...et de ciel
aveugle
de suifs noires
des plus là
en tas
d'oublis
et noir de monde
en forme
déformée
d'Amour
À quoi sert
la proématique
en temps
d'impasse
hors le sol
des envolées
plombées
aux idées
amusées des bombes
au fond
écrire
l'écrit qui crie
entre
Munch
et
le bruit
divaguant
de l'éternité
dans tout
ses états
Les portes
fermées
le dégoût
passe au rire
d'innocence
devant
la MORT
et que la soit dit
dite
redite
et folle
présence
en
l'AMOUR
torturé
par en somme
des particules
et ses menteurs
de vérités
alors
un train
où la déportation
de l'enfer
vers
la main tenant
dessin de lignes
enlignées
passe-muraille
passe
inutile
sans suivant
seul
en millions
de pas à pas
sur la route
vertigineuse
du silence
En tant de bruissances
pour le dire
pendu
au bout des maux
de pas dire
l'envol
des vies
d'air du temps
jamais retrouvé
Stragédie
d'instants fugaces
c'est
TOUT
'' J'ai besoin
de solitude
je veux dire de guérison
de retour à moi,
du souffle d'un air
pur qui circule
librement ...'' *
et enfin
des îles
ou encor
tant de passages
au labyrinthe
des corridas
où
LÀ
la tête
frappé
par l'éclair
d'Hegel
il est de retour
à la
d'adamantine
joie
d'être
passant au-delà
de la fatigue
force
donné
d'insister
sortant
en sachant
la fin d'avance
avançant
dans la nuit du temps
qu'importe
la froidure
du corps
l'esprit est déjà
au réchaud
en d'autres aventures
ICI MÊME
en trop
trottant de ci-de-là
catafalque
tombeau
sur les chant
de cultures
à l'urine
et les fientes
des champs de batailles
et des pets de gaz
Y en auras d'autres
après
Music
regarde bien petit
les brindilles
d'éternités
dans la poutre
de la feuille
des mots
pour ne pas dire
redire qu'inutile
est la vie
en somme
et pour tous les mots
la langue coupée
de Matisse
sans maux
100
s'en
sang
sent
bruits
chuttttt
ou encor
éruption volcanique
Pompéi
BOOummmmm
ba la boom
L'indice boursier
bourrant
le pourcentage
des cadavres
dévorés
du Père la chaise
la table
et tous les biens
du ciel
et de la terre
en graine de sénevé
voilà
pour la faim
de la fin
du commerce
au comme un
des communs
avec la joie
demeurant
entre la distance
et le très prêt
de
TOUT
de l'autre côté
là où la poésie
devient
proématique
antre en nous
l'émotion
du coeur à
TOUT
dire
au jeu
de discarte
à l'aurore
du rêve
infini
de créer
Art de qui que quoi
en temps
de Disparition
des puces
su l'dos
des univers
nihil et des dieux
sévères qui appellent
call l'orignal
sous de drôles
d'états d'être
où l'Esprit
congédié
n'est plus qu'un chiffre
assoiffé
de douleurs
des chéries
et mot dire
tenant tranquille
pour de bon
par les paysages
du coeur
incarné
formant des désirs
de résistances
tant bien que mal
aux dénis
d'Amour
et de lumière
Symphonies
d'émotions
vers d'autres versants
d'âmes
porteuses
d'airs d'espaces
de derrière
TOUT
Antre
lieu
qui sait...
OÙ
Et si défait
de
LÀ
des en sommes
partir
sortir
hiérarchisé
des Vivants
sous la feuille
à dessin
de prendre
la clé
à la portée
des corps idées
de pas grand chose
en fait
chérie
RIRE
de bataille
oeil
de guerre
déridant
le désert
des fins
et en larmes
désarmées
des natures
Nature
et des faims
d'encor
entre-nous
des coeurs
rassasiés
en
TOUT
en coin
délié
des morts
et des vivants
en des joies
de bêtes
exaucées
Nietzsche *
