Après
l'Oeuvre
le florilège
d'en
SOMME
et des poussières
Je crois
qui
peut-être
seras
auras été
en tout
et partout
la lumière
goethéenne
et bien avant
sur le
s'Oeil
vertigineux
du Vivant
du moins
pour ce qu'il en
EST
de la
Vie
réveillant
Utopia
l'Amour
mais mieux
le marbre
déesse
autant que le veut
la
MAIN
à
la terre
essaimant le
Conte
et en
FIN
en fresque
relief
galbant
l'univers
de quelque chose
en
maux dit
EST
TOUT
et
SEUL
en sol
si tendrement
qu'
UN
RIEN
tremble
se prenant
dans ses bras
et perdu
tant ce mensonge
VRAI
de chair et d'os
monte et verdi
l'ensemble
pour un petit
dessin
cassant
du maux
compostant
à l'orifice
du charme
la mer
avalant
Melville
la baleine
et les mots
'' Qu'est-ce qu'un mot? rien;
c'est comme la réalité,
une durée '' *
Tant et temps
et déjà mort
depuis
l'éternité
mortelle
c'EST
TOUT
Retour
et sans savoir
reprenant sans cesse
la farce
à rire
d'Art-Ô
lassant son soulier
vers les îles
lumières
et la splendeur
proématique
du bonheur
qu'il
EST
après
TOUT
En
VÉRITÉ
qu'est-ce qui
RESTE
Chez-Rie
pourquoi pas
de la stragédie
cette folle
cavale
lorsque l'éclaircie
se fait
VÉRITÉ
'' L'argent
cause
de tout le mal '' *
et d'avoir
menti
à ta nuit
de jamais né
en
SOMME
amalgame
céleste
UNIVERS
AMOUR
Flaubert *