Présent
et enfin
quoi?
Machin
à conter
des histoires
évidentes
à mourir
de rire
de peur
d'avoir
vieillie
d'aimer
Le temps
des amours
aimables
les dents
d'Adam
la pomme
cézannienne
conquérant
Paris y-ci
tranquille
plein maquis
avec la louve
de Rome
mémorisée
du Bonnard
au lac des signes
entre nous
le peuple
manquant
c'est à le dire
qui
EST
TOUS
sans le
TOUT
sang tous
Enfin
sous la contradictions
du plaisir
et bien
désirant
petit dessin
à petite bouche
timide
craintive
des maladresses
de savants fous
d'apprentis sorciers
réglant
le cadran décontenancé
du fruit
devenu
insipide
dilué
du désir
joyeux
des grandes oeuvres
psaume
des baigneuses
du maître d'Aix
tout en bleu
triangulé
de sa géométrique
appartenance
picturale
Levée
de lumière
avec
Novalis
( plus une chose
est poétique
plus elle est réelle)
Saïs
à pas lent
en fin deux
on y était
et d'autres pas aussi
pas ou si peu
Intense
inquiétude
au pluriel
devant ce qui
se terre
en somme
sans bruit
juste derrière
plus encor
avant
alors main tenant
le caveau ouvert
chemin faisant
un coeur
battant
naïvement
dans les entrailles
de cette époque
pour 10 sous
de zéros
( Tout commencement
est maladroit)
le même
et la nuit
le bas-rouge
noire en son ardeur
ayant plusieurs
pattes à son arc
le difficile
( en larme
de rosée
je vais ruisseler
tout en bas
et à la cendre
me confondre )
le même
et qu'importe
d'où jaillit
le coeur
ce chien est l'Amour
embellie
Choses trappes
de neiges
fondues
de misères
ensorcelées
sur la saletés
des entassements
là ceci là
cela
qui lavé aux pluies
battantes...
bientôt
le Camp
dira-t-on
du UN
des uns
en TOUT
sans
dieu ni maître
sanctifié
du bonheur
librement
consentie
à
l'Esprit
de décantation
d'antithèse
VÀ
vert vers
l'ardu
de
l'Art
de main
sans fuite
plissée
d'effroi
(Citations de Novalis)