PSAUME
Parler
de
TOUT
pour ne
RIEN
dire
Simplement
tenir
par pour
un petit
dessin
En fait
que dire
sur le
SILENCE
que la solitude
de la main
exténuée
de n'en sortir
jamais
condamnée
dans la cage
funeste
d'insuffisance
d'ennuis
jusqu'aux larmes
Improvisation
pour tout seul
condamné
à crever
sans savoir
ayant perdu
le naturel
d'aimer
depuis
le refus
d'obéissance
aux mots
imposés
d'une vie
vécue
à l'avance
et comptabiliser
aux maux
du jour
par d'infinis
labeurs
à dévivre
pour
RIEN
En fin
de parcours
la mort
d'à chacun
son tour
et l'attente
de plus en plus
longues
la mode étant
d'attendre
toujours
et de plus en plus...
Mais quoi?
La nuit seras
prolongée
d'anxiété
et de variants
le coeur
gonflé
d'en finir
une fois
pour toute
avec l'eau
du compteur
des joies
escomptées
au super marché
de la belle
promenade
avant d'en crever
dans les bras
de la seul
inachevé
suspendu
et d'un secret
bien gardé
celui
désiré
du bonheur...
même effacé
transcendant
la disparition
en écrit
criant
y a t-il quelqu'un
encor à démasquer?
quelque peu
plus loin
que la soit dit
réalité
d'là mort
silencieuse
de l'espèce
disparus
virtuellement
éteinte
par une panne
ayant causée
des dégâts
irréversibles
sur le doute
d'avoir été
avec une tête
bien en lieu
et place
accréditée
d'un passeport
intelligent
laissant
ses marques
sur la parois
ayant eu vent
que qui sait
ne pas naître
évite
le prix d'avance
prévu
à l'heure
du thé
avec la veuve du roi
Mot dit
la conscience
renonce
à l'excitation
des applaudissements
des citataires
de lui
le même
UN des uns
nommément
reconnu
coupable
d'avoir
éteint
la lumière
de son verbe
psalmodié
en vain
Diversions
d'où
où
verrous
des formes
et des couleurs
cadrés
encadrés
de deux verbes
qui se suivent
se surveillent
et se contredisent
en somme
Art
des dés pipés
des prisons
sans portes
Et des diplômes
attendant
les courants
d'airs
d'entrailles
et bénédictions
du maître
guidant le peuple
sur le radeau
de Géricault
vers sa destinée
en d'autres affres
et misères
car l'ennuis
des morts vivants
est de la sorte
qu'en avant
le sang coule
à flot
la mer rouge
sans honte
appelle
la tradition
des us et coutumes
des trainées
idéologiques
d'en finir
avec la survivance
des fables
de la Fontaine
les moralines
et le maniérisme
des dictatures
Que faire Voir
en temps
de
DISPARITION
de l'épave
de la Mésuse
sur le fief
de la beauté
évanouie
de l'Art
en attente
du dernier
lot de chevaux
arrivant
de Mars
en guerroyant
les couleurs
de milles feux
d'automne
au jour de la folie
des masses
ensemencées
des moulées
d'ADN
de fin en faim
des squelettes
de vérités
et de larmes
Épave
des méduses
mésusant
de l'Art
d'Aimer
Jéricho
pour la mise
aux enchères
de quelques
tableaux
d'histoires
arrangés
avec le gars
des vues
Histoire
d'en mourir
de rire
ou encor
en sortir
enfirouapé
les yeux fermés
tête ensablée
du modus
empesté
des écomomies
encorsetée
baleine
en soulier
de satin
L'indicible
est en vrai
LÀ
ICI
juste
ici
Parce que...
Tu est belle
Certain
que sous peu
le cadavre
et puis très rapidement
la case départ
vers l'Art
qui toujours
en nature morte
contre nature
va iras...
et ne dit rien
qui vaille
à moins que tes yeux
se ferment
d'amouir
et d'eau rafraichie
en régime
de vérité
sachant tout autour
la mort
aux aguets
qui envie
l'Art
d'aimer
ce soucie
du coeur
hors dehors
et infini
dedans eux
L'Art l'épave
tenant
sur la mer en furie
le lieu
de l'impossible
lumière
du Jour
Sanguinaire
retenue
des empires
agités
exultations
de sauve qui peut
sans doutes
et sans attraits
de la
BEAUTÉ
de la
NUIT
esthétisée
par le pas encor
Le Fil
Moments
d'insurvivances
ici mais...quoi?
Pas LÀ
pas
ICI
MÊME
d'Où
on peut voir
la beauté
d'effroi
et amer
raté de la cale
aux rats
Temps morts
Guerre
en sous les bonbons
crèmes glacées
sucres
sels
internés
de la fin
solairienne
d'agonie
dévoré
par la tête
'' en des formes
entassées
digérants
des nourritures
en maux garnies
des pizzas
pharmaceutiques
en mots
disparaissant
comme neiges
au feux
anglosaméricanisés
d'un temps
d'horreur
camouflé
en loto du bonheur
et de pain blanchi
fratricide
d'amis devenus...'' *
Sans vision
à moins que
tous mais qui?
Du partis pris
des choses...
Cailloux déluges
l'ensablement
du Monde
des particules
machinées
fait pour...
crever d'Amour
le SEUL
de Vivance
sur sous
entre
tous
amas de corps
perdus
délicatisés
au fur et à mesure
des décisions
a-blanc
de la froidure
enténébrée
de charlatans
et de si c'est pas lui
c'est l'autre
Fin
des faims
sans corps
en bulles
embuées
d'incertitudes
servies
imposables
d'amens
de libertés
et d'ayez pitiés
du tantôt
évider
de la semaison
du poète
hors la pyramide
surveillant
de Mars
où d'ailleurs
ici-même
l'en faire
de choses
et d'autres
captant
le Sacrifice
d'un tas
devenu
immondice
sans scrupules
Un chiffre
une carte
un contrôle
Des foules assemblées
d'ignorances
en des précipices
y précipitant
à l'aveuglette
l'Amour
du moment
Poésie
de fait!
Qu'est-ce que peut
la perception
du venir
opposant le hurlement
des feuilles d'écrivant
le concept
assassin
suicidaire
des retours
de vérités
sans le mentir
d'innocence
de risque
aussi
sacrifiant
l'élévation
d'absout
du terrible
Alors tenir
dans l'usine
de toutes
les manipulations
à tuer le Vivant
et malgré
TOUT
Qui est là?
Et d'où vient
ce dire
apeuré
du Sacrifice
Tremblant
de Nature
natures
des vies en sursis
en fusillés
d'idées
monétarisées
comptables
Sans don
au sang donné
Un vide
chiffré
d'abattage
s'en remettant
à la gelée
des oiseaux
figurant
la bordure
du coeur
aimé
Autrheurre *
Présent
et enfin
quoi?
Machin
à conter
des histoires
évidentes
à mourir
de rire
de peur
d'avoir
vieillie
d'aimer
Le temps
des amours
aimables
les dents
d'Adam
la pomme
cézannienne
conquérant
Paris y-ci
tranquille
plein maquis
avec la louve
de Rome
mémorisée
du Bonnard
au lac des signes
entre nous
le peuple
manquant
c'est à le dire
qui
EST
TOUS
sans le
TOUT
sang tous
Enfin
sous la contradictions
du plaisir
et bien
désirant
petit dessin
à petite bouche
timide
craintive
des maladresses
de savants fous
d'apprentis sorciers
réglant
le cadran décontenancé
du fruit
devenu
insipide
dilué
du désir
joyeux
des grandes oeuvres
psaume
des baigneuses
du maître d'Aix
tout en bleu
triangulé
de sa géométrique
appartenance
picturale
Levée
de lumière
avec
Novalis
( plus une chose
est poétique
plus elle est réelle)
Saïs
à pas lent
en fin deux
on y était
et d'autres pas aussi
pas ou si peu
Intense
inquiétude
au pluriel
devant ce qui
se terre
en somme
sans bruit
juste derrière
plus encor
avant
alors main tenant
le caveau ouvert
chemin faisant
un coeur
battant
naïvement
dans les entrailles
de cette époque
pour 10 sous
de zéros
( Tout commencement
est maladroit)
le même
et la nuit
le bas-rouge
noire en son ardeur
ayant plusieurs
pattes à son arc
le difficile
( en larme
de rosée
je vais ruisseler
tout en bas
et à la cendre
me confondre )
le même
et qu'importe
d'où jaillit
le coeur
ce chien est l'Amour
embellie
Choses trappes
de neiges
fondues
de misères
ensorcelées
sur la saletés
des entassements
là ceci là
cela
qui lavé aux pluies
battantes...
bientôt
le Camp
dira-t-on
du UN
des uns
en TOUT
sans
dieu ni maître
sanctifié
du bonheur
librement
consentie
à
l'Esprit
de décantation
d'antithèse
VÀ
vert vers
l'ardu
de
l'Art
de main
sans fuite
plissée
d'effroi
(Citations de Novalis)