Ce qui
EST
et qui n'est pas
que de l'humaine
prétention
est la somme incalculable
d'existences
et plus
au regard d'une nature
où
par un principe
de triage
avec ou sans but
perceptif
EST
va en sa puissance
hors toute
intention ou contrôle
venu de la pensé
ou de toute forme
du vivant
IL Y A
cela qui va et hors
de la compréhension
humaine
et ce
TOUT
est quoiqu'en pense
les percepts concepts
ou le sujet
pense être en mesure
de décider
quoi que ce soit
est erroné
Prétention
manque de rigueur
intuitive
et d'attention
à l'autre
d'un autre langage
(animal insecte
plante... .)
Déjà en les mentionnant
interfère
le savoir nomenclature
l'assurance
que cela va
en cet ordre
Alors
la fleur bleu
Novalis
ou
le désert des sagesses
enfin
toutes ses entités
de présences
formant non pas
seulement
une chaine
prétentieuse
mais
la vie en sa splendeur
d'inconnu
et de mystères
Tenir
là dedans
pour
l'ART
qui
EST
pour l'humaine
condition
sa plus authentique
perception
risquant
l'obéissance
au plus grand
se détachant
en continu
de l'orgueilleuse
action prédation
suicidaire
et qui n'est en fait
que la
NATURE
natures
MORT
de la mort
humaine
vers l'innommable
beckettien
de cap au pire
Alors
naturart
en phase
de post-semaison
du poète
et après la
proématique
antithèse
perceptive
d'où où vers où
Et la conservation
NATURART
au passage
anthropique
en symbiose
avec tout le
VIVANT
ce qui
EST
pour l'humble
présence humaine
maintenue
sous le soleil
de la
MORT
morte
Ceci qui n'à pas
n'est pas encor
mais seras
après le
TRI
et les imbécilités
des voyous
et des machines
à détruire
ce qui est de la
MORT
morte
et de désobéissance
envers
la lumière
maintenue
par
l'ART
d'aimer
en la
BEAUTÉ
de l'aimé
la
VIE
métaphore
de l'embellie
ou du
terrible
apprivoisé
par
L'ART
pour ne pas mourir
de vérité
nietzschéenne
ou du malheur
où naît le désert
Alors simple
dire
mais qui ne vaut pas
un petit dessin
à dessein
de la lumière
sur la
BEAUTÉ
paradisiaque
du passage
Alors il est
certainement
inutile
de dire en contradiction
paradoxe
ou qu'importe
l'effet l'affect
obéir
en toute liberté
artistique
ou simple ténacité
a la redevance
de l'hôte
en ses multiples
donations
naturelles
et remplie
de générosités
pour les mises bas
et ses croissances
et sa perdition
final
qui
EST
la fanaison
et la cueillette
d'à chacun sa mort
rilkéenne
où les yeux
de
Pavese
ou encor
ceux de l'enfance
à la merci
du mal ou du bien
que de naître
ICI
OU
AILLEURS
quelque d'extrême
et fragile
présence
parmi monstre
ou bienveillant
Alors
conjuration
pour la vie vivante
et terriblement
consciente
dès le premier jour
du tremblement
en la lumière
maintenue
envers et contre
TOUT
la
MORT
morte
et ses multiples apparences
simulacres
de la
JOIE
que d'être
ceci perception
artistique
que de ma joie demeure
qui coure danse
et fait image
en vérité
du débat d'améliorer
pour et vers
cette
élévation
et ses devenirs
amoureux
malgré
TOUT
Et bien... .
le
OÙ
d'OÙ
VERS OÙ
d'OÙ
VERS OÙ
verrous
à la clé
des songes et mensonges
de
Franco
et les suites
de führers
en bruits et en mésusage
de la nature
que
NATURE
natures
en son impossible
exitance
MORT
de la mort
sans nom épelé
pas appelé
alors
la main à la paroi
des tendres
signes sur la mère
terre
et ses créations
divines
par
l'ART
en signes
retentissant
aux yeux
des semblables
guets et avertissements
initiatiques
graves et risquées
de là
la prescription
d'apprivoisement
et de tous les préceptes
percepts
du vivre et laisser vivre
en offrande
don contre don
pour la
JOIE
malgré
TOUT
que
d'ÊTRE
ou pas
shakespeariens
( La prospérité
est le lien de
l'amour )
Alors
fait moi un dessin
VOIR
ou encor
il est en trop
de dire
mais n'empêche
pas l'image
d'être indicible
en toutes images
et le pourquoi
demeure
sans pourquoi
mystère
de ce qui échappe
à la prédation
mais donne
à ce qui reçoit
en vérité
Bizarre
et troublant
'' Je marche
entre deux
éternités '' *
et ces moments
cristallins
de nos amitiés
recueillies
en
AMOUIR
en ce qu'il faut
pour la réussite
du
COEUR
antre-nous
... .et le passage
où d'où vers où
qui n'à aucun
lien avec l'instant
de ces mots
qui se posent
de façon rituel
sur la page virtuelle
des artifices
d'un entendement
technique
et volatil
car un accident solaire
un bri un changement
un revirement
dans le mental
etc faisant de ce jeu
de mise en mémoire
de contrôle
(tout relatif)
car ce qui control
est contrôlé
par le control
du contrôlant
mis en un fourre tout
en
TOUT
contrôlé
par le Dieu
de Spinoza
ou encor
par la vrai vie
qui est ailleurs
encore
les fourberies
de Scapin
entre eux le mal est infini
Alors
qu'est-ce que
L'ART
désenlardé
des simulacres
et du temps proustien
et beckettien
en attendant Godot
ou la mer à boire
et qu'est-ce qu'un
point d'appuis
sans point
c'est à dire
qui vole en tombant
Alors
le
TOUT
est foutu
de Crément
IL Y A
et le retenu
et le retenu
EST
ce qui
EST
Diderot *