LA LIGNE
Sans l'assise
des campés
des pôles
harponnés
assignés
aux faims
derrière
ce qui sera
des étés
ayant eu
l'alloué
du segment
grimé
des rides
de la mer
ennivrée
d'exhalaison
"...après avoir
secoué les chaines
de la maîtrise
de la nature
qui pétrifie
aussi celui
qui la domine..."*
affolés
des signes
la lignée
sera
de ce temps
des trois
pour un.
Centrifugé
au passé
récent
sloche
sliche
à slache
en Pan
de fureur
des maîtres
a mites
a la tombée
de la toison
des tombes boucs
tous
les défunts
défantés
d'infini
passent au jour
de la réciproque.
Masques aux têtes
coupées roulantes
au son
de l'harmonium
les façades
s'empoussinent
d'ensor belle
et bien piquées
sur des tiges
effroyable orgie
de tous les malheurs
des crimes
fondus au feu
des fonderies
à la part
acéphale
des culs butés
pour plaire
aux yeux
du ciel
et de la terre.
Novalis*