Acrylique
sur papier
(2008-09)
Ce lieu
espace
en FAIT
Et de cela
SEUL
''...À la fin
des fins
de la fin
du monde '' *
Après
QUOI!
Sur le s'Oeil
et puis
de l'abysse
tenir ayant
tant
de peurs et
de courage
entremêlé
de folles
rumeurs
de pièges
dedans dehors
et de sales affaires
dantesques
réalités
Effleurement
compagnon
pour
la marche
à sa suite
qui parfois
se pose
LÀ
en ravissement
subit
marqué
de régénérescence
à jamais
Quelque chose
LÀ
exactement
et
c'est
TOUT
cachant le merci
de passage
et l'excuse
des cendres
enfin
qui sait?
Ce besoin...
Besoin?
En peuple
qui pas encor
ou
TOUT
simplement
SEUL
Pour
ce
RIEN
qui
EST
tout
et pour
tout
dire
en
VRAI
rien
Enfin
maux
fermé
étouffer
de
Paradis
tombant
d'Aile
où elle
à
ÉTÉ
d'ÎLES
antre
NOUS
Poisson Sans Titre
et
Béance
(2008)
Feuilles qui tombent... .
et homme qui meurt... .?
Encor
'' Le langage
est un ensemble
de citation '' **
Pourquoi
sans pourquoi?
Sang sens
s'en tenir
à ce qui tombe
en volant
d'effroi
pour être là...
et c'est tout
Coeurnaval
de bribes
en vive mémoire
Bâtit
fragile
passé
d'autres copies
qu'on forme
au cul de bouteille
tant que le veut
la violence
et la folle ignorance
de l'appât
appâtée
F'oeil
tombe
la
Mort
...de mots dires
sur le s'Oeil
Seul
solo
de froides ardeurs
en petits
Contes
pour l'effroi
d'arriver
de sortie
liées
par
le
TOUT
du
RIRE
pris au piège
de l'éternité
changeant
à volonté
les rumeurs
et autres
insignifiances
infinies
de la fin
de
TOUT
en
TOUT
sans tous
partout
toutous
autant que veux
le vœux
de la marche
qu'en dise
les meneurs
épris
priant
à genoux
le vide
saint ni terre
antre 2
glauques
d'agonies
aux marches
du palais
'' La seul
attitude judicieuse
consiste
à s'accommoder
de l'état des choses '' ***
et vivre
le suicide
réussi
du
TOUT
Main tenant
la machine
à faire
semblant
que c'est
intéressant
la quincaille
apocalyptique
gauchissant
la réussite
discrète
d'intelligence
s'abordant
la Vrai
vie
qui
EST
LÀ
malgré
TOUT
'' Sauvage est la
proximité
du sacré '' ****
Autre
et pas pour
TOUS
Et qu'est-ce que
QUE?
Le vertige
apprivoisé
l'abysse
aimé
la terreur
subjuguée
et des amours
pour aller
ÊTRE
oiseau
incommensurable
infini
de
MORT
devant le peloton
monde
à ressusciter
d'ÊTRE
parfois
et d'abord
posthume
ICI
MÊME
où le lieu
échappe
En vérité
où tremble
l'innocence
la naïveté
de
Vivre
Et toutes
autres voies
est de même
sans issues
Seul un petit
dessin
tenant sans tenir
RIEN
qui vaille
en fin
Guerne *
Borges **
Kafka ***
Hölderlin ****