Cache ton dieu
et du mourir
des poètes
en temps
d'évanouissement
de la part
de Vrai
Qui
EST
vu de l'oeil
ce seul'oeil
donné
dedans dehors
la horde
condamnée
toujours
la même
Lui pas lui l'autre
pas moi
au gros lot
d'un tombeau
en masse
dantesque
de ceux
qui entrez-ici
consumez
des métamorphoses
d'amens
'' Par moi, on entre
dans le domaine
des douleurs'' *
et des faits d'hiver
de la mer à K
Doucement
piano
sainement
malgré
ICI
c'est clair
entre
TOUT
la perfection
règne
en coeur
Inutile
débat
au ciel des pensées
'' La poésie
doit être faite
par tous.
Non par un '' **
Enfin
où d'où vers où?
SEUL
ou
il fallait
que cela soit
...
de la vie avant
TOUT
l'éternel
au grand triage
de l'uni-vers
D'atchoum
a cent milles
soleils
en une valse
d'amour
pour
TOUT
Dante *
Lautréamont **
Peinture
sculpture
l'Art
rend fou
ce qu'il porte
à Voir
de ne pas
donner sa cervelle
au premier
venu
Acte de guerre
et de qu'elle folie
s'agit-il?
De celle qui ne bouge
qu'en contradiction
avec
ce que doit
Le libre arbitre
sachant
savoir
que!
Libre?
naïvement
qui sait?
Goya
ou
la Poune?
Allons aucunement
ce rapport
à la folle
joie
que d'être
devant
la Mort
la Vie
Je pour Jeu
perdus
l'un sans l'autre
Et de ces choses
piégées
en flottaison
juste pour
ICI
JUSTE LÀ
et puis...
Pas là
pour faire
comprendre
mais pour
de la vivance!
Un dessin
pourquoi?
Pour qui?
Et utile?
RIRE
Rose de personne
dit Célan
ou encor
Contre vous
qui sait
qui vous?
Et du reste
l'amélioré
d'art dénaturé
et d'eau morte
comptabilisée
évidemment
vidé la ressource
au compte
du projet
d'en finir avec la vrai
vie
proématique
Après le Camp
après TOUT
Quand l'argent
le festif
et la tétête
Disparu
du chant
du Monde
Languistique
coupant
le coeur
chiffrant
les miettes émiettées
du labeur
de l'en faire
désirant
l'émotion
de vérité
du tout passe
est passé
à chacun sa vie
sa mort
Et des mots
encor
des signes
qui se projettent
là où LÀ
Éleusis
et puis
aller
mon coeur
qui ne bat
que pour vous
Hypothèse
d'un monde
exterminé (soft)
d'ingratitudes
poétiques
et sans quoi?
Oui bon savoir
demain les dieux
encor
Dieu
et Cioran
Nietzsche
Artaud
Et l'Art
RIRE
Art
Dieu
les dieux
Nature
de la vie
de la vrai vie
de Vivance
et au diable
la poutine
la fille
des fées
on soif
et du gars
poudré
en fuite
dans le moulin
à farine
de qui veux faire
le diable
fait l'ange
et des larmes
sur
TOUT
ça
Les vies las
visage
à bouche
abouchée
d'entre
la vierge
éplorée
des pourvoyeurs
de services
en manque de tendre
L'ignorance tue
de lui à l'autre
tous les autres
pour...
Ami(e)
pas moi
en fin
quoi
l'Ârmourdie
rend l'arme
à l'âme
Enfin
dire
ce qu'il en est
d'Être
Et a t-on
besoin
en temps
déraisonné
d'inventer
de nouveaux
motifs
à désirer
Mort
qu'emporte
le vent
le soleil
les pluies
de déluges
du contrôle
des éléments
d'apprentis sorciers
En fait
maomonétaires
d'Occident
et Céline
en Marx
déguisé
en Orient
Céline
chantant
Frère Jacques
Qui est qui là
Qui se présente ici?
Festifs et compostifs
monte au nez
la merde
monnayée
Et quoi l'éternité?
La vie
c'est quoi?
Mars avril mai...
rythmant
les dimanches
à la Grande-Jatte
Combien
du peu de pas
et des boucs
des saints
Main tenant
quoi?
Devant
que du risible
farce
un conte
posthume
pour imbécile
piégé d'attrapes
ni go ni hil
Chairs infestées
de ces hauts 2
tous nus pis
décharnés
du temps
Moment
où le chiffre
gel
les mots
bloquent
apoplexiques
Sans mots
ni maux
figés
fixés
aphasiques
RIEN
Pareil
à une Occidentée
au fond
de l'oubli
Qu'elle leurre
est-il?
De ce il
elle ici
la terre
en don
Combien?
L'épuisement
venu
le lieu
se libère
la place
et la splendeur
de l'amouir
imprégné
du charme
par 4
univers
aile
entre
le radieux
du passage
Oiseaux hors
dedans
en
TOUT
'' Plus je vieillie
plus j'ai d'avenir'' *
et partout
N'importe
exporte
le pourquoi
de la progénitures
des fins
forfaitaires
d'anciens
des tranchés
gazés
d'en finir
avec les liens
qui unissent
l'incertitude
des amitiés
d'ak 47
en cadeau de noce
à Cana
Enfer
d'entre-eux
de mémoire vive
Pas d'impasse
pour la Mort
voilà
l'éternité
innommé
innommable
insondable
impossibilité
d'en sortir
du vivant
que par l'Art
tenant lieu
de sépulcre
au déni
du mourir
dans la grotte
où prend
forme
le jardin
mortel
de la répétition
du Cri
Enfin
tenir
en lumière
qui sait
qui peut savoir
l'effroi
du
SILENCE
dans les gouffres
d'à chacun
sa mort?
De quoi
et où
pourquoi
sans pourquoi
Et dire
la FIN
où commence
le désir
Érections
d'exultations
d'extases
et les saints
de Lola
admirant
l'éblouissement
de votre patience
impatiente
à Voir
en
FIN
en temps donné
(l'image
de la pensée)
dit Valéry
de ses petits dessins
rendant visible
le visible
et du reste
que Dieu me veille
absoute
de l'incroyances
à l'Amour
de ces échos
momifiés
par tant de jugements
derniers
amen
en des pitounes
de sapins
pis des pénis
de 4 pieds
suivant leurre
qu'il est
Habit du moine
au guichet
aguiché
de la chose
à raconter
À ou A...
allons
le couvert
se ferme
Illusoire
pressoirs
à jus de toutes
les couleurs
un corps
à mort
avec la faim
De tout ça
des redondances
d'emportés
pour s'éteindre
éphémère
luciole
sur le brasier
des fureurs
aux aguets
dès le premier jour
dans les bras
de maman
Et puis quoi?
L'Enfer le paradis
écrire
crever
travailler
à la général
de monsieur
lui le même
UN
Alors
ART
face à face
avec la lévitation
de faire
mais sans trop
s'en faire
avec l'affraire
des affres
et des coutumes
de 100 erreurs
pas de vérité
au-dessus
de nous y sommes
en somme
par quotient
d'endettement
envers l'erreur
du cul-de-sac
chiffré
MORT
à reprendre
et autrement
et rendre visible
le visible
malgré
TOUT
des mots
à contrer
la vie de ses morts
en sursis
Ce qui se dit
mais ne s'entend pas
car le songe de vivre
est monnayé
pipé joué
d'avance
par la loi
des règles
basiques
de la poésie
qui s'apparaît
LÀ
main tenant
et pour la suite
qui va s'éteindre
comme le soleil
en seul'oeil
Enfin
quoi l'éternité?
Attendre
proématiquement
la vrai vie
ICI
MÊME
Bloy *
