En douce
bruissances
après
le tour
l'autour
du tout
Autour
et le bec
et les ailes
du plus
Grand
que tout
pour demeurer
en droite ligne
avec le mot
d'ordre
chrétien
pour en finir
avec le
Jugement
De Dieu
cher chair
cso
de l'au-delà
du principe
de l'ignorance
tue
Tard ou plutôt
d'entre
les mots
se promène
l'hédonisme
de m.Joubli
Sonnom
Tant et au tarif
des passages
à viandes
aux grognements
des entrées
et sorties
Je panse
donc je suis
en nombre croissant
où le désert croît
y auras
que des autophages
et de plus en plus
amaigris
de la rat à touille
et de la bouille
à baise
Soit cela était
ce devait être
et de la ratatines
ordures
au cimetière
de moins en moins
de monde
après
les enterrements
debouts
les cendres
et les ptits pots
Disparus
le diable
et le bon dieu
les gens
les animaux
le soleil
la terre
le ciel
enfin
abcd air
deleuhhhhx?
f i n
g
l'h
qui git
Sous les tropiques
étoilés
place
con corde
le brins de scies
où les pompiers
allument
l'eau
des chameaux
surréels
et proématiques
De pas de problème
et Witt
wits
witz
Einstein
on the beach
et la fonte
des Glass
à répétition
être adaptable
à tout
TOUT
malheureusement
qu'est-ce que
Mars en avril
et mai
au mois
de février
un vendredi 13
avec Breton
naviguant
pavillon
Chinois
etc
Enfin
Oui!
Ouf.
...et des surenchères
d'ennuis
et des ouragans
d'imprévus
Écrire
dessiner
peindre
sculpter
jouir
de ce qui
LÀ
pourrait
ne seras plus
d'Enfer
ou Paradis
dépendant
d'émotions
bi tri
froid polaire
aux palmiers
ancestraux
d'éternel retour
Car la destruction
règne
dans et par
l'indifférencié
de la soupe
alphabétique
informe
inné
pour en finir
avec l'Art
à contre mort
toujours
sortant
de l'enfer
instant
de la main
pensante
voyant voir
croyant croire
à la lumière
du Jour
en pleine nuit
ou la création
à décider
d'allumée
les yeux
tranquilles
de l'innocente
Beauté
d'Être
Multiplication
extraponentiele
des maux
du capital
énergétique
détruit
corrompus
vicié
des instincts
anesthésiés
de bébelles
chiffrées
Stèle
de marbre noir
à la mémoire
écourtée
aux cerveaux
de faillances
écervelés
des rives
dérivant
détritus
sur le néant
tourisques tiques
du dernier repas
poétique
de lumière
Temps mort
délesté
au prix
du
UN
des uns
führer
et paix sur la terre
aux dernier
brin de paille séché
en guise
de passeport
pour l'éther
nuitée
à rabais
d'en finir
avec?
Instant
de fuite
du par à dit
des mots
brûlant
des rues
bombardés
d'enfants
en cris
de savances
prisonnières
De main
à main
''La beauté
est le propre
des enfants '' *
et par des songes
appropriés
des vert pâturages
inattendus
Qui peut savoir
la proématique
épongeant
la mer allée
avec le feu
des coeurs
amoureux
de la lumière
du Jour?
D'ombre
et de lumineux
bassins
de nuit franche
sans immondices
d'Amour
majestueux
véridique
et plein d'effroi
aussi
Dansenble
en bris
de proèmes
infinisables
désert de choses
à ressusciter
des entrailles
imbéciles
fours à macérer
de la mirlittes
à puces
dépucelées
du vivre
désailés
d'extases
devant la question
sang suce
et tire concision
de la fin
des sciences
en forme
atomique
biotechnique
lobotérisé
et silencieuse
du
UN
parfait d'avance
et éternel
Chuttttt....
Hölderlin *
Laisser là
non pas s'apaiser
mais
tendre
à vos yeux si doux
Elle sirène
six mers veilles
aux grains des alcools
de l'Amour
tranquillisant
le chant
des guerroyants
visant le noir
instituant
la destruction
du germe vital
l'Odyssée
alloué corps
et âme
pour qu'Homère
entende
les voies du silence
attache
à la proue
ses vers agrippant
la proie
sans l'ombre
d'un doute
quoi que qui etc cte ect
et des pommes
des poires
Daumier
Un jour
enfin
Doux doucement
au vent
des larmes
en miroir
de ce qui à et à été
de toujours
que brises
Monde
d'habitudes
et d'autres choses
encor
et en corps
à revoir
et corriger
Cache tout
du coeur
cimetière
terrestre
des navigations
à la boussole
folle d'un nord
désorienté
d'immonde
'' Puisque la mort
est inévitable,
oublions-la. ''
mais Stendhal
la t-il oublié?
Et le quotidien
et le fétide
et en fin
apoplexie
des rumeurs
du jardin
des délices
et quelques prières
de Balzac
pour tenir
encor un peu
devant
la peau de chagrin
Des ailes
à fruits
des pierres
aux nids
de Vincent
à l'asperge
de Manet
voir
et VOIR
encor
le crissement
l'agrippement
des plumes
aux peaux
des poules
de Soutine
Le conseil
de qui que
qui sait qui
que..
et c'est de vivre
pas survivre
que qui va
LÀ
SEUL
à
SEUL
va...
LÀ
'' L'Art, c'est du temps
arrêté '' *
Et puis du reste
la couleur
en tant de temps
exécrable...
Un délice
pour un peintre
Une goutte
et tout un désert
verdoyant
apparaît
et des oasis
d'enfances
retrouvés
Libre en fin
de se mouvoir
au ciel de l'Esprit
sans la surveillance
du
UN
des uns
d'eau suis-je
qui que quoi
à volonté
en mystères
et boules
de gommes
juste
pour la bien aimé
Nature
natures
Qu'à nous
la création
du ciel
et de la terre
Bonnard *
...et de ce qui
pour un mot
sombre
la Mort
de quoi?
Aussitôt né
aussitôt...prêt...
Sinon de ce qui
n'à pas
eu Lieu
Qu'un présent
étouffé
sous les décombres
du Il fallait
mais de quoi?
De quelque chose
comme une éclosion
se compostant
dans la terre
prima
BEAUTÉ
D'AMOUR
de la poursuite
blanche
des baleines
disparues
au fort
de la fin
du temps
du compte
pour monnaie courante
après la chute
des murmures
charpentés
de l'ossature
en vent
pour des moulins
de crissements
infinis
bing boom
TOUT
PASSE
à passer
Qu'est-ce que
le spasme
de vivre?
d'Émile
pour ses jeux
vaisseau ivre
endormi
en râles
raclant
les falaises
d'Irlande
où l'habitude
est du secret
de la Vierge
au bois dormant
mieux
que la fille ainée
de l'église
sans caveaux
que pour les pommes
de terre
en pensant
à Vincent
Pas de signes
l'Aile
par elle
autour
gardant l'oeil
des escarpements
à tous vents
pourvoyeuses
de poussières
et de désespoirs!
En cris
en thèmes
roses
sang tous
Apparaître
inutilement né
mains tenant
l'Oeil ouvert
où vers..vert
l'itinérance
d'un ciel d'en faire
quelque
non serviam
soufflet
de tendre
Amour
le reste
n'étant qu'errance
passage
anthropophagique
et
Nature natures
de lui le même
UN
des uns