De la liberté
de rire
entre les lignes
d'un coeur
En fin
dire
dessiner
des chaos
d'inutiles
ténacités
seulement
pour le passage
du jour
avec ses sautes
d'humeurs
et d'ennuis
de calme
et de frayeurs
aussi
Main
tenant
l'Amour
hardi
sans espoir
se sachant
lapidé
de traitrises
au goût
du jour
la vague
casse
tant de choses
Mélancolie
Et puis
quoi que qui
cocu
Et rire
en fait
de ma dame
aux comptes
de cartes
des morts
hypothéqués
1 deux 3
4 cinq
5 4321 000
o
O
Dit dix manches
et des parcelles
de hors grappins
de soleils
lunes
à tiques
des nuits
sous la tutelle
des par ici
la trappe
indolente
du moment
Qu'est-ce que
tu dit là...
Deleuze
et le petit
grain
et des fragments
de quelque chose
De vent
aux oreilles
d'autre
et milles
et une
nuit
NOUS
en des jeux
de jours
d'années
sans compter
et ce qui
en
fin
Hommage
à
Ingres
...et pourquoi
tant
de fioritures
dans la soupe
du temps
qu'il fait
2022
encor
pour
quelques
instants
autant
que faire
sous peu
Tant et infime
présence
presque
pas à pas
de
RIEN
c'est peu
mais
c'est
TOUT
Défaire
d'encor
la dépression
cherchant
l'en corps
sociétal
sujet à rebus
revu
et tant pis
si cela va
ailleurs
et tant mieux
si c'est hors
propos
du temps
bien fait
de ce qu'il à
a faire
et pas lui
mais
UN
des uns
en somme
pour aller
Allons
VOIR
petites
fissures
lignées
sur la mer
larguant
le libre service
du soi et mille
en uns
UN
RIEN
pour
ICI
MÊME
entre autre
autrement
ment songe
la main
dans le cul-de-sac
du
Compte
en faim
quoi l'éternité
Si la tendance
se maintient...
Main
tenant
allons... y
pour une valse
avec
Albert
ou d'autres
temps go
encor
avec les derniers
soupirs
d'et va nue
pieds
devant
des boues
esseulées
de la main
d'Amour
Où d'où
vers où
des mots
choses
lui
et eux
entre
les failles
de pétales
tant et tant
de crimes
avant
pendant
après
en couche
société
de la bouche
rie
passant
de
LÀ
à pas
là
et puis
LA MORT
c'est de ça
qu'il s'agit
s'anéantir
tomber
en prenant de l'air
dans par et avec
la durée
indéterminée
dépendant
du jeu
se jouant
du je
JE
le mettant à sa place
de farceur
se croyant
positionné
pour l'éternel
mourir
au yeux du vivant
s'opposant
à MORT
à toutes morts
Mais
où cela va t-il?
En va t-il
ainsi?
Des mots
que la
MORT
emporte
de porte
en portes
Flocons
soleils
astres
en dés
à coudres
perdus
piqués
de Réel
et de
sang tous
des morts
toujours
l'éternuité
de
RIEN
pour petit
dessin
c'est peu
et
EST
TOUT
ce qu'il y à
Bloc
de marbre noir
scellé
depuis
la fin des temps
qui à eu lieu
ICI
MÊME
et à jamais
éternel
et après vous
toujours
...de rien
à
RIEN
que ceci
passant
qui à eu
lieu
répétant
sans cesse
la folie
du jour
et de demain
lendemain
d'os
au noir
des amas
sans amour
et puis quoi
des lires
lyres
lyriques
lubricités
cochonneries
histoire
somme toute
Nature
natures
guidée
téléguidée
par la poussière
du temps
de tant...
...tenant
pour
chuttttt....
Où
d'Où
vers Où
Verrous
L'inattendu
par
l'inconnu
du crime
invisible
venue
de
Nulpart
Enfin si...
retour
au balancier
coupable
de choses
et d'autres
tête
piquée
dans le banc
de neige
ou au volcan
des sottises
...enfin
rendu
ridicule
Présence
aux faits
divers
Tranquille
parmi
des tas
de ruses
et de lui
le même
au jardin
des délices
dans le couloir
où disparait
même
les brûmes
au-dessus
des rivières
glacées
encor
des corps
aux festifs
passagers
à dessins
de poète
mort
en tiraille
de viande
et chair
de poules
et pour
le conte
de la souffrance
au compte gouttes
Feuille
de mots
encor
au vent
des maux
de tout autre
en dire
SEUL
Temps modo
tant d'excitant
et dans la pièce
noire
le mort
roucoule
arrive dans le dos
de tout bord
improvisant
des astuces
de pires en pis
tapissant
le tombeau
de plages
aux palmiers
englués
agglutinés
d'amours
dans la clameurs
des ossements
de l'île
de Ladistance
Et ça passe
et puis t'a vu
qu'est-ce qui
reste
et pas de mise
mine
de rien
la bestiole
exhumée
du rire
s'évanouie
(parler pour le néant)
faut le faire
c'est fait
mal dit
samedi
Il neige
mésanges
virevoltent
pris
au vol
de février
Des moments
'' La vie
est une perpétuelle
distraction
qui ne vous laisse
même pas
prendre conscience
de ce dont
elle distrait '' *
Et d'emmuré
de tête
au pied du temps
moisie
Ô
jeu
des abricots
ô
haut
des lignes
désalignées
au départ
Allons
au
TOUT
écrit
farceur
s'effaçant
au fur et à mesure
du dessin
armature
d'Ingres
la main au bâton
à voir
avec le train
trimbalant
la Chose
pour le dire
ainsi
Et bien
l'erreur
du cul
c'était
la merde
et son arrivée
en lieu
incertain
sur le terre
comme
au ciel
Du vent
aux îles
lumières
et de bien
tôt
'' ...Que votre
amour
généreux,
que votre savoir,
serve à donner
un sens
à la terre '' **
Pas de technique
calculatoire
en fait
ALLONS
futur antérieur
rions
au bois
du violon
et de la proématique
venue
d'incontournables
attentes
de la
VIE
à la respiration
lascive
douce
aimante
et pleine
d'avenir
qui que quoi
qu'il advienne
pendus
électrique
létale
éteignant
l'artifice
comme le vrai
reçu
rebut
débris
dépris
le
corps
d'Amour
c'est envolé
avec l'éphémère
en plein coeur
le couteau
dans la bouche
des mots
de ce dont
on ne peut
parler...
et pour
RIEN
à nier
en la demeure
de meurt
... .
Kafka *
Nietzsche **
Miller
et les toitures
pour vive
mémoire
(Quand la merde
vaudra de l'or
le cul des pauvres
ne leurs
appartiendra
plus)
sans que cela
puisse se voir
le compost
derrière chez-soi
Mais
noui
tant de tant
de et encor
plus
et plus en corps
des masses de chairs
fraîches
au prix capricieux
de la
Nature
et puis on y
EST
et sous vide
et ce seras
auras été
la tété
télé
et c'est
TOUT
Oui déjà
vu
et jamais
la fêlure
d'Amour
n'auras
à ce point
TOUT
engloutie
du
DIEU
douleurs
émotions
joies
complicité
et l'éternité
en
TOUT
pour finir
pas magie
pas mystère
RIEN
Trop d'émotions
et ses ailes
prirent
en feu
de la Nature
sachant
jouer des tours
aux brebis
aux tigres
à celui
qui part pour
la mort
écœurant
l'utile
et l'agréable
au jardin
de Bosch
Breughel
comme le douanier
prend
les têtes
étêtées
la tête
en vain
d'enfants
de vent
pas toujours...
On ne le veux
ressuscitant
du maux
monnayé
de la bouille
à baisse
les deux pieds
dans la face
de son interlocuteur
le Diable
'' Nous vivons
dans un monde
possédé
et nous le savons '' *
vers exactement
le pire encor
la cueillette
auras tes yeux
au miroir
des mises
en saintes
sur la scène
inavouable
des tortures
du sang caché
pillé volé
par les roses
à la citation
de l'indice
boursier
et du bonheur
qu'il fait
au sortir
d'une fric assez
et c'est
TOUT
'' Comprendre un texte
c'est toujours
se l'appliquer
à soi-même '' **
Enfin et pour
dire posthume
toujours
et sans fin
car c'est
des maux
toujours des mots
d'à lit
dada
les mêmes
sur réel
imposant
les folies
du jour
au quotidien
laissant venir
les petits enfants
aux joues
des joies
jouissives
comme de raison
être ou pas
en phase terminal
ou débutant
la fin
de
TOUT
Huizinga *
Gadamer **
