dieu
de l'hommerie
enfin
on y arrive
Main à charrue
à plûme
tous pour
 UN
informe
et bien
formé
à l'assurance
de la
MORT
poussières
d'infini
pour un petit
dessin
sans dessein
tenant
 le désenvoûtement
d'Art-ô
mettant mi-chaud
mi-froid
à la place
du leurre qu'il
EST
Quand on à dit
Ça
il faut consulter
le peu restant
de la dernière
fleur
proématique
et 
sur le dos du tigre
l'Oeil au Verbe
triant
du bonheur
sans dire
un mot



Walser
et l'essuie
de la vaiselle
en pas
 sur la neige
cette pluie gelée
micro macro
des générations
rationnées
du chapeau
freudien
des mesures
restrictives
à la joie
d'exister
trop-tard
et pour l'amas
de tant de tout
ce qui se sait
depuis
l'en faire
de la parade
des biens
 portant
la boule
à sa destinée
qui n'est rien d'autre
en un seul
MAUX



'' Ceux que les dieux
aiment meurent
jeunes '' 
de qui 
EST
déjà sans un
 CONTE
qu'une histoire
d'ennuis
atomique
de gras souillé
petits 
indigents
brocanteurs
de morts vivant
qui marchent
à la crème glacé
du cercueil
infini
pour prière
d'insérer
TOUS
informes
et pas épelés
de la crémation
uni-vers-elle
et pour en
déprime
conter les poils
de la 
triangulation
exultante
promise
à sa terre
de pro-création
afin
que quand 
c'est fini
autant que le veut
la toison dort
du miraculeux
mirage
aux mirettes
de l'histoire
d'os



Après 
TOUT
commencer
pour
en finir
avec le 
SEUL
sol
en ré
etc cte tec
'' Un blanc
sonne comme
un silence,
un rien avant 
tout
commencement '' *
Tenir
la forme
corps
grec
et tête
tâtant
de l'étirement
vers
l'éternité



Kandinsky *